Un homme regarde une photographie de Salvador Dali, Barcelone, 06/10/2003. BERNAT ARMANGU/AP/SIPA
La
monumentale biographie écrite en anglais par Ian Gibson vient d’être
traduite en français.
On y découvre que Dalí était un authentique
surréaliste, avant d’être un véritable croyant catholique, bien que ses
dernières années soient peu glorieuses.
Le genre biographique, désormais, a
ses propres conventions.
Le temps est loin où La Fontaine, voulant
écrire la vie d’Ésope, débutait par un prudent : « Nous n’avons rien
d’assuré touchant la naissance d’Homère et d’Ésope.
À peine même
sait-on ce qui leur est arrivé de plus remarquable. » De nos jours,un biographe ne pourrait être aussi restrictif. Il lui faut tout dire, avancer tous les faits, et que son enquête journalistique n’ait
rien laissé dans l’ombre.
Dans sa somme sur Salvador Dalí, qui vient
d’être traduite en français, l’écrivain irlandais Ian Gibson propose de
nous raconter, au jour le jour, « la vie effrénée » du peintre surréaliste. Entreprise ambitieuse que de s’attaquer ainsi à celui qui se revendiquait comme un « génie »,
à l’égal de Picasso ou de Raphaël. Il faut à Ian Gibson plus de 600
pages (on est loin d’Ésope) pour révéler la personnalité emblématique de
l’inventeur des « montres molles ».
Un peintre surréaliste avant tout
L’un des aspects les plus
intéressants, à mon sens, du livre de Ian Gibson, consiste à revendiquer
pour Dalí une appartenance indiscutable au mouvement surréaliste.
Dalí,
en réalité, doit tout à cette influence majeure, qui le ramenait à ses
préoccupations les plus intimes. Le personnage important de l’époque,
pour lui, c’était André Breton, tête pensante et autorité fédératrice du
mouvement.
Ian Gibson note par exemple, à propos du jeune Dalí : « Non seulement Dalí suivait le travail de Breton avec une grande attention, lorsqu’il apparaissait dans La Révolution surréaliste, mais il se procurait ses livres… » Le Second manifeste du surréalisme,
indique Gibson, marqua profondément le peintre. De son côté, Breton
n’hésitait pas à faire savoir combien fut importante pour lui la
production de son cadet, et cela, dès la fin des années 1920.
Comme
l’explicite très bien Gibson, pour résumer cet état de fascination
réciproque, du moins à cette date : « Pour Breton, l’œuvre actuelle
de Dalí apporte une contribution dévastatrice à l’attaque des
surréalistes contre les valeurs de la société contemporaine et contre la
réalité conventionnelle.
» Cette relation entre les deux hommes, cette « amitié d’astres » comme disait Nietzsche, est vraiment une très belle chose, même si, par la suite, Breton prit ses distances avec « Avida Dollars ».
Sa rencontre fulgurante avec Gala
Ian Gibson estime que ces années
surréalistes de Dalí, jusqu’à son départ pour l’Amérique en 1940, sont
les plus belles de sa carrière. Ian Gibson est davantage journaliste que
critique d’art. Il énumère les peintures de Dalí, à l’occasion il les
décrit, mais n’essaie jamais d’en faire ressortir l’indicible beauté.
Cependant, tous les éléments sont mentionnés, tout ce qui a pu avoir une
empreinte directe sur la création du maître.
Ian Gibson, ainsi, n’omet
pas d’insister sur la sexualité de Dalí qui, on le sait, était fondée,
pour une large part, sur l’onanisme (voir son tableau Le Grand Masturbateur,
1929).
Sa rencontre fulgurante avec Gala fut un éblouissement érotique
inoubliable. Ian Gibson, au passage, rend justice au personnage
extraordinaire que fut Gala.
Ian Gibson s’arrête longuement sur une invention essentielle de Dalí, qu’il a dénommée la « méthode paranoïaque-critique » et qu’il a décrite à plusieurs reprises, notamment dans un article paru dans la revue Le Surréalisme au service de la révolution (juillet 1930) et intitulé « L’âne pourri », dont Jacques Lacan fut le lecteur admiratif. Dans son Journal d’un génie, Dalí en donnait l’explication suivante : « D’une
façon générale, il s’agirait de la systématisation la plus rigoureuse
des phénomènes et des matériaux les plus délirants, dans l’intention de
rendre tangiblement créatives mes idées les plus obsessivement
dangereuses. »
Gibson relate que le grand-père de Dalí souffrait de
paranoïa. Et Dalí avait lu aussi certains livres de Freud, récemment
traduits en espagnol, en particulier l’Introduction à la psychanalyse, où le Viennois affirmait que la paranoïa apparaissait chez l’individu pour « repousser des impulsions homosexuelles excessivement fortes ». Le désir homosexuel était l’une des hantises de Dalí.
Le Dalí « publicitaire »
Et puis, il y a bien sûr le Dalí « publicitaire »,
celui des frivoles années 70 surtout. Ian Gibson se désespère de voir
un si grand artiste plonger dans de tels abîmes de vulgarité.
Il écrit, à
mon avis fort justement : « Un goût excellent était bien la
dernière chose qui caractérisait le peintre, dont le but, ainsi qu’il
l’avoua plus tard, était de crétiniser le public. »
Il est vrai que
Dalí a pu choquer délibérément ses admirateurs, par exemple en se
ralliant à Franco, lorsqu’en 1948, avec Gala, il est revenu en Espagne.
Mais pourquoi, sur une autre question, réservée à la conscience stricte
de chacun, je veux parler de la religion, remettre en cause, comme le
fait Ian Gibson, la sincérité de Dalí ?
Sur ses vieux jours, Dalí,
profondément désespéré, a cherché, je le cite : « les signes d’une renaissance spirituelle avec l’Église de Rome en fer de lance ».
Or, voilà quecela
ne plaît pas à son biographe − dont il faut pourtant, je crois, lire le
livre, car il transmet au lecteur l’authentique folie de Dalí, dont
l’écho, désormais plus familier à nos oreilles, propage une
indestructible résonance de vérité.
Ian Gibson, La Vie effrénée de Salvador Dalí. Éd. Le Cherche Midi, 664 pages, 89 €.
C’est avec une très vive émotion et une profonde tristesse que nous avons appris le rappel à Dieu de notre ami et camarade Eric Staelens.
Adhérent et militant de longue date du Front National, Eric était devenu responsable national du DPS, Département Protection et Sécurité, chargé d’assurer la sécurité des réunions et manifestations du Front National.
Scandalisé par l’éviction de notre Président Jean-Marie Le Pen de l’œuvre qu’il avait fondée, Eric avait mis en place, sous l’autorité de Patrick Hays, « Les Mousquetaires du Président », dernier groupement des plus fidèles, chargés d’assurer la protection rapprochée de Jean-Marie Le Pen.
À son épouse Martine, à sa famille et à tous ses amis, le Parti de la France adresse ses sincères condoléances les plus attristées.
Nous perdons, avec Éric, un grand et fidèle militant de la cause nationale, mais aussi un très sympathique ami et camarade de combat.
À Dieu mon Cher Eric !
Nous ne t’oublierons jamais dans nos pensées et nos prières.
Alexandre Simonnot - Délégué général du Parti de la France
·
vendredi, 27 décembre 2024
Notre Ami Eric Staelens, chef des Mousquetaires, est décédé cette nuit
Éric, à gauche, avec, autour de Jean-Marie Le Pen, quelques Mousquetaires dont Robert Dunoyer, disparu il y a quelques années.
Je
viens d'apprendre avec une grande tristesse le décès, hier soir vers 23
h, de notre Camarade et Ami Éric Stealens.
Militant exemplaire, doté
d'un véritable charisme, calme et courageux et d'une gentillesse d'homme
de qualité, Éric avait 76 ans.
Depuis des années, il assurait la direction du service d'ordre, entre autres, lors de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale à Rungis et de nos différentes réunions, tant à Paris qu'en provinces.
Fidèle
à Jean-Marie Le Pen, il avait créé, au début des années 2010, avec
toute son équipe, "Les Mousquetaires du Président" destinés a assurer la
sécurité du Menhir lors de ses déplacements.
Il
y a trois jours, nous avions échangé nos voeux de bon Noël.
Evidemment,
j'étais à cent lieux d'imaginer que, ce matin, j'écrirai ces lignes.
Nous reviendrons très vite sur cette triste nouvelle.
À
Martine, son épouse, à ses enfants et ses petits-enfants, eux aussi
engagés dans le combat pour la France, toute la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances les plus attristées.
Quand nous chantions tous ensembles aux BBR au Stand RÉVOLTE !
Paroles de la chanson
Les oies sauvages
par Jean Pax Méfret
Il fait gris sur la vie,
Il manque un ami,
La dame blanche l’attendait Il fait lourd sur la nuit
Quand on est saisi
Par l’avalanche des regrets
On essaie d’inventer encore un peu de sa présence
On essaie d’accepter toutes les raisons de son absence
On dit qu’il a rejoint les oies sauvages,
Qui sont là-haut dans les nuages
Rassemblées sur nos destinées
Regarde il nous a laissé ses bagages
Il est parti pendant l’orage
Personne ne l’a vu s’éloigner
A chacun sa vie
On l’a souvent dit
Sans jamais vraiment le penser
Il pleut de l’ennui
Sur les vieux treillis
Aux souvenirs du temps passé
Et quand on voit passer les oies sauvages
En escadrilles dans les nuages
On a parfois de drôles d’idées
Ecoute dans le sifflement des mirages,
On croirait qu’elles lancent un message,
sûr que c’est lui qui l’a dicté
Apportez-nous des verres
On va trinquer à nos galères
Allumer des lumières
A la mémoire de notre frère
Un jour on rejoindra les oies sauvages
Et ceux qui sont morts avant l’âge
Qui nous attendent à leurs côtés
Ici on est simplement de passage
En transit pour le long voyage
Celui dont on ne revient jamais
Un jour on rejoindra les oies sauvages
Et ceux qui sont morts avant l’âge
Qui nous attendent à leurs côtés
Ici on est simplement de passage
En transit pour le long voyage
Celui dont on ne revient jamais
Bien
sûr, avec son opportunisme et son plaisir égocentrique à se mettre en
scène, Macron va essayer de profiter de la cérémonie de réouverture de
Notre-Dame, cinq ans et demi après l’incendie, pour attirer tous les
regards sur lui et s’attribuer le mérite de cette nouvelle preuve du
génie français.
Mais en
2016, Paolo Vannucci, professeur d’ingénierie mécanique à l’université
de Versailles, avait transmis au gouvernement français son rapport sur
les risques d’incendie de la toiture de Notre-Dame, qui préconisait
l’installation d’un système de prévention des incendies.
En arrivant au pouvoir, en mai 2017, Emmanuel Macron avait refusé de donner suite à ce rapport.
Ainsi,
Macron, qui est le Président français le plus incompétent de toute
l’Histoire, a non seulement détruit l’économie française, et l’industrie
française, et l’agriculture française, mais il a aussi refusé de
protéger Notre-Dame contre la destruction !
Aujourd’hui,
à l’occasion de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, restaurée
en 5 ans par les artisans français, utilisant les techniques françaises,
grâce aux dons des citoyens français, nous remettons en ligne notre
vidéo, qui dénonçait le scélérat Macron, qui a laissé Notre-Dame brûler,
par haine anti-française !
D’autre
part, comment prendre au sérieux la thèse des autorités françaises, qui
avaient donné l’ordre à l’ensemble des médias de propagande de
marteler, au bout d’un quart d’heure d’incendie, que la seule version
possible était accidentelle, refusant d’envisager une piste criminelle,
dans un contexte où nos églises subissaient quotidiennement des
agressions, avec la complicité passive des différents gouvernements qui
se succédaient ?
Pourtant, parmi les
sceptiques, une voix bien connue des lecteurs de Riposte Laïque
exprimait ses doutes sur la version officielle, et sa douleur de voir un
joyau de la culture française partir ainsi en fumée.
Nous
n’oublierons jamais l’attitude de la classe politique au pouvoir, et de
toute la gauche, quand les Femens, en toute impunité, profanaient
Notre-Dame, avec toute la vulgarité dont elles étaient capables, mais
quand les juges les relaxaient, mais condamnaient les gardiens qui
avaient essayé d’éviter le pire.
Les
Français ont compris que tant que Macron et sa clique seront au pouvoir,
aucune enquête sérieuse ne sera menée et n’aboutira. Reste à espérer
qu’à l’image de Donald Trump, qui sera présent, un nouveau président de
la République renversera la table, et dira enfin aux Français toute la
vérité qui leur est due sur ce curieux incendie.
Inauguration, à Notre-Dame, entachée de suspicion d’attentat
Le couvercle hermétique d’un silence inquiétant, dès lors que
l’islam, lorsque ce culte est impliqué, ne doit pas être cité, sinon
flouté au nom du « calmer-le-jeu ».
Par Daniel Desurvire
Inauguration, à Notre-Dame, entachée de suspicion d’attentat
L’incendie de Notre-Dame résulte possiblement d’un attentat islamique
que ne pouvait pas écarter d’office l’État-major de l’Élysée, devant le
nombre de vandalismes et d’incendies perpétrés sur des édifices
chrétiens en France, dont précisément après une tentative d’explosion au
gaz sur Notre-Dame de Paris trois années auparavant par des femmes en
burqa, ainsi vu plus bas.
Si l’enquête diligentée dans le silence
complice du corps politique de la Chancellerie, des pompiers puis des
services de la police judiciaire du quai d’Orsay, tous aux ordres de
l’Exécutif, avait abouti à cette vraisemblance étayée des faits
d’actualité, la révélation d’un attentat criminel aurait mis à mal la
politique d’immigration islamique emmenée en France par Emmanuel Macron.
Voici un article d’investigation qui fut publié dans le média L’Observatoire du Mensonge,
dont le contenu du texte fut inséré dans l’ouvrage publié par ce même
éditeur alternatif d’information libre, le 2 septembre 2019, p. 94 à 96,
sous le titre « Et la laïcité ? Bordel ! ».
°°°
La tragédie qui enflamma autant la Cathédrale de Paris que les débats sur le financement de la reconstruction de Notre-Dame,
occulta bizarrement les préliminaires de l’instruction secrètement
menée sur les responsables présumés de l’incendie, lequel dévasta une
partie de l’édifice le 15 avril 2019.
Ce silence assourdissant, où les
médias ne se préoccupent nullement de la procédure d’enquête dont
l’accès aux résultats leurs sont interdits, tel un secret-défense,
prouve si besoin était, la collusion politico-judiciaire autour du
couvercle hermétique d’un silence inquiétant, dès lors que l’islam,
lorsque ce culte est impliqué, ne doit pas être cité, sinon flouté au
nom du « calmer-le-jeu ».
Pour en savoir davantage, après
examen des probabilités peu crédibles d’accident ou de négligence, il
serait judicieux d’examiner les tentatives de destruction terroristes
qui furent dénombrées récemment sur de tels bâtiments prestigieux de
l’histoire féodale en France.
Précisément,
Notre-Dame de Paris fut déjà l’objet, dans la nuit du 4 au 5 septembre
2016, d’une tentative d’attentat à la bombe piégée par deux radicalistes
musulmanes, Ornella Gilligmann : (29 ans, convertie à l’Islam en 2009
et fichée « S » pour s’être rendue en Syrie en septembre 2014)
et la jeune Oum Seyfullah (alias Inès Madani, 19 ans), radicalisée par
Abou Omar, un gourou connu des brigades antiterroristes.
Voilées d’un
hidjab noir, à bord d’une Peugeot 607 chargée de six bombonnes de gaz et
de trois bouteilles de gazole, le commando féminin, depuis le garage de
l’un de leurs complices, Amel Sakaou, abandonna leur véhicule piégé à
proximité de Notre-Dame, après avoir vainement tenté, à deux reprises,
vers 3h 30 du matin, d’allumer à la cigarette leur chargement explosif à
l’aide d’un textile trempé d’hydrocarbure.
Bien heureusement, la
méconnaissance pyrotechnique de ce matériel de fortune, puis le
dérangement occasionné dans le secteur et la précipitation auront eu
raison de cet attentat avorté.
Mais ne nous y trompons pas, l’intention
de détruire Notre Dame de Paris, symbole de la chrétienté en ces lieux
historiques dans l’île de la Cité, résulte d’un engagement radical de
musulmans, laissant conjecturer ce qu’il se produisit par la suite.
Dans la nuit du 2 au 3 mars 2019, un réfugié pakistanais de 41 ans,
en situation irrégulière, s’est livré à de nombreuses destructions dans
la basilique Saint-Denis.
Ce migrant sans-papiers s’est rendu coupable
d’actes de vandalisme sur deux portes, plusieurs vitraux retravaillés
par Debret et Viollet le Duc par suite des destructions sous la
Révolution, dont l’un fut brisé lors de l’intrusion du Pakistanais dans
la Cité des rois, ainsi que l’orgue qui fut sauvagement saccagé.
Outre
la réparation de deux serrures anciennes, le rétablissement du
fonctionnement de l’instrument est évalué à dix mille euros, tandis que
la remise en état des vitraux, datant du 19ème siècle, suppose un préjudice minimum de quarante mille euros.
Un projet d’attentat à la bombe fut planifié pour le 26 décembre 2000
par un groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).
Cette
action de vandalisme fut cependant déjouée durant l’hiver, visant
simultanément le marché de Noël au pied de la Cathédrale de Strasbourg ;
symbole de la chrétienté régionale.
Parmi les quatorze militants
islamiques, Slimane Khalfaoui et Mirouane Ben Ahmed furent appréhendés
et jugés sur le territoire français, tandis que Yacine Akhnouche et
Rabah Kadri furent arrêtés et incarcérés au Royaume-Uni de Grande
Bretagne. Quatre autre de ces terroristes, dont le chef opérationnel
Rachid Boukhalfa, alias Abou Doha dit « le docteur » (lieutenant d’Oussama Ben Laden), furent jugés en Allemagne et au Royaume-Uni. Certaines complicités se sont évaporées.
D’autres départs de feu furent signalés le 17 mars 2019 à l’Église
Saint-Sulpice à Paris, puis dans la Cathédrale Saint-Alain à Lavaur dans
le Tarn le 5 février 2019.
Le coût global de restauration de ces actes
de vandalisme se chiffre à plusieurs centaines de milliers d’euros.
Tous
les auteurs de ces déprédations ne sont pas connus, notamment à
l’Église Saint-Sulpice, mais de fortes présomptions laissent conjecturer
la nature et l’origine de cette haine contre une religion d’Abraham qui
prêche l’amour et la concorde ; des enseignements humanistes que ne
partagea certes pas le prophète des Musulmans.
Revenant à l’incendie de Notre-Dame de Paris qui s’est déclaré près
de la charpente du monument dans la soirée du 15 avril 2019, plusieurs
zones d’ombre restent non élucidées.
Des travaux de restauration étaient
en cours sur l’ouvrage échafaudé sur l’aile de la flèche. Sachant
qu’aucun câble ni boîte d’énergie ne furent installés sous la charpente,
dite « forêt », précisément pour éviter tout risque de
court-circuit électrique, il s’avère surprenant que des flammes
apparurent spontanément au niveau des échafaudages positionnés sur la
toiture.
Selon le procureur de Paris, Rémy Heitz, deux alarmes sonores de
détecteur de fumée se déclenchèrent successivement à 18 h 20 puis à 18 h
43, soit à 23 minutes d’intervalle.
Passé la procédure de levée de
doute, l’évacuation fut exigée. S’agissant de l’anomalie présumée sur
l’écart entre ces deux alertes sonores, l’hypothèse émise autour d’un
défaut informatique sur le boîtier de commande de sécurité de l’édifice
fut écarté.
Ce qui revient à présumer qu’il y eut vraisemblablement deux départs de feu distincts,
non une première fausse alerte dont serait responsable une sirène
incendie défectueuse, bizarrement suivie d’une seconde avérée justifiée
ou autre mise en cause d’un prétendu dysfonctionnement dut au personnel
de sécurité.
La théorie selon laquelle un seul feu aurait déclenché
successivement les deux alertes à intervalle, (une fois la première
neutralisée) par la propagation du sinistre demeure improbable, eu égard
à l’éloignement des détecteurs dont la distance aurait demandé
davantage que 23 minutes. Ipso facto, l’existence d’un
accélérateur chimique d’embrasement (fioul, acétone, dioxygène et autres
conducteurs intense de combustibles induisant un tétraèdre de feu…)
dont la bulle thermique est susceptible de provoquer des tourbillons
ardents (pyrolyse d’un vent opposé, effet cheminée), s’avère être une
piste plus sérieuse que celle d’un incendie spontané sans accélérant.
Or, aucune trace suspect de tels accélérateurs n’a été décelée.
L’ex-architecte en chef des monuments historiques, Benjamin Mouton,
chargé de la sécurité de la Cathédrale jusqu’en 2013, affirma que le
dispositif de détection incendie était parfaitement opérationnel, dont
les portes coupe-feu remplacées aux normes, rappelant l’absence
d’électricité dans les combles du monument.
D’autres responsables sur
place affirmèrent que l’incendie ne pouvait provenir d’un court-circuit.
En outre, il aurait fallu une charge calorifique très importante, telle
la présence d’un accélérateur, pour que se déclare le sinistre avec une
telle violence et promptitude.
Les Compagnons du Devoir
insistèrent sur l’impossibilité qu’une poutre en chêne, par sa dimension
et sa résistance en termes de dureté et d’âge, puisse s’enflammer aussi
spontanément ; les bois de charpente s’étant minéralisés au fil des
siècles.
À
l’appuis de ces argumentations qui démontent la conjecture d’un
incendie accidentel, par négligence ou vétusté des installations,
Nicolas Dupont-Aignan, certes en campagne électorale, n’écarta pas
l’hypothèse d’un attentat terroriste, notamment à savoir comment
l’incendie aurait-il pu se déclarer vers 19 h, alors que le chantier
s’arrêtait entre 17h et 17 h 30 ?
Mais la polémique de gauche devait se montrer servile pour accréditer
la thèse d’un accident ou d’une imprudence, cela pour mieux dissimuler
l’évidence d’un acte criminel qui dérange, en particulier devant les
enjeux des élections européennes, afin de protéger la politique
d’immigration emmenée par Emmanuel Macron sous la houlette de la
présidence de la Commission (UE).
En effet, s’il était prouvé que cet
incendie ait été provoqué par un terroriste islamique, le chef d’État
aurait toutes les difficultés, devant les électeurs et les donateurs en
colère devant ces mystifications, pour justifier le nombre croissant de
vandales et de pyromanes musulmans qui sévissent contre le patrimoine et
la culture de la France, a fortiori parmi les réfugiés qui s’attaquèrent aux édifices chrétiens, ainsi vu plus haut.
N’en déplaise à la presse affidée à l’exécutif et qui voudrait rendre
responsable l’entreprise restauratrice pour dédouaner l’incurie de
l’exécutif et l’omertà du ministère public, l’électrification des
cloches dénoncée s’est révélée conforme au dispositif anti-feu.
De
surcroît ce mécanisme est installé de l’autre côté de la zone
d’incendie, autrement dit dans les tours intactes du parvis place
Jean-Paul II ; prouvant que tout ce secteur ne pouvait être le lieu
responsable au départ de l’incendie.
Quant à évoquer la présence de sept mégots de cigarette (non
vaporisés par le feu) sur une passerelle métallique de l’échafaudage
extérieur, il faut une bonne dose de mauvaise foi, sinon une absence
totale de logique pour accréditer une telle responsabilité incendiaire
des intervenants professionnels, lesquels ne furent nullement mis en
cause par la justice après enquête, ni inquiétés par les compagnies
d’assurances.
D’ailleurs, LCI évoqua aussi l’évidence de deux départs de
feu, d’où un acte criminel présumé (Source : wikistrike.com, 16 avril
2019).
Enfin, les entreprises sur le chantier avaient formellement
interdits les intervenants de fumer, affichage et sanctions à l’appui.
« Une dizaine d’églises ont été profanées en une semaine dans
différentes régions françaises, cibles du vandalisme antichrétien le
plus évident » déplora le quotidien ABC.
Sur la chaîne Fox News, il fut évoqué : « Le political correctness va vous faire croire à un accident »,
avant que le journaliste Shepard Smith ne l’interrompt sèchement ;
jugeant ce discours de théorie conspirationniste, contre-productif et
issu de l’intox diffusé par les fake news… oui mais par qui et pour défendre quelle cause sinon celle des migrants ?
Dans la revue en ligne LesObservateurs.ch, un tailleur de pierre de Notre Dame, compagnon
du Devoir et membre compagnonnage du Tour de France, fait état sur les
forums du nombre inconsidéré d’immigrés islamistes intérimaires,
comprenant peu ou prou le français, qualifiés ou non sur le chantier,
auquel s’ajoutent des difficultés relationnelles graves et tendues,
d’irrespect et de provocations violentes rencontrées sur le terrain avec
des réfugiés qui prient Allah sur le chantier des édifices chrétiens ou
israélites.
Certains « nous haïssent » ajouta-t-il.
Or sur le
chantier de Notre Dame, il ne fut notifié aucune incivilité des
exécutants sur le terrain, ni d’employés susceptibles de malveillance.
°°°
En conclusion, l’enquête n’a jamais permis de conclure à une cause
unique ou à un acte d’incendie volontaire.
Les investigations n’ont
seulement porté que sur des facteurs de risque potentiels de failles
dans la gestion du chantier, sans que rien ne puisse désigner une
quelque faute des entreprises, ni un matériau ou produit incriminé porté
dans le procès-verbal.
À défaut de preuve ou de mobile, les autorités
évoquèrent la complexité de l’investigation, se dédouanant sur l’ampleur
du désastre et de l’encombrement qui aurait compliqué l’accès à des
zones pour expertise.
Or, cette excuse ne tient absolument pas, pas
davantage que de présumés mégots de cigarette subodorés dont aucune
trace décelée, qui par ailleurs ne sauraient enflammer une passerelle
métallique, pas plus qu’une poutre en chaîne vitrifiée, car d’âge
multi-centenaire fossilisé qui ne saurait prendre feu spontanément et
toute seule.
Les rapports des pompiers et des enquêteurs sur place ont exclu, avec
une rapidité suspecte de pression politique, l’hypothèse d’un acte
volontaire, en arguant que ces travaux impliquaient l’utilisation de
matériaux possiblement inflammables, mais sans jamais en préciser
lesquels et à quel endroit.
Quant aux armoires électriques provisoires
sur le chantier, une contre-enquête emmenée par les défenseurs des
entreprises labellisées par les Bâtiments de France, ont rapidement
écarté toute négligence ou accident, eu égard au respect des normes de
sécurité : disjoncteurs, fusibles électroniques, interrupteurs
différentiels, parafoudres, relais de protection et raccordement aux
barrettes de terre.
Toutes les précautions ont été prises et rien –
absolument rien – n’accuse légitimement la responsabilité du chantier.
Mais il fallait absolument, pour l’État-Macron responsable des
déferlements migratoires de tous les dangers, prévenir toute
vraisemblance d’attentat terroriste par des observateurs lucides et
avisés, alors arbitrairement taxés de conspirationnisme et initiateurs
de fake news.
Par Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude
juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de
presse juridique et judiciaire.
Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel
des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de
certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels
s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs
morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles,
dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires.
L’auteur
choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques
et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La
culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels
français” : Édilivre, 2016).
Le Parti de la France se réjouit de la présence de Donald Trump, de nouveau président des États-Unis, à l’inauguration samedi 7 décembre de la cathédrale Notre-Dame de Paris, magnifiquement reconstruite après le terrible incendie de 2019.
Cet événement tragique, dont les circonstances demeurent entourées de zones d’ombre, a profondément marqué les Français et les croyants du monde entier.
La renaissance de Notre-Dame, joyau de la chrétienté, témoigne de la puissance de la foi et de la volonté de préserver cet héritage sacré.
Donald Trump n’a jamais hésité à afficher son attachement aux valeurs chrétiennes, contrastant avec Emmanuel Macron, dirigeant athée et complétement déconnecté d’un peuple français en quête de repères spirituels et de justice sociale.
Cette célébration est hélas ternie par l’absence du pape François, dont les prises de position déroutantes continuent d’alimenter la perplexité et parfois le désespoir des fidèles catholiques.
Que cette journée, marquée par la lumière de la résurrection de Notre-Dame, inspire un renouveau de foi et d’espérance pour tous les croyants en quête d’un guide solide et fidèle aux enseignements de l’Évangile.
Il se réclame de la « droite nationale, sociale et identitaire »
et vise à réunir autour de son chef tous les nationalistes hostiles à Marine Le Pen et l'orientation d'alors du FN.
Avec Jean-Claude Martinez, qui n'a pas adhéré au PDF, ces personnalités ont été candidates aux européennes de 20093.
La création du PDF est saluée par d'autres structures en rupture avec le Front national, tels le Mouvement national républicain4 et la Nouvelle Droite populaire5.
En 2019, Carl Lang
démissionne de la présidence du parti ; seul candidat, Thomas Joly lui
succède. Bruno Hirout devient quant à lui secrétaire général.
Idéologie
Le Parti de la France se réclame de la droite nationale.
Le parti qualifie la laïcité de « cheval de Troie de
l’islamisation », devant être remplacée par un lien privilégié avec
l’Église catholique.
Le parti prône l’inversion des flux migratoires,
par le retour au pays des populations étrangères6.
En 2015, le PDF prend part à une manifestation en faveur de la remigration à Calais1.
En matière économique, le parti adopte une ligne libérale
(défense de l’entreprise et critique de l’État interventionniste).
Au
contraire du Front national, il ne prône pas une sortie de la France de l'Union européenne si celle-ci continuait d'exister : le Frexit
provoquerait, selon Carl Lang, « le déclin inéluctable » du pays et
aboutirait « à une situation d’isolement ».
Le parti refuse également
l'abandon de la monnaie unique, si celle-ci perdure dans les autres pays
de la zone euro
(pour Lang, « la sortie unilatérale verrait une augmentation de la
dette, une hausse de tous les produits d’exportations dont le pétrole et
une baisse du niveau de vie.
Politiquement, tout se ferait autour de
l’Allemagne.
Il n’y aurait plus qu’un rôle de second rang pour la
France »).
Mais comme le Front national, le Parti de la France appelle
de ses vœux un « partenariat privilégié avec la Russie »7.
Sur les sujets sociétaux, le parti a manifesté son opposition à
la loi de 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe,
à la GPA et à la PMA, à la loi Veil sur l'IVG et à l'euthanasie8.
Nous comptons sur votre soutien afin
de poursuivre notre nécessaire combat pour la sauvegarde de notre
Identité et de nos valeurs de civilisation.
Le Parti de la France est la seule formation politique a mener ce combat, sans compromission ni reniement.
Mais sans ses adhérents, il n’est rien.
Votre adhésion peut se faire par chèque, à l’ordre de “AFPDF” en remplissant le bulletin d’adhésion et en envoyant le tout au siège du PDF : Parti de la France, 76 rue de la Pompe 75016 Paris.
Adhésion simple : 30 euros
Adhésion de soutien : 50 euros.
Adhésion d’honneur : 150 euros et plus.
Adhésion chômeur ou jeune de moins de 25 ans : 15 euros.
ATTENTION: POUR LES PARTIS POLITIQUES, LES DONS PAR PAYPAL NE
SONT PLUS AUTORISÉS.
Si vous désirez bénéficier d’un reçu fiscal, votre
don doit obligatoirement être effectué par virement ou par chèque
bancaire selon les modalités énoncées ci-dessous.
Par chèque à l’ordre de “AFPDF” en adressant votre courrier au Parti de la France, 76 rue de la Pompe, 75016 Paris.
Par virement à l’ordre de “AFPDF” sur le compte iban:
LCL PARIS MADELEINE FR70 3000 2004 3700 0044 6675 B82 Pour les virements n’oubliez pas de mettre votre nom et l’intitulé (ex : adhésion 2021 ou don)
Les espèces donnent droit à un reçu fiscal jusqu’à 150 €. Pour tout renseignement : 07 66 51 27 24
« Les dons consentis et les cotisations versées en qualité
d’adhérent d’un ou plusieurs partis politiques par une personne physique
dûment identifiée à une ou plusieurs associations agréées en qualité
d’association de financement ou à un ou plusieurs mandataires financiers
d’un ou de plusieurs partis politiques ne peuvent excéder 7.500 euros.
Les
personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne
peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques,
ni en consentant des dons, sous quelque forme que ce soit, à leurs
associations de financement ou à leurs mandataires financiers, ni en
leur fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou
indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement
pratiqués. »
Loi du 11 mars 1988 : Article 11- alinéa premier et troisième alinéa
Ceux qui ont versé des dons à un ou plusieurs partis politiques
en violation de l’article 11-4 sont punis d’une amende de 3.750 euros et
d’un an d’emprisonnement.
Premier alinéa de l’article 11-5 de la loi précitée
Le freluquet Jean-Philippe Tanguy, en plus d'être un gaulliste LGBT soumis au délire climatologique, vient de déclarer que le RN ne couperait pas les subventions aux associations pro-migrants parce qu'« elles rendent des services à des êtres humains ».
Marine Le Pen a le don de s'enticher d'intrigants vaguement patriotes prêts à tout brader pour intégrer le Système.
Jordan Bardella ferait bien de rappeler à l'ordre ce petit roquet dont les déclarations irresponsables pourraient durablement déstabiliser un électorat n'en pouvant plus de l'immigration et des sales gauchistes associatifs qui s'en font les complices actifs avec l'argent du contribuable.
C'est vrai qu'en passant de Jean-Marie à Tanguy, on a perdu grandement en virilité.
ET AUSSI
DEMAIN , J 'ARRÊTE !
Par Grégory Roose le 19 octobre 2024
Bon,
les amis, je vous aurai suffisamment prévenu.
Après ça, j'arrêterai
d'en parler, car je sens que j'exaspère certains d'entre vous et ce
n'est pas mon objectif.
Tant que MLP et sa garde rapprochée seront aux
commandes du RN, ce parti naviguera entre renoncements, compromis et
compromissions pour accéder au pouvoir, jusqu'à neutraliser ses
possibilités d'actions salvatrices pour la France et ce malgré la
sincérité de nombreux cadres et militants qui s'y trouvent.
Souvenez-vous que j'aurai tenté de vous prévenir.
Le RN au pouvoir, mais
amputé des principales raisons qui ont poussé ses électeurs à l'y
porter, ne sera pas bien différent d'une formation centriste portée vers
l'inaction.
Cela nous fait perdre un temps précieux.
La
France a besoin d'un traitement de choc économique, identitaire,
démographique, social, culturel, industriel, financier... pas de
postures contradictoires destinées à séduire un large panel d'électeurs
potentiels au risque d'en perdre toute crédibilité et capacité d'action
une fois aux commandes.
Et si les Français ne sont pas suffisamment
éveillés et responsables pour le comprendre, eh bien nous allons vers
des heures très sombres.
Et potentiellement irréversibles.
De
toutes les manières, je commence à penser que le salut de la France
n'est plus dans les élections, au regard des conditions dégradées et
dévoyées dans lesquelles elles s'exercent, c'est-à-dire en alibi de la
post-democratie dont il est urgent de se libérer.