lundi 29 septembre 2025

LE HOLD ! VOUS AVEZ VOULUS UN ÉTAT PALESTINIEN ! MAINTENANT PAYÉS .......

 

Le hold-up du siècle : Abbas va réclamer 2000 milliards aux pays qui ont reconnu un État palestinien

  

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Le hold-up du siècle !

Mahmoud Abbas – Président de l’Autorité palestinienne – s’apprête à encaisser : DEUX MILLE MILLIARDS de dollars, à la charge de chaque pays ayant reconnu l’État de Palestine.

En invoquant le fameux « droit international », Abbas entend contraindre les États signataires non seulement à payer pour leur geste symbolique, mais aussi à ouvrir grand leurs frontières : accueil sans condition de Palestiniens, libre circulation garantie. 

Le chiffre annoncé est vertigineux : cinq millions d’individus.
 

Le hold-up repose sur un mécanisme implacable : les États reconnaissants doivent solder un siècle de « torts historiques », en commençant par 1917 et la Déclaration Balfour. En clair : payer les Palestiniens, supposées victimes d’une spoliation de leurs terres et d’une confiscation de leurs biens.

La question cruciale : les dirigeants qui sont montés à la tribune de l’ONU pour clamer la naissance d’un État qui n’existe pas savaient-ils ce qu’ils signaient ?


S’agit-il d’un simple emballement politique ou d’un calcul cynique ? 

Ont-ils communiqué discrètement le numéro de leur compte off-shore.

 Pour toucher les dividendes ?


Il n’empêche. L’opération a été montée avec une habileté redoutable. 

Pas un seul observateur – et Dieu sait s’ils sont nombreux – n’a vu venir la manœuvre d’Abbas.

Deux interrogations demeurent :
 

Les chefs d’État étaient-ils réellement au courant ? 

Ont-ils sciemment joué la comédie, savourant quelques minutes de gloire sous les projecteurs de l’ONU avant de penser, in petto : « On avisera plus tard » ?
 

Peuvent-ils maintenant échapper au piège juridique ? Rien n’est moins sûr.

 Abbas n’est pas naïf. 

Il a eu tout le temps de construire ce guet-apens avec ses conseillers.

Il paraît peu probable, pour des raisons évidentes, que les États concernés puissent se rétracter : « Nous nous sommes trompés.

 Il n’existe pas d’État palestinien. »

 Oseront-ils avouer à leurs propres populations :« Nous ne savions pas dans quoi nous mettions les pieds ? »

 

Depuis des années, Israël avertit :
« La reconnaissance de la Palestine ne modérera pas ses revendications, elle les amplifiera, offrant de nouvelles plateformes de pression internationale plutôt qu’un chemin vers la paix » 

(Commentaire de Fundji Benedict).
 

Le rideau est tombé. 

Reste à voir comment nos dirigeants tenteront d’échapper à ce traquenard. 

Mais une chose est certaine : ce sont les poches des citoyens de chaque pays ayant reconnu l’État palestinien qui seront sollicitées, d’une façon ou d’une autre.

Par Raphaël Delpard

Source :  https://ripostelaique.com/ 


ET AUSSI 

Quand Grok résume la position du Parti de la France sur le conflit israélo-palestinien

24 Septembre 2025, 06:45am

Publié par Thomas Joly

Quand Grok résume la position du Parti de la France sur le conflit israélo-palestinien

 

L'IA Grok résume à peu près bien la position du Parti de la France sur le conflit israélo-palestinien :

Le Parti de la France (PdF), un parti nationaliste d'extrême droite, adopte une position de neutralité affirmée sur le conflit israélo-palestinien, souvent résumée par l'expression « Ni keffieh ni kippa », qui rejette à la fois un soutien aux Palestiniens et aux Israéliens. 

Cette stance est mise en avant dans des émissions et déclarations de ses cadres, comme lors d'un forum dédié au sujet où ils dénoncent l'« hystérisation » du débat en France. 

Le parti critique régulièrement ce qu'il perçoit comme un biais pro-israélien dominant dans les médias français (par exemple, accusant CNews d'être une « chaîne de propagande du gouvernement israélien ») et dans la classe politique, y compris au sein du Rassemblement national (RN), qu'il accuse de soumission à Israël pour obtenir une légitimité internationale.

Sur les actions spécifiques :

- Le PdF condamne les crimes du Hamas, comme l'assassinat de la famille Bibas, qualifié d'« ignoble », mais pointe du doigt une symétrie avec les « massacres » de familles palestiniennes par l'armée israélienne, soulignant un traitement médiatique inégal.

- Il critique les frappes israéliennes contre l'Iran (considérées comme une escalade irresponsable et contraire au droit international) et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, décrit comme menant une politique « belliciste et dangereuse » qui expose la région à un « engrenage tragique » et massacre les Palestiniens.

- Le parti s'oppose à la reconnaissance de l'État palestinien par Emmanuel Macron, la qualifiant d'« à contretemps » et d'inutile alors que Gaza est un « champ de ruines », tout en appelant à une désescalade générale sans ingérence étrangère.

 

Globalement, le PdF adopte une approche souverainiste et non-interventionniste, priorisant les intérêts nationaux français (comme l'immigration ou l'économie) sur ce conflit lointain, qu'il juge surmédiatisé et sans impact direct sur la France.

 Il n'exprime aucune sympathie pour le régime iranien ou le Hamas mais rejette toute allégeance à Israël, vu comme un État influençant indûment la politique française via des lobbies.

 Cette position s'inscrit dans une ligne plus large de diplomatie indépendante, refusant la soumission aux États-Unis et favorisant un partenariat avec la Russie.





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