vendredi 3 octobre 2025

CRÉPOL / L' ARCOM: TOUT EST BON CONTRE Cnews .......

 


 

Tout est bon contre Cnews : RSF dénonce son traitement de l’info sur Crépol et saisit l’Arcom

Thomas, 16 ans, tué par des racailles qui voulaient « planter du blanc »

Dernière manœuvre en date pour dégommer Cnews : Thibaut Bruttin, directeur général de Reporters sans frontières vient d’accuser la chaîne de « mettre une cible dans le dos » des auteurs du livre « Une nuit en France » paru en mars 2025, qui traite d’une façon ignoblement partisane le drame de Crépol où Thomas Perotto, un jeune Français de 16 ans, a été tué par des racailles dont le but avoué était de « tuer du blanc ».

«Ceux qui mettent des cibles sur le dos des journalistes sont bel et bien les intervenants de CNews, qui se nourrissent de la rancœur citoyenne et transforment cette chaîne en véritable média de la haine», accuse Bruttin dans un communiqué. 

«CNews ayant déjà été sanctionnée à de multiples reprises pour des faits de même nature, nous appelons l’Arcom à faire respecter la loi en faisant preuve de plus de fermeté», a-t-il ajouté.

 

Le livre-enquête « Une nuit en France », des journalistes Jean-Michel Decugis, Le Parisien, et Marc Leplongeon, L’Équipe, et de la romancière et scénariste (sic !) Pauline Guéna – parlons plutôt de manifeste politique de la gauche et de l’extrême gauche collabos – a suscité l’indignation des habitants de Crépol, et tout particulièrement des proches de Thomas. 

Les parents du jeune garçon ont exprimé leur colère et leur incompréhension face au livre, qu’ils jugent irrespectueux envers la mémoire de leur fils. 

Leur avocat, Maître Alexandre Farrelly, a souligné que le livre contient des passages gênants qui banaliseraient « le port d’arme, la violence meurtrière, l’omerta et la victimisation des mis en cause ». 

Les parents ont dénoncé une atteinte à la dignité de Thomas et une instrumentalisation de son drame à des fins médiatiques ou politiques.

L’association des victimes du bal de Crépol a qualifié le livre de « ramassis de conneries », « honteux » et « une tentative de manipulation de l’opinion ».

 

Selon eux, les auteurs ont déformé la réalité et minimisé la gravité des faits, ajoutant une souffrance supplémentaire aux familles et à la communauté.

Beaucoup d’habitants ont également exprimé leur sentiment d’être trahis par une enquête qui ne respecte pas le travail de la justice encore en cours.

L’approche des auteurs – deux journalistes et… une romancière ! – est partiale et militante. 

Les auteurs minimisent la responsabilité individuelle des agresseurs (issus de l’immigration) au profit d’une analyse sociétale mettant en avant les « inégalités sociales », le racisme « systémique » ou les « défauts » des politiques publiques. 

Cette lecture est une tentative de dédouaner les acteurs directs de la violence en reportant la faute sur la société française dans son ensemble, voire sur les institutions.

La question des « zones de non-droit » dans lesquelles l’Etat a renoncé à faire respecter la loi est passée sous silence, de même que l’origine étrangère des agresseurs et l’échec des politiques d’ « intégration » qui ont coûté un pognon de dingue au budget de la France depuis 50 ans. 

Quant à laxisme de la justice, il est totalement occulté par les auteurs.

En éludant ces aspects, le livre censure un débat légitime sur le diptyque immigration-insécurité. Il ne s’agit évidemment pas d’un « défaut » du livre, mais d’un parti-pris parfaitement assumé.

Le livre s’appuie sur des travaux sociologiques de gauche pour expliquer ce qu’il nomme « les causes profondes de la violence » (« précarité », « relégation urbaine », « discriminations »). Il s’agit d’une justification indirecte de la délinquance par les conditions sociales, ce qui revient à excuser les comportements violents.

 Les auteurs ont une vision déterministe de la société, où les individus sont avant tout des produits de leur environnement, niant ainsi leur responsabilité morale et leur libre arbitre.

Passons sur la diabolisation de la police, présentée comme une institution systématiquement répressive et raciste : « Et tout le monde déteste la police ! », n’est-ce pas…

Le narratif des auteurs est simple, c’est celui des « Deux France » : celle des « dominants » (blancs, bourgeois) et celle des « dominés » (issus de l’immigration, des quartiers dits « populaires »).

Les auteurs ont privilégié les témoignages favorables à leur thèse (militants antiracistes), au détriment de ceux de la famille de la victime, des policiers, des magistrats et des riverains. 

Le livre est bien entendu écrit sur le mode du réquisitoire dans lequel les accusés deviennent les victimes et réciproquement.

La sortie du livre avait été accueillie par des menaces de mort sur les réseaux sociaux – réactions légalement répréhensibles mais humainement compréhensibles.

 Cnews a été le seul média à donner la parole à de nombreuses reprises aux habitants de Crépol, aux proches de Thomas ainsi qu’à la maire de Romans-sur-Isère, la courageuse Marie-Hélène Thoraval.

 Ce faisant, Cnews a évidemment grandement aggravé son cas.

Plus que jamais, la chaîne du groupe Bolloré est le média à abattre. 

Tous les coups sont permis pour faire taire ce média libre.

Par Henri Dubost

 

ET AUSSI

 

Le rêve de la gauche : dissoudre le RN et R ! et fermer Frontières et CNews

 
 
  
 
 

Certains penseront que le cinéma de l’ensemble de la gauche, qui s’indigne parce que le RN a de nouveau deux vice-présidents à l’Assemblée nationale, est grotesque. 

Ils auront raison et tort à la fois. 

Certes, les interventions de tous les députés de gauche accusant les autres députés de connivence avec Marine Le Pen sont minables et pathétiques, mais elles poursuivent un objectif cohérent avec leur doctrine.

 En bons totalitaires qu’ils sont, ils ont décidé que le RN, hier le FN, et tous les partis patriotes ne doivent pas exister et donc être dissous. 

Et bien sûr, ils nous font le coup des Droits de l’Homme, de la République, des heures les plus sombres de notre Histoire, pour justifier ce coup de force contre la démocratie.

La gauche sait qu’elle a besoin de diaboliser le RN, malgré toutes les concessions de ce parti, pour continuer à exister, au nom de l’escroquerie de l’antifascisme. 

D’où les manifestations récurrentes contre toutes les initiatives patriotes, que ce soit des réunions publiques, des manifestations ou des rassemblements.

 Longtemps, ce combat s’est cantonné contre le seul RN, mais à présent, il y a Reconquête, mais aussi des médias influents comme CNews et Frontières, contre lesquels la gauche multiplie les signalements à l’Arcom et les plaintes devant les tribunaux.

En multipliant les actes de délation, les députés de gauche rêvent de réussir ce qu’ils ont obtenu de l’Arcom, cette officine parasitaire et coûteuse : la fermeture de C8. 

La multiplication des plaintes et des signalements poursuivent cet objectif.

 Ils veulent l’éradication de toute la mouvance patriote, qu’elle soit politique ou médiatique.

 

Mais le RN et Reconquête progressent, de plus en plus de Français comprennent que l’immigration est en train de tuer la France, et c’est pourquoi ils regardent de plus en plus CNews.

 Il ne manquerait plus que Bolloré rachète Le Parisien, ce qui est possible, pour les rendre encore plus fous, donc encore plus dangereux…

 


 
 
ET PENDANT CE TEMPS LÀ  !
 

 

rance Télévisions : 3 milliards d’euros d’impôts pour un gouffre fincier qui perdure

Alors que les Français subissent inflation et pression fiscale, la Cour des comptes vient de publier un rapport au vitriol sur France Télévisions.


 Avec un budget annuel de 3 milliards d’euros, financé à 80 % par l’impôt, l’audiovisuel public apparaît comme un gouffre financier où se mêlent déficits chroniques, rigidités sociales et fiascos industriels.

 

Un service public massivement subventionné, mais déficitaire

De 2017 à 2024, France Télévisions a cumulé 81 millions d’euros de pertes nettes. 

Ses capitaux propres se sont effondrés, passant de 294 millions en 2017 à 179 millions en 2024. 

La trésorerie est au plus bas, et le budget 2025 prévoit encore une perte de 40 millions d’euros. 

En clair : malgré une manne publique de 2,5 milliards d’euros par an, l’entreprise ne parvient pas à équilibrer ses comptes.

La Cour des comptes rappelle qu’à ce rythme, la survie même du groupe est menacée.

 En dessous d’un certain seuil de fonds propres, l’État devra recapitaliser… c’est-à-dire injecter encore plus d’argent des contribuables.

 

Des coûts salariaux insoutenables

Avec près de 9 000 salariés, dont un tiers de journalistes, France Télévisions consacre près d’un milliard d’euros par an à ses dépenses de personnel.

 

 Or, le fameux accord collectif de 2013 rigidifie totalement l’organisation : 160 métiers sont figés, limitant toute polyvalence. 

Résultat : recours accru aux contrats précaires, masse salariale en hausse malgré la baisse des effectifs, avantages sociaux dépassant le droit commun (indemnités de départ, avantages en nature, comités d’entreprise surdotés).

La Cour est claire : la renégociation de cet accord est « inéluctable et urgente ». Sans réforme sociale profonde, impossible de restaurer la compétitivité.

 

Des gaspillages emblématiques

Symbole de l’échec stratégique : la plateforme Salto.

 Lancée en grande pompe en 2020 avec TF1 et M6 pour concurrencer Netflix, elle a été dissoute dès 2022, après avoir englouti près de 58 millions d’euros.

 Autre aberration pointée : le projet immobilier « Campus » à Paris, aux coûts jugés incertains et mal pilotés.

Les réseaux régionaux, censés rapprocher France Télévisions des territoires, souffrent eux aussi d’un manque d’autonomie et de doublons avec Radio France

. Le rapprochement France 3/France Bleu, censé donner naissance à une offre commune baptisée « ICI », patine faute de gouvernance unifiée.

Si France Télévisions se targue de succès numériques (35 millions de visiteurs uniques mensuels pour france.tv en 2024, 22,9 millions pour franceinfo), ces résultats reposent sur des investissements massifs, eux aussi financés par les contribuables. 

La Cour insiste : la transformation numérique est indispensable, mais son financement ne peut plus reposer indéfiniment sur la dépense publique.

Vers une réforme ou la faillite ?

Delphine Ernotte, présidente depuis 2015, promet des réformes « sociales et numériques ». 

Mais la Cour alerte : sans contrat d’objectifs clair, sans trajectoire financière stabilisée et sans réforme de fond, France Télévisions court à la catastrophe. 

Trois milliards d’euros d’impôts annuels pour un service public qui perd de l’argent et échoue à se transformer : le constat est implacable. 

Les magistrats financiers n’éludent pas la question qui fâche : faudra-t-il recapitaliser, réformer de fond en comble… ou privatiser ce mastodonte subventionné ? 

Il semblerait que des millions de Nicolas en aient par dessus la tête de payer pour une entreprise qui ne fonctionne pas (euphémisme).

 Avec France Télévision, vous avez dit la République exemplaire ?

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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