TRIBUNE LIBRE !
Rave partys, squats, grèves, OQTF, antifas : ils s’en foutent des Français agressés
Tous les jours, les Français découvrent des choses invraisemblables qui se passent dans leur pays, parfois depuis plusieurs décennies, sans que rien ne soit fait pour y mettre fin.
Ainsi, la rave party de l’Aude, ce week-end, au-delà de son côté provocateur et indécent, sur le champ de paysans qui ont beaucoup perdu lors des incendies récents, a-t-elle remis en avant des pratiques qui existent depuis plus de trente ans.
Des bobos des villes se permettent de s’encanailler, de boire, de fumer, de se droguer, en occupant en toute impunité des terrains qui ne leur appartiennent pas, et en empêchant les villageois de dormir en leur imposant durant plusieurs nuits le bruit d’une musique de dégénérés.
Alors qu’en Espagne et en Italie, le problème a été réglé depuis longtemps et que les délinquants vont en prison, en France, cela fait trente ans que l’impuissance volontaire de l’État permet à ces jeunes crétins de narguer les autorités et surtout les paysans qui travaillent.
Il se trouve, et les Français ne pourront que s’en réjouir, que cette fois la colère des agriculteurs locaux a été telle qu’elle s’est exprimée contre les voitures des occupants, pas habitués à être traités de la sorte.
Mais nos politicards s’en foutent totalement que des paysans voient leurs terrains squattés et détériorés.
Dans un autre registre, cela fait également une trentaine d’années que des squatteurs, au nom du droit au logement, se permettent, souvent avec la complicité d’associations parasites comme le DAL, d’occuper des maisons qui ne leur appartiennent pas, de s’y installer en changeant les serrures et de rester des mois, parfois des années, en étant protégés par les lois, et souvent en narguant les propriétaires et les autorités.
Régulièrement, un député nous raconte qu’il a fait une proposition de loi et que ce problème va être résolu, mais les squatts continuent de succéder aux squatts.
Le seul domaine où l’État est efficace, c’est quand il s’agit de réprimer un propriétaire qui a viré les occupants.
Mais nos politicards s’en foutent totalement que des propriétaires se voient privés de la jouissance de leurs droits, et soient lourdement pénalisés financièrement, suite à cette occupation illégale.
Ils sont incapables de légiférer efficacement.
Que dire des grèves à répétition qui frappent les Français, souvent dans les transports, et à l’occasion des départs en vacances ?
Des syndicats, qui ont trahi les salariés, surtout ceux du privé, depuis longtemps, qui ne vivent que par la perfusion, payée par les Français, que leur offre l’État pour planquer leurs permanents, se permettent de prendre en otage à chaque départ en vacances des familles entières.
Et les politicards laissent faire, alors qu’en Italie, depuis trente ans, dans les transports, le droit de grève est interdit à certaines dates, notamment lors des départs en congés.
Les élus préfèrent se coucher devant les syndicats, par ailleurs immigrationnistes, que de défendre les Français des classes populaires qui ont besoin des transports en commun.
Si on parle des OQTF, c’est encore pire.
D’abord, on devrait dire « expulsions » et pas « Obligation de Quitter le Territoire Français », ce serait plus clair.
On sait que sur 100 demandes d’expulsion, 93 % ne sont pas exécutées, et que sur les 7 % qui se concrétisent, la moitié se déroule entre Mayotte et les Comores.
Autrement dit, un étranger qui met les pieds en France est pratiquement certain d’y rester.
Nos politicards s’en foutent de mettre ainsi en danger la vie des Français, l’épisode de Marseille avec un Tunisien et deux couteaux, abattu par les forces de l’ordre, n’en est qu’un exemple supplémentaire.
Enfin, à Marseille encore, les antifas, quand ils ne cassent pas les centres-villes, quand ils n’agressent pas leurs opposants politiques et les forces de l’ordre, viennent de se distinguer en collant des affiches montrant la photo et l’adresse de quatre jeunes garçons qui ont le tort de ne pas penser comme eux.
Ce véritable appel au meurtre demeurera impuni, comme le sont toutes les exactions de ces miliciens, parce qu’ils font le sale boulot du régime en agressant les militants qui le dérangent le plus.
Ces quelques rappels, que nous aurions pu compléter, confirment que l’impuissance de ce qu’ils appellent l’État de Droit est une arme utilisée contre les Français des classes populaires, en leur montrant que l’État s’en fout qu’on les vole, qu’on les spolie, qu’on les prenne en otages, qu’on mette leur vie en danger, qu’on agresse leurs enfants, etc.
Pourquoi ?
Pour deux raisons.
Hier protecteur des Français, l’État est devenu leur pire ennemi, et les politicards qui siègent à l’Assemblée nationale (exceptés ceux du RN et quelques rares LR) sont des collabos et des traîtres, qui haïssent, surtout ceux de gauche et les macronistes, notre pays et méprisent notre peuple.
Mais on sait que quand ce peuple se réveille, comme lors du mouvement des Gilets jaunes – canal historique – alors on voit un appareil d’État très efficace, très répressif et prêt à toutes les exactions pour briser un mouvement populaire.
Donc, n’oublions jamais que cette apparente impuissance est voulue, et que si on veut que cela change, il faut se débarrasser au plus vite de ceux qui nous gouvernent depuis 50 ans
ET AUSSI
Les socialo-communistes de France sont les derniers attardés de l’Europe
L’Olive Faure en vinaigre aimerait faire trempette dans les eaux de Matignon
Si on avait des doutes sur le réalisme des gauchistes en politique, l’Olive socialiste est encore là, pour normalement, dessaouler les idiots utiles de l’islam.
L’Olive de la Seine-et-Marne n’a peur de rien.
C’est à cela que l’on reconnait les socialistes d’aujourd’hui, et le premier d’entre eux.
Si les indigents intellectuels volaient, il serait chef d’escadrille.
Il a affirmé sans rire qu’il est « à la disposition du chef de l’État pour échanger sur les conditions d’un remplacement du gouvernement de François Bayrou ».
Il a dit souhaiter « un gouvernement de gauche ».
Qui peut imaginer que cet olibrius soit un jour à Matignon, pour profiter de sa restauration, de ses salons dorés et de cette retraite de Premier sinistre ?
Les cons, ça ose tout, disait Michel Audiard. C’est même à ça qu’on les reconnait.
Emmanuel Macron s’amuse.
Il est dans une croisière de type Titanic, dont les gueux de troisième classe vont partager le même sort tragique que les aristocrates.
Comme d’habitude, on verra ceux qui vont s’accaparer les bateaux de sauvetage, comme les macronistes, les socialo-communistes et les islamo-collabos écologistes.
Il n’y aura pas de place pour tout le monde.
L’Olivier Faure ne croit pas à l’iceberg.
Il ne voit pas le souci de l’insécurité, l’invasion migratoire, les trous budgétaires dans la coque nationale.
Il se voit en 1936, en Léon Blum promettant un nouveau Front Populaire, une nouvelle espérance, des avancées sociales – la sixième semaine de congés, les 32 heures, la retraite à 60 ans, la régularisation des immigrés comme en Espagne, l’augmentation des impôts, l’augmentation du SMIC à 2500 € et surtout, bouffer du riche.
Là où il faudrait un sursaut, une prise de conscience face au mur pour les uns, un abîme pour les autres, il se voit navigant à travers les nuages socialistes.
Taxons les riches, coupons les têtes multiples de l’hydre immonde capitaliste, etc.
Totalement débiles ces réflexions !
Du niveau des bobos étudiants de Sciences Po attardés et pro-palestiniens.
Éric Zemmour et Sarah Knafo ce dernier week-end ont pu démontrer par leurs discours les économies à faire.
Comment il serait possible de faire un budget qui soit un coup de barre à droite et tenter d’éviter le naufrage.
Contrairement à beaucoup, comme Sarkozy, Guaino, Retailleau et autres prétendus politiques de droite, la solution qui s’impose est la démission d’Emmanuel Macron.
` Eux affirment que cela mettrait en péril le devenir de nos institutions.
Qui met en péril l’avenir de la nation France si ce n’est la clef de voûte du système républicain ?
Qui en 1985 a inventé la cohabitation pour gouverner avec Mitterrand si ce n’est Jacques Chirac, cette droite républicaine dite gaulliste, qui aura trahi le premier cette Constitution et le socle présidentiel qui reposait sur l’allégeance d’une majorité législative à l’Assemblée avec les orientations du Président ?
Qui refit le même scénario, si ce n’est la gauche socialiste en 1997 avec Lionel Jospin et son complice Jacques Chirac, grâce à la brillante idée débile d’un Dominique Villepin qui mange du Qatar aujourd’hui !
Qui modifia la Constitution au congrès en y ajoutant le traité de Lisbonne, mit en place un référendum citoyen impossible à réaliser, qui retira l’obligation de faire un référendum avant l’entrée d’un nouvel État dans l’UE, c’est Nicolas Sarkozy.
Suite à sa trahison du référendum de 2005.
Qui a favorisé l’entrée de Mayotte, à 98 % musulmane, comme département français ? Toujours Sarkozy.
Ce sont ces gens-là qui nous parlent de ce qui est bien, interdit ou pas souhaitable.
Emmanuel Macron devrait partir de lui-même. Il y aurait de l’honneur, du courage politique.
Pas à la manière de Lionel Jospin qui, en 2002, refusa de poursuivre le combat politique et prit des vacances en Grèce lors du deuxième tour et des législatives qui suivirent.
La dissolution est nécessaire. Il faut clarifier le débat politique et permettre qu’il y ait une majorité à l’Assemblée nationale, même relative.
Le système de la cohabitation existe, le Premier ministre nommé aura les coudées plus franches.
Pourra-t-il réformer les différents Conseils – constitutionnel, d’État, de cassation – provoquer un référendum mettant la Constitution nationale au-dessus des lois européennes ?
C’est la vraie clef de voûte.
D’ici 2027, il faut absolument que ceux qui nous gouvernent dégagent du paysage politique non pas pour y mettre des demeurés islamo-gauchistes, des socialo-communistes, des couilles molles écolo-centristes et autres Républicains gauchisés, mais des amoureux de la France.
Par Gérard Brazon
Source : https://ripostelaique.com
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