mercredi 4 juin 2025

RACISME ANTIBLANC : CE QUE J' AI ENTENDU GLACE LE SANG ! ( REVUE ÉLÉMENTS )

 LU , VU ET ENTENDU !

Racisme antiblanc : "ce que j'ai entendu glace le sang

Madame, Monsieur,


Chaque jour, des Français, surtout des jeunes, très jeunes, sont victimes de racisme antiblanc, avec des agressions verbales et physiques…


… et vivent dans un univers de tensions et de violences permanentes.


Cela dans l'indifférence quasi générale, le racisme antiblanc faisant l'objet d'un déni médiatique effroyable.


Dans ces centaines de villes, à travers toute la France, la jeunesse de souche est abandonnée à ce triste sort.


Certains vivent l'enfer au quotidien.


Et si rien n'est fait pour faire éclater la vérité sur le racisme antiblanc, ce fléau inacceptable ne fera que s'aggraver et se répandre encore plus.


C'est pourquoi nous vous demandons de signer notre pétition "Stop au racisme antiblanc !", et de nous aider à donner une ampleur nationale à cette initiative de salut public pour notre pays…


… et de soutien à ces Français blancs dont le seul tort est d'être ENCORE là dans leur quartier où il sont devenus minoritaires.

STOP AU RACISME ANTIBLANC !
JE SIGNE LA PÉTITION

 

Ce racisme antiblanc, banalisé dans certaines banlieues et qui gagne peu à peu des bourgades et des grandes villes, le voici.


Il est glaçant.


Ce que vous allez lire est décrit par les victimes elles-mêmes, dans une enquête inédite, implacable, de notre directeur de rédaction, François Bousquet : "Le racisme antiblanc, l’enquête interdite" (1).


 

Chloé a été confrontée au racisme antiblanc durant ses quatre années de collège, à Vigneux-sur-Seine, dans l’Essonne :


La carte scolaire m’avait assignée au collège Paul Éluard… De mémoire, il devait y avoir dans les cinq cents élèves. 

 

En tout et pour tout, une dizaine d’élèves blancs.

 La majorité était constituée d’élèves d’origine maghrébine et subsaharienne, deux communautés qui entraient fréquemment en conflit : quartier contre quartier, communauté contre communauté.


On m’affublait d’insultes comme “Halouf ”(porc).

 Pendant les cours d’histoire, je devenais la cible de remarques accusant les Blancs des péchés de l’humanité : colonialisme, esclavage, racisme. J’étais coupable par ma simple existence.


Les insultes ont rapidement évolué vers des actes plus graves : racket, vol de mes affaires personnelles.

 Puis sont venus les coups.

 Pendant deux ans, mon quotidien a été ponctué de bousculades, de tirages de cheveux et d’interdictions implicites : je ne pouvais m’asseoir sur les marches du préau sans risquer des coups de pied

Mon exclusion était totale. Je ne pouvais pas compter sur les professeurs, dépassés par l’indiscipline générale.

 

Hippolyte, à Saint-Denis :


C’est en dehors du lycée, à la sortie des cours, que les problèmes commençaient pour nous, les petits Blancs. Si jamais nous étions seuls, les racailles de la cité du Franc-Moisin nous rackettaient et nous molestaient. Ce racket était comme entré dans les mœurs. C’était presque normal.

 

STOP AU RACISME ANTIBLANC !

JE SIGNE LA PÉTITION

Sébastien, aux Ulis (Essonne) :


Je dois faire des allers-retours en vélo entre l’appartement de mon père et celui de ma mère.

 

 Je suis comme un lapin blanc au milieu de la savane, avec des petites bandes issues de l’immigration qui me courent après pour me piquer mon vélo cross d’occasion.  

 

J’ai beau n’avoir que 7 ou 8 ans, je comprends parfaitement que si l’on me poursuit, c’est parce que je suis Blanc. 


J’entre en sixième. Dans ma classe, nous devions être trois Blancs. Les élèves viennent de partout et nombreux sont ceux qui ne parlent même pas français.

 Les professeurs, eux, ne cherchent pas à nous enseigner quoi que ce soit : leur priorité, c’est de rentrer chez eux vivants à la fin de la journée

 

Les gens qui parlent du vivre-ensemble ne savent pas de quoi ils parlent. On ne vit pas ensemble, on vit à côté.


Je commence à être traité de “Sale Blanc”, à être humilié, frappé. Je n’ai aucun soutien.


Personne ne devrait être traqué, frappé, dans son propre pays pour le seul crime d’y être né, blanc !


Pourtant, ce drame intolérable est en passe de devenir monnaie courante.


Et si personne ne le dénonce, il n'y a aucun espoir de le stopper.


C'est pourquoi nous vous le demandons : Signez notre pétition "Halte au racisme antiblanc !" et transférez ce message à vos amis pour déclencher un sursaut salutaire.

JE SIGNE

Il faut comprendre le niveau de violence qu'endurent des adolescents blancs qui n’ont rien demandé à personne.

 

Dans leur quartier, quasiment toutes les familles européennes ont déguerpi, direction les zones pavillonnaires, où elles ont acheté leur tranquillité à crédit. 

Mais voilà certains sont restés. Par accident, par déveine sociale…

 

Un ancien professeur de collège à Aubervilliers explique cette violence :

 

Tout est tribal dans une cour de récréation. Ce sont les enfants qui instaurent cette séparation. 

Noirs et Arabes affirment la prééminence de leur identité, dès lors qu’il s’agit de se liguer contre les Blancs.

 

Ce qui fait dire à un autre professeur : Mettre son enfant à Clichy ou à Bobigny, dans le public, quand on est Blanc, c’est un suicide…


Une éducatrice a interrogé des mineurs délinquants sur la façon dont ils choisissaient leurs victimes lors de vols, souvent accompagnés de violence.

 Leur réponse a été sans détour : “Les Français, parce qu’ils sont des cibles faciles qui ne se battent pas.


Tout est là, dans cette évidence nue qu’on s’interdit de regarder.


C'est juste une mécanique immuable : le groupe majoritaire imposant sa loi à la minorité.


Et des victimes témoignent.


Aurélien, Chilly-Mazarin (Essonne), en cinquième :


J’étais avec trois copines quand quatre Noirs, dans la vingtaine, nous ont dépouillés. Ils se sont mis à frapper les filles. 

J’ai essayé de m’interposer, mais ils m’ont roué de coups tout en me traitant de “Sale Blanc”

Je savais déjà qu’il s’agissait de bandes ethniques, mais je n’avais pas encore compris à quel point leur haine était profonde.


Nicolas, qui a vécu l'enfer au collège à Crépy-en-Valois (Oise) :


J’étais Blanc et relativement bon élève, le meilleur moyen pour se faire remarquer. 

Plus encore, j’étais un enfant et je débarque dans une classe où il n’y avait justement plus aucun enfant. 

C’était à qui serait le plus agressif, jusqu’à gifler un professeur. Les Arabes, majoritaires, d’un côté, les Noirs de l’autre.

 Insultes, coups continus, claques par devant, par derrière. L’année durant.  

C’était de la haine pure. Une haine contre la France dont la plupart avaient sûrement la nationalité

J’étais le parangon de cette France qu’ils détestaient…


Ce qu’ils veulent, c’est nous soumettre à leur vision archaïque du monde et des relations sociales, marquées par la violence et l’intimidation. 


Sébastien, à nouveau, évoquant Évry, chez son père :


Partout, la violence. Une scène s’est gravée en moi. En cinquième, je vais au catéchisme dans la cité des Pyramides, qui touche Évry 2.

 La cité est construite en escalier, comme des cubes empilés les uns sur les autres.

 C’est un véritable coupe-gorge pour un petit Blanc comme moi

 

Je m’accrochais à la main de la sœur qui m’y emmenait, tant j’avais peur. Là-bas, il y avait des bandes. 

Mais attention, pas des petites. Je parle de cinquante à cent personnes.


Les Noirs et les Arabes font la loi, à l’école comme en dehors.

 On se fait cracher dessus, piquer son blouson ou ses baskets. C’était une époque où l’on dépouillait les gens.

 On prend des coups, des balayettes, des claques. Vous en prenez tellement que, tôt ou tard, vous finissez par réagir.

 

Ce n’est pas normal de s’être autant battu à cet âge-là, d’avoir été agressé une cinquantaine de fois

Ce n’est pas normal de m’être fait chasser avec mon demi-frère par trois bagnoles de la cité des Tarterêts, armés de fusils à pompe, dans le Parc aux Lièvres. 

Ce n’est pas la vie qu’un petit Blanc, fils d’un facteur et d’une caissière venus de leur cambrousse, aurait dû avoir.

 

J’en veux énormément au gouvernement pour ça. L’État n’a pas protégé ses enfants.


Ce que j’ai vécu, c’est devenu la norme pour tout un tas de gamins, dans la même situation que moi alors, dans cinq cents villes de France. 

 Élias, un gamin de 14 ans, s’est fait planter à Paris, dans le 14e, par deux racailles pour un téléphone portable.

 Le réel vient désormais frapper à la porte des bourgeois. Le racisme antiblanc tue, et c’est de pire en pire.


Oui, c'est de pire en pire. 


Et il est urgent et vital de dire STOP

STOP AU RACISME ANTIBLANC !
JE SIGNE LA PÉTITION

En signant notre pétition "Stop au racisme antiblanc !" et en nous aidant à lui donner une ampleur nationale, vous ferez une chose cruciale : 


Vous aiderez les victimes à sortir du silence dans lequel elles sont enfermées, et à briser le déni, la censure médiatique et institutionnelle qui interdisent toute réaction salutaire.

JE SIGNE

 

Laura :


Attaquée par un Maghrébin dans le RER en août 2023 ("Je vais te sauter, sale Blanche"), elle a confié à Valeurs actuelles qu’elle n’a pas pu donner le profil de son agresseur : "Quand je me suis permis de décrire le physique de mon agresseur, on m’a rétorqué que je n’avais pas à dire ça, que c’était juste un homme comme tous les autres."


Aurélien, à nouveau :


Être Blanc dans ce genre d’endroit (à Grigny) relève du défi quotidien, mais pendant les émeutes de 2005, c’était comme une cible sur le dos : la chasse était ouverte. Black-out dans les médias évidemment.


À Argenteuil, Younes, professeur d’histoire-géographie a évoqué un viol explicitement raciste – punitif, expéditif. La jeune fille violée n’a pas porté plainte, l’école non plus. Au fond, c’est comme s’il ne s’était rien passé ce jour-là. 


Pourtant, ce viol est emblématique des "viols de routine" – la probabilité qu’un crime devienne routinier augmentant lorsque trois éléments convergent : des cibles vulnérables, des criminels motivés et des gardiens démotivés.


Briser le tabou du racisme antiblanc, c'est ce que nous devons réussir à faire avec votre aide, tant qu'il est encore temps…


… avant que ce fléau ne se répande encore davantage, un peu partout.


Pour preuve, les insultes racistes commencent même à fuser… dans les écoles privées catholiques :


Clotilde est très remontée. Dans l'école catholique où son enfant est scolarisé, la moitié des enfants sont musulmans et les mamans souvent voilées. Et Sophie précise : "Ce n’est plus « halouf » que certains petits musulmans jettent à la figure de leurs camarades non-musulmans, mais « kouffar » – incroyant, mécréant."


Et la violence raciste se banalise et peut désormais éclater à tout moment :


Lyon, Alexis : Bus bondé. Un Maghrébin, d’une quarantaine d’années, éructe en boucle contre une vieille dame blanche : “Vieille pute de Française, sale Blanche, etc.”. Tout le monde baisse les yeux. Je suis le seul à intervenir.


Bourg-de-Péage (Drôme), Antonio :


“Casse-toi, sale Français !”. J’ai à peine le temps de me retourner qu’un coup de poing me cloue sur place. Puis c’est l’avalanche. Poings, pieds, coups dans la tête, derrière la nuque… Je m’effondre au sol sous le déchaînement.


Marignane (Bouches-du-Rhône), Raphaël :


Moi, j’ai déjà tué des gens à coups de pelle ! Moi, je suis Algérien ! Vous, les Français, vous nous avez colonisés, mais maintenant, vous baissez les yeux devant les racailles… Hein ? Tu nous as colonisés ? Mais nous, on va se venger des Français, maintenant ! Tu vas voir…


Bordeaux (Gironde). Une femme en promenade est poignardée dans le dos par un homme de nationalité camerounaise. Interpellé, il déclare aux enquêteurs qu’il voulait "égorger des femmes blanches".


Alfortville (Val-de-Marne). Un jeune garçon de 10 ans, portant une croix catholique, est insulté de "Sale chrétien" et de "Sale Juif" par deux enfants de 11 ans en pleine rue.


Paris. Un automobiliste en infraction interpellé par un policier l'insulte "Sale Blanc, sale pute, sale pédale" avant de le passer à tabac.


Hauconcourt (Moselle). Un jeune homme est poignardé à neuf reprises à la sortie d’une boîte de nuit au cri de "Sale Blanc" et de "Tape-le, le gwer (Européen)".


Ne laissez pas ce racisme antiblanc devenir ordinaire.


Signez notre pétition "Stop au racisme antiblanc !" et aidez-nous à donner une ampleur nationale à cette initiative salutaire.


Nous devons contacter et mobiliser des dizaines de milliers de Français.


C'est pourquoi, après avoir signé, il vous est demandé de faire un don à Éléments, bénéficiant de la déductibilité fiscale de 66 %. Quel que soit le montant du don que vous pourrez faire, il sera très utile. 


Certains pourront faire un don de 50 euros (soit 17 euros après déduction) ou 100 euros (34 euros), ou moins.

 D'autres pourront donner 200 ou 500 euros (soit 68 ou 170 euros), ou peut-être même 1000 euros (340 euros) ou plus.


Chaque don sera un pas de plus pour faire éclater la vérité sur l'ampleur du racisme antiblanc en France, et pour déclencher un sursaut salutaire pour pouvoir le stopper.


Alors, merci de tout l'aide que vous pourrez nous apporter !

JE SIGNE

Bien cordialement,


L'équipe d'Éléments

 

(1) François Bousquet :"Le racisme antiblanc, l’enquête interdite" – Editions La nouvelle librairie.

 


 

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