TRIBUNE LIBRE !
Cette semaine, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin analysent la stratégie médiatique d’Emmanuel Macron, entre mises en scène controversées et interviews polémiques.
Au programme : 🎥 L’image de la semaine : Le « narcogate » diplomatique 01:05 – 08:30 L’occasion de revenir sur la vidéo devenue virale où Emmanuel Macron cache un mouchoir lors d’une réunion internationale : une polémique artificielle pour masquer les vrais enjeux !
📰 Le dossier du jour : Macron sur TF1, le show de la dernière chance ? 08:30 – 22:00 Retour sur l’interview marathon face à des influenceurs et des membres de la société civile comme Tibo InShape, Robert Ménard ou Salomé Saqué. Un spectacle innovant certes, mais pénible même pour la presse habituellement acquise à la cause du président et surtout une chute vertigineuse des audiences avec seulement 5,78 millions de téléspectateurs.
💡 Les pastilles de l’info :
- 3ème mandat pour Delphine Ernotte : France Télévisions enterre le pluralisme 22:00 – 27:02
- Pompiers lynchés en Haute-Savoie : le député LFI Coquerel met la faute sur les films d’action ! 27:02 – 28:30
- Tentative d’enlèvement à Paris : faut-il une rubrique « insécurité » dans les médias ? 28:30 – 29:23
- Des marches “LGBT” repeintes en blanc : quand l’immigration efface le wokisme 29:23 – 30:29
Conclusion 30:29 – 31:12 🎙️ Portrait piquant : François Bousquet 31:12 – 35:17
Le journaliste et auteur du livre « Le racisme antiblanc » (éd. La
Nouvelle Librairie) démasqué par l’Observatoire du journalisme.
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Le chef Bison Futé de la tribu des Nez Poudrés a parlé
Après avoir fumé son calumet, Bison Futé de la tribu des Nez Poudrés (ne pas confondre avec les valeureux Nez Percés), très satisfait de ce qu’il n’a pas fait, nous a mis sur des pistes qui mène nulle part.
Ne pouvant faire mieux que ce qu’il a déjà raté avec persévérance, il a promis que ça pourrait être pire et qu’il ferait tout, cette fois, pour réussir le versement social unique, c’est-à-dire une solidarité à la source.
Une mesure qui, selon l’emplumé, aidera notamment les jeunes guerriers, davantage confrontés à la pauvreté que leurs aînés.
8 ans de Bison Futé et les pauvres sont de plus en plus pauvres, 8 ans de la tribu des Nez Poudrés et les jeunes guerriers sont de plus en plus en guerre.
Les chefs de tribu ayant assisté au pow wow de la caricature de Sitting Bulls (bisons assis) ont vu en lui plutôt qu’un Bison Futé un mouton à 5 pattes, une anomalie génétique, un raté atavique.
De mauvaises langues bien renseignées murmurent que ce bison dégénéré est plutôt une brebis emplumée, une mutation de plus en plus courante.
Cette anomalie du mouton à 5 pattes a souvent une connotation positive. Malheureusement, pour le peuple des territoires perdus, cette fois ce n’est pas le cas.
Le mouton à 5 pattes n’a pas su sur quel pied danser et il a failli en tomber, bousculé.
Hors-sol, impuissant chef de guerre à regagner les territoires abandonnés aux tribus muzz, il n’a formulé aucun mea-culpa, pas la moindre autocritique, persuadé d’avoir tout réussi.
Il avait déclaré vouloir prendre l’avis de son peuple, se sentant incapable de prendre une bonne décision.
Disant que sa constitution mal foutue (le grand chef Zemmour avait dit qu’il n’était pas fini) et son règne en fin de vie ne lui permettant pas de consulter les Indiens de souche sur l’invasion du nouveau peuple, il s’est prononcé pour une consultation sur la fin de vie et l’aide à mourir.
Un projet qui lui tient à cœur ? (A-t-il une âme sœur à envoyer au grand manitou ?)
Pourquoi aurions-nous besoin d’une aide à mourir ?
Notre réserve d’Indiens en est déjà bien dotée : avec Bison Futé, on a toutes les occasions de mourir de rire ou de mourir d’ennui.
Ce grand soir de ce touche-à-tout restera une de ses plus grandes réussites dans les annales des réserves des nations indiennes.
Il a à nouveau fait la preuve que l’on pouvait parler pour ne rien dire, un exercice très difficile dans lequel il est excellent, sinon le meilleur.
Les tam-tam ont résonné dans toutes les tribus, les signaux de fumée ont parlé, en bon imitateur de Raymond Devos, le Bison Futé des Nez Poudrés a bien fait rire dans les tipis.
Moi, je l’avoue, je ne le l’ai pas regardé de peur de mourir d’ennui.
De tous les commentaires sur le verbeux emplumé, je n’en ai retenu qu’un.
Bison Futé a fait un terrible aveu, il est décidé à mieux répartir l’effort des « de souche ».
Fanatique, pénétré par les wokes, soumis à toutes les nations, il est convaincu que notre réserve doit être conquise et notre peuple originel remplacé.
Bison Dégénéré veut répartir les envahisseurs sur tous les territoires de notre réserve, notamment en zone rurale pour mieux les intégrer.
Ménard, un chef sioux, lui a dit que dans sa tribu du sud de la réserve, les intégrés sont déjà suffisamment nombreux, les 2/3 des enfants étant déjà des intégrés, belliqueux, bien mal assimilés.
Rien n’y a fait, Bison Futé, buté, continue d’affirmer que la solution est dans l’effort des Français à se faire intégrer de force.
Dans ma tribu abandonnée de l’Ariège rurale, hier je regardais une classe d’enfants de 6 ans accompagnés par 2 institutrices traverser la route qui mène à l’école.
Au moins 1/3 des enfants étaient des intégrés.
Quelle Chance ! Mais pour combien de temps ?
Arrivé en 2007, on ne voyait pas un seul intégré, maintenant on voit plusieurs intégrées voilées tous les jours, avec des petits sentiments d’insécurité accrochés à leur abaya.
Bison Futé, notre emplumé de première, est un grand sentimental.
Il a décidé de faire découvrir le sentiment d’insécurité à toutes les tribus de notre réserve d’autochtones, par souci d’égalité et de fraternité.
Aveugle et con à la fois, il a fini son pow wow, par une dernière macronie « le défi des défis, c’est de rester libre, de ne pas subir ».
La liberté rend libre ? Mon œil, la liberté dans la tribu des Nez Poudrés, c’est ferme ta gueule et baisse la tête.
Pour finir, voici quelques citations et la dernière du dangereux poudré liquidateur de notre peuple :
« Il n’y a pas de limite à l’humour, qui est au service de la liberté d’expression car, là où l’humour s’arrête, bien souvent, la place est laissée à la censure ou à l’autocensure »
« Tout peuple qui s’endort en liberté se réveillera en servitude »
« L’arrivée de populations issues d’autres civilisations affaiblit en effet la conscience nationale et crée une nouvelle base d’électeurs pour les forces progressistes et libérales croyant dans les institutions politiques supranationales »
« Les progressistes blancs battent leur coulpe pour faire leur autocritique et rester du côté des gentils, des alliés aux minorités, plutôt que de sembler être dans le camp des racistes.
Cette servilité ne leur sera d’aucune aide ; la soumission ne paie jamais et il leur sera demandé toujours plus de contritions »
Contrairement à ce que disent certains, nous ne sommes pas aujourd’hui confrontés à une vague d’immigration. […]
Le sujet de l’immigration ne devrait donc pas inquiéter la population française. […]
Nous ne devons pas mentir à nos concitoyens : l’immigration n’est pas quelque chose dont nous pourrions nous départir.
De surcroît, l’immigration se révèle une chance d’un point économique, culturel, social.
Dans toutes les théories de la croissance, elle fait partie des déterminants positifs.
Mais à condition de savoir la prendre en charge.
Quand on sait les intégrer, les former, les femmes et les hommes renouvellent notre société, lui donnent une impulsion nouvelle, des élans d’inventivité, d’innovation.
Par Daniel Faguet https://ripostelaique.com/
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