lundi 29 septembre 2025

RÉSULTATS : UNE ANNÉE APRÈS UNE VACCINATION COVID ........

 LU , VU ET ENTENDU !

 ALERTE : CANCERS POST-VACCIN : L’ÉTUDE QUI FAIT TREMBLER LE SILENCE 
 
 Ils ont injecté. Maintenant les corps parlent. 8,4 millions de patients. 
Une base de données nationale. 
Un pays sans Big Pharma. 
 
Juste les chiffres. Juste les morts.  
 
Et les résultats ? Un carnage sous anesthésie médiatique.  
 
 Une étude publiée dans Biomarker Research révèle ce que des médecins courageux dénonçaient déjà à voix basse :  une explosion de cancers dans l’année qui suit la vaccination COVID. 
 
 Pas des impressions. Pas des cas isolés.
 
 Des statistiques. Des corrélations. Des organes ciblés.  
 
 LES CHIFFRES QUI TUENT LE DOUTE : 1 an après l’injection : +69 % de risque de cancer de la prostate +53 % pour le poumon +34 % pour l’estomac +35 % pour la thyroïde +28 % pour le côlon et le rectum +20 % pour le sein
 
 (Source : Biomarker Research, 2025) Et on ose encore dire que “les vaccins COVID sont sûrs et efficaces” ? 
 
 
  ILS ONT TOUT DÉNIÉ — JUSQU’À L’ÉVIDENCE 
 
 Pendant qu’on supprimait des comptes, pendant que des soignants étaient suspendus, pendant que des familles enterraient leurs proches trop jeunes, trop vite…  
 
 Les données s’accumulaient.  Et la pente devenait irréversible.
 
 Ce n’est plus un débat d’opinion, c’est un crash sanitaire mesurable.  
 
 PAS UN CAS SUR MILLIONS : UN RÉCIT COLLECTIF DISSIMULÉ 
 
 Le mythe : “Les vaccins ne font que sauver.” 
 
 La réalité : Une fraction de la population développe, dans les 12 mois, des tumeurs foudroyantes.
 
 Ces cancers ne sont pas normaux :  agressifs, jeunes, multiorganes, réfractaires 
  souvent détectés chez des personnes sans antécédents 
 
 
liés temporellement à l’injection… mais jamais déclarés comme tels 🔬 
 
LES MÉCANISMES ? ON LES CONNAÎT 
 
Les nanoparticules lipidiques ne restent pas dans le bras. 
 
Les études Pfizer l’avaient montré dès 2020 (biodistribution sur rats, ovaires, foie, ganglions). 
 
Mais on vous l’a caché.
 
 L’inflammation chronique, la dérégulation immunitaire, l’activation des cellules endothéliales : 
le terreau parfait pour faire flamber des cellules précancéreuses.
 
 Et tout ça… pour un virus à 0,05 % de létalité chez les jeunes. 
 
 
  L’OMERTA MÉDICO-MÉDIATIQUE NE TIENT PLUS 
 
Pourquoi cette étude sud-coréenne fait peur ? Parce qu’elle n’est pas européenne. Pas américaine. Pas sous influence. 
C’est un pays qui a les moyens de suivre ses citoyens avec rigueur, sans pression industrielle.
 
 Et maintenant que le chiffre est là, qui va répondre ?    L’OMS ?  Pfizer ?  Ursula von der Leyen ? 
 
 
  LA QUESTION QUI DOIT ÊTRE POSÉE : Combien de morts silencieuses va-t-on encore tolérer pour ne pas admettre l’erreur ?
 
 Ceux qui savent se taisent. 
 
Ceux qui parlent sont punis. Mais les chiffres, eux, ne se censurent pas.
 
  SOURCE : Biomarker Research – 2025 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination biomarkerres.biomedcentral.com/articles/10.11

  

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A transparent human skeleton with glowing blue bones and red highlighted areas on the chest, stomach, and pelvis, indicating specific organs. White text overlay reads "+69% DE CANCERS APRÈS INJECTION : ILS SAVAVAIENT".
e post pour indiquer qu'il comporte du contenu sensible.

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