Combien d'Abdelkader D. en France ?
À Marseille, un Tunisien nommé Abdelkader D., déjà connu des services de police, a blessé, mardi 2 septembre, plusieurs personnes au couteau en hurlant « Allah Akbar », avant d'être neutralisé mortellement par les forces de l'ordre.
Enfin une issue qui rend justice aux victimes !
Félicitons-nous de cette
élimination par balle, qui met fin à la menace de ce barbare sans
attendre un procès interminable.
Hélas, cela se termine rarement ainsi.
Trop souvent, les auteurs
d'attaques au couteau, presque toujours issus de l'immigration, écopent
de peines dérisoires, de sursis ou de libérations anticipées, au nom
d'une justice gauchiste qui protège les coupables plutôt que les
innocents.
Ce qui est terrifiant, c'est que des Abdelkader en puissance, les
Français en ont la juste intuition : il y en a des milliers en France,
prêts à en découdre au couteau à la moindre contrariété.
C'est un atavisme bien particulier, hérité de cultures où la violence est banalisée, où le djihad et la vengeance tribale imprègnent les esprits.
Ces individus, importés par des décennies de folie immigrationniste,
transforment nos rues en coupes-gorges et les Français vivent, à raison,
dans la peur.
La gauche et les élites bien-pensantes ferment les yeux, préférant
accuser le racisme des autochtones plutôt que d'affronter la réalité.
Mais les faits sont têtus : ces attaques se multiplient, de Nice à
Paris, en passant par Marseille, et ce n'est que la pointe émergée de
l'iceberg.
Les Français ne retrouveront la sécurité que si une remigration massive
est entreprise, renvoyant ces menaces potentielles dans leurs pays
d'origine.
Seul un État national, déterminé à protéger notre
civilisation, pourra imposer cette mesure vitale pour la France.
Thomas Joly -
Président du Parti de la France
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