TRIBUNE LIBRE !
Après Marine, Macron veut que ses juges se farcissent Rachida
La duplicité et la perversité de Macronescu sont sans limites.
Ce rancunier sadique n’a pas oublié que Rachida l’avait traité d’inconsistant en 2017, et qualifié ses apôtres de parti de traîtres en 2021.
Lui faire miroiter le pardon en la nommant ministre avant d’ordonner à ses procureurs de la faire plonger a dû lui procurer une intense jubilation.
Justice à deux vitesses ?
Plus que ça ! Il contrôle le char de l’État comme un tracteur agricole avec 24 vitesses avant et arrière.
En arrière toute ! Il en faut pour tous les cas de figure et pour tous les goûts.
Marine serait coupable d’avoir fait rémunérer légalement des assistants parlementaires, mais depuis l’enquête pointue du « Point » faisant suite aux révélations du site de ré-information « off investigation » plus personne ne demande où est passé l’argent de dingue palpé par Macronescu.
Les soupçons de transfert de plusieurs millions d’euros dans des paradis fiscaux ont été évacués par les juges, procureurs et hautes autorités de basse police qui se sont penchés sur le sujet.
Rachida serait coupable d’avoir exercé son métier d’avocate et d’avoir trop bien conseillé ses clients.
A-t-on jamais fait pareil reproche à Dupond-Maserati spécialisé dans l’acquittement des truands ?
Rachida risque de payer cher l’énorme faute qu’elle a commise : se mettre en travers de la route de l’Hidalgogole pour la mairie de Paris, après avoir douté des compétences du freluquet immature.
La mairesse est venue prendre de longues vacances en Polynésie, aux frais de la princesse, alors que la ville de Paris est ruinée, au prétexte de visiter le site olympique de surf sur lequel elle n’a pas daigné se rendre.
Mais les juges, les procureurs et les hautes autorités de basse police n’y ont trouvé rien à redire.
Le ministère de la Culture fut un lot de consolation pour mieux piéger Rachida ensuite
Ceux qui connaissent le fond du dossier n’ont pas le droit d’en divulguer les tenants et les aboutissants.
Par contre, avec ce que les autorités ont jeté en pâture aux échotiers, on peut relever une somme étonnante d’anomalies, d’approximations et de contradictions.
On lui reproche d’avoir reçu 900.000 euros d’honoraires entre 2010, 2011 et 2012 pour un contrat de conseils juridiques au bénéfice de RNBV, la superstructure de gestion englobant les partenaires de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Cela peut paraître énorme pour un gagne-petit, mais une fois payés la TVA, les taxes professionnelles, les cotisations sociales obligatoires et les impôts sur le revenu des professions libérales, c’est bien le diable s’il lui est resté en net le quart de cette somme, soit dans les 225.000 €.
Ventilés sur trois ans, cela ferait 6250 €/mois.
Pour mémoire, la paye d’un juge évolue entre 3.636 € et 9.825 €/mois.
Avec la garantie de l’emploi à vie.
Et la certitude de n’avoir jamais à répondre de ses fautes, tant qu’il n’a pas assassiné quelqu’un.
Derrière les sévères réquisitions du Parquet, plane l’ombre du tyran Macronescu
Les procureurs sont encadrés dans une hiérarchie quasi-militaire et doivent une obéissance absolue à leurs supérieurs.
Avec au sommet de la pyramide, le président de la ripoublique qui est autant juriste que grand féticheur.
Comme le Nigaud, fonctionnaire apparatchik du parti socialiste qui n’a jamais exercé de véritables activités juridiques.
On voit bien qui est à la manœuvre.
Car non seulement le ministère public a demandé de la poursuivre pour corruption, trafic d’influence, abus de pouvoir et abus de confiance.
Mais les 134 pages de réquisitions, consultées par l’AFP et citées par « Le Parisien » et « Le Monde », sont signées, fait unique, par le procureur général financier en personne, Jean-François Bohnert.
L’évaluation de la qualité des prestations d’un avocat et les limites au secret professionnel sont, dans toutes les dictatures, des épines dans les orteils des despotes, et le Francistan ne déroge pas à la règle.
Le Parquet national financier (PNF) que Macronescu surveille de près, soutient dans ses réquisitions que Rachida aurait usé de son influence au Parlement européen pour obtenir des décisions favorables à Renault et à Carlos Ghosn.
C’étaient ses clients.
Mais aucune preuve concrète de malversations n’est apportée.
Seulement des suspicions. Des présomptions. Des supputations.
Le tout ficelé dans une construction intellectuelle bancale. Comme contre Marine.
À la différence des éléments probants accumulés contre une brochette d’élus, de hiérarques et cadres supérieurs de l’Eurocrature qui ont reçu du Qatar des millions d’euros en espèces pour favoriser les intérêts des islamo-mafieux en Europe.
Mais on a passé l’éponge.
À la différence de Pustula von der La hyène qui a signé, sans y être habilitée, des contrats léonins favorisant Pfizer pour plusieurs milliards d’euros, contre des pseudo-vaccins surpayés, pour la plupart inutilisés (encore heureux !) et depuis périmés.
Une autre affaire aussi vite enterrée que le Qatar gate.
Les juges saisis du dossier Dati en 2019 pour des faits remontant à 2010-2012, auront mis presque six ans pour trouver fin 2024 des éléments incriminants, fragiles et contestables.
Les prestations fournies à ses clients seraient inexistantes.
Mais comment en apprécier la teneur puisque les juges reconnaissent qu’elles sont enrobées de confidentialité et que les avocats sont tenus au secret professionnel ?
Drôles de juges qui font passer la politique avant le Droit
La plupart des gens qui ont eu affaire aux chats fourrés (ne dites pas chattes fourrées, on pourrait l’interpréter de travers, même si la justice est largement féminisée) savent que dans les affaires civiles, la preuve doit résulter de documents écrits.
Tandis qu’au pénal, elle est libre, et peut faire appel à des témoignages.
À charge comme à décharge.
Et voilà que le PNF, sans doute pour complaire à son maître, mélange tout !
Les détectives de l’autocrate Macronescu oublient qu’il s’agit d’une procédure pénale et se comportent comme s’il s’agissait d’une vulgaire contestation sur une vente immobilière ou un contrat d’assurance.
Pour eux, les preuves matérielles des prestations de Rachida, comptes rendus, rapports, notes de synthèse, sont peu nombreuses.
Mais demande-t-on aux magistrats de justifier de leur travail au nombre de pièces de procédure écrites par leurs greffiers, qu’ils signent ?
Pour anéantir la défense de Rachida, les limiers admettent qu’il existe de nombreux témoignages de personnes ayant travaillé sur ces dossiers, établissant que les prestations étaient réelles.
Mais ces témoins sont récusés d’office puisqu’ils connaissaient la coupable.
Pourtant, les consultations juridiques succinctes, secrètes, ou même verbales ne sont pas interdites.
Mais pour les sbires du despote, ces preuves ne seraient pas recevables.
C’est comme pour l’élection truquée de 2020 aux USA. Il y avait abondance de preuves.
Mais les juges refusaient de les examiner.
Pour l’accusation, Dati exerçait une activité de lobbying dans l’intérêt de ses clients.
Mais quel avocat, lorsqu’il s’exprime dans les médias, ou représente son client en arbitrage pour défendre un contrat, ou négocier un accord avec ses adversaires, n’œuvre pas dans un domaine interpersonnel où un arrangement moyen vaut mieux qu’un long procès ?
Derrière Dati, c’est Carlos Ghosn qui est visé
Carlos Ghosn, 70 ans, réfugié au Liban depuis fin 2019 après sa fuite rocambolesque du Japon, est sous le coup depuis 2023 d’un mandat d’arrêt international.
Mais allez donc présenter ce papier aux autorités d’un pays où celui qui a la kalach fait la loi.
Les magistrats enragent de voir leur cible leur échapper.
Carlos, pas si fou, refuse de venir leur rendre visite en France. C’est un crime de lèse-hermine d’épitoge.
Faute d’avoir pu flinguer l’éléphant, les chasseurs se rabattent sur la gazelle.
Après l’avoir accusée de prestations fictives, ils changent leur fusil d’épaule en affirmant qu’il y avait bien un travail effectif de consultations juridiques, mais que celles-ci s’exerçaient dans le cadre du Parlement européen.
Sans apporter la moindre preuve de fraudes. Ni écrits ni témoignages d’une confusion des genres.
Un député peut continuer à exercer son métier d’avocat librement.
Ils sont tellement motivés à la faire plonger qu’ils ont rejeté des délais de prescription dépassés, alors que ceux-ci font le bonheur des truands, des narcotrafiquants et des terroristes.
C’est possible grâce à une finasserie judiciaire laissée à l’arbitraire du juge.
Les délais ne commenceraient à courir qu’à partir du moment où celui-ci affirme avoir eu connaissance d’un délit éventuel.
Un peu facile, non ?
Par Christian Navis
Source : https://fascismedefrance.blogspot.com/
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