jeudi 31 juillet 2025

LE ROCHER MISTRAL VICTIME DE LA HAINE DE LA FRANCE ....

 

Le Rocher Mistral, énième victime de la haine de la France



     

     

L’extrême gauche n’a pas beaucoup de cordes à son arc. 

On peut dire qu’elle a figé les principaux numéros de son petit spectacle entre 1793 et 1917. 

Depuis la révolution d’Octobre, seules les modalités de sa haine ont changé.

 Juges injustes, journalistes menteurs, exécutions publiques (qu’elles soient symboliques ou physiques). 

On est en 2025 et c’est toujours un petit peu pareil. 

Les cibles, elles non plus, n’ont pas changé : tout ce qui a un rapport, même lointain, avec la beauté, la grandeur, l’Histoire ou la transmission doit être éradiqué par tous les moyens. 

On se souvient du livre foutraque et à charge qu’avait rédigé un quarteron de professeurs en goguette, au sujet du Puy du Fou.

À ce sujet — [Justice] Rocher Mistral, le Puy du Fou provençal, menacé

 

Dernière occurrence de ce déchaînement de médiocrité : la ténébreuse affaire du Rocher Mistral. 

Ce petit coin de Provence, accroché à un rocher, a été racheté, il y a quelques années, par un jeune homme, Vianney d’Alançon, qui a mis toute son énergie et toutes ses économies dans la double réhabilitation du patrimoine architectural et de l’histoire de la Provence, et de la France en général.

 Si vous n’avez pas encore visité ce parc, courez-y : c’est remarquable, réjouissant, destiné à toute la famille et d’une beauté à couper le souffle. 

 

Il n’en fallait pas plus pour susciter la réaction d’une députée écologiste du Val-de-Marne, une certaine Sophie Taillé-Polian, qui s’est rendue dans les Bouches-du-Rhône la semaine dernière afin d’y tenir une conférence pour dire tout le mal qu’elle pensait de ce parc de loisirs à vocation historique.

Depuis 2019, depuis que M. d’Alançon a racheté puis rebâti cette ruine sublime qui appartint au célèbre roi René, les plaintes s »accumulent de la part des « assoces » d’ultra-gauche, souvent sous des prétextes écologiques. 

 

Toutes les directions régionales les plus diverses, avec votre argent, ont emboîté le pas. 

Tous les permis de construire demandés par le Rocher Mistral ont été refusés, toutes les plaintes qu’il a déposées sont restées lettre morte.

Lors de la réunion du 17 juillet, tout y est passé pour essayer de déglinguer le Rocher Mistral : sa prétendue indifférence à la législation, la supposée complicité dont il bénéficierait de la part de l’État (alors que, bon, quand on regarde…), jusqu’à ce qu’on en vienne au cœur du sujet.

 Et le cœur du sujet, c’est l’idéologie.

 Écoutons la députée : « Puisque des milliers d’élèves visitent chaque année le parc, je poserai la question de son intérêt pédagogique à la ministre de l’Éducation. 

Peut-être qu’il y en a un, après tout… » 

Mais quand on lui demande si elle veut que le parc ferme, elle répond par la négative. 

Ce qu’elle veut, c’est « un projet adapté au territoire et à ses habitants »

 En langage socialiste : s’accaparer le Rocher Mistral pour en faire, par exemple, un lieu solidaire, un musée LGBT ou une rétrospective des méfaits de la colonisation. 

Les coucous sont à l’œuvre.

 

Chaque année, malgré toute cette méchanceté, cette haine et ce combat d’usure administratif, le Rocher Mistral accueille 150.000 visiteurs.

 C’est cela, que le peuple préfère : l’histoire de son pays, la beauté, la grandeur, l’amour de ce que l’on a été et la volonté de le transmettre aux enfants qui viendront après nous. 

 

Désolé pour les gauchistes. 

Quand ils auront compris, feront-ils taire, dans le fond de leur cœur, leur haine de sans-culotte ? 

On peut toujours rêver…

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Boulevard Voltaire

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