jeudi 2 octobre 2025

IMMIGRATION : LE CHANTAGE ET LE RACKET DE LA COMMISSION EUROPÉENNE.......

 


REVUE DE PRESSE !

Migrants : Bruxelles impose 30 000 relocalisations d’ici Noël sous peine d’amende

L’Union européenne va tester pour la première fois son nouveau mécanisme de solidarité migratoire. 

Selon CNews, « au moins 30 000 personnes migrantes devraient être accueillies dans les 27 pays de l’Union européenne, d’ici à Noël ». 

Cette mesure découle du plan migratoire adopté en 2024, qui prévoit chaque année la relocalisation d’au moins 30 000 demandeurs d’asile.

L’objectif affiché est de soulager les pays se situant le long des routes migratoires, tels que la Grèce ou l’Italie. 

Les États qui refuseront d’accueillir devront verser une contribution de 20 000 euros par personne non prise en charge, destinée aux pays en première ligne. 

Une « somme colossale », selon le journal Valeurs Actuelles, et qui alimente les tensions autour du dispositif.

La Commission européenne doit publier d’ici le 15 octobre la liste des États considérés comme étant sous « pression migratoire », en fonction de critères tels que le nombre d’arrivées irrégulières ou la superficie du pays.

 

Négociations sous tension

Les modalités concrètes d’accueil seront négociées tout l’automne. 

« D’un point de vue logistique, c’est assez facile de prendre 1 000 personnes à un autre pays : tu envoies des bus, des avions. 

C’est politiquement que c’est très compliqué », confiait un diplomate européen, cité par le quotidien Sud-Ouest le 30 septembre. 

Selon France 24, un autre responsable de l’UE juge ce dossier « plus difficile que tout ».

Face aux critiques, certains eurodéputés défendent le texte. 

L’élue centriste Fabienne Keller a expliqué à l’AFP : « Tout l’intérêt de ce nouveau système c’est de regarder les chiffres de façon objective, sans entrer dans des démagogies populistes ».

Le pacte migratoire, adopté en 2024, est entré en vigueur en juin 2024 mais son application complète est prévue pour 2026. 

La répartition de 30 000 migrants d’ici à Noël constitue donc un premier test politique et opérationnel.

Le talon d’Achille des expulsions

Cette réforme intervient alors que l’Union européenne peine à appliquer ses décisions d’expulsion : moins de 20 % des migrants déboutés de l’asile sont effectivement renvoyés.

Pour tenter d’y remédier, trois pistes sont à l’étude : procédures de retour accélérées, élargissement de la notion de « pays tiers sûrs » et ouverture de « centres de retour » hors de l’UE pour y envoyer les déboutés. Les États membres espèrent aboutir à un accord sur ces mesures d’ici Noël.

Entre quotas de relocalisation et sanctions financières, ce dispositif révèle l’écart croissant entre la volonté de Bruxelles d’imposer une solidarité obligatoire et l’hostilité grandissante des peuples européens face à une immigration de masse mal maîtrisée.

 

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. 

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