dimanche 17 décembre 2023

AVANT QU' IL NE SOIT TROP TARD ! QUE VIVE ? LA FRANCE ! ( JONATHAN STUREL )

 


À tous les défaitistes de droite, les déprimés, les briseurs de grèves qui démoralisent les autres par leurs commentaires systématiquement décourageants : 
 
➡️Le fait que nos idées n'ont pas été entièrement éradiquées de l'espace public et qu'en plus elles progressent de façon fulgurante ; 
 
➡️Le fait que de plus en plus de Français nous rejoignent sur nos analyses, nos constats et nos propositions... 
 
➡️... alors que depuis trente ans la TOTALITÉ des médias, des gouvernements, des assemblées, des universités, des profs, des institutions, des artistes, des associatifs, des journalistes, des entreprises, ont TOUT fait pour nous diaboliser, nous exclure, nous salir, nous supprimer, nous condamner, nous ostraciser, nous nazifier ;
 
➡️Alors que pendant ces trente dernières années nous n'avions pas un média pour nous relayer, pas un syndicat pour nous défendre où que ce soit, pas un euro de subvention, pas un ministre, pas un juge pour nous soulager contre la folle pression juridique qui s’exerçait sur nous :
 
Nous sommes, en 2023, et de très loin le courant de pensée qui a le plus de convaincus dans la France et dont le nombre des convaincus augmente de jour en jour à la différence de tous les autres courants qui eux stagnent, régressent voire disparaissent carrément du jeu.
 
Ce à quoi nous assistons, j'appelle cela le miracle français. 
 
Quasi mathématiquement il n'y avait aucune chance pour que nous soyons encore là en 2023 ; or nous sommes là et nous sommes de plus en plus nombreux.
 
Nous gagnons la bataille des idées qui est la mère de toutes les batailles. 
 
Sans cette victoire, rien n'est possible ; grâce à elle, tout l'est.
 
Qui vive ? France !
 
 

Par Jonathan Sturel
 

 
 TWITTER
 
"Islamo-gauchisme : par peur, on a toléré l'intolérable chez les partis de gauche du monde entier. 
 
La paix civile en France peut être en jeu. 
Ça va être très dur de redevenir, unis parce que ça fait 34 ans qu'on recule pour éviter les tensions."
 
 [Elisabeth Badinter]
 


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