Il faut comprendre le niveau de violence qu'endurent des adolescents blancs qui n’ont rien demandé à personne.
Dans
leur quartier, quasiment toutes les familles européennes ont déguerpi,
direction les zones pavillonnaires, où elles ont acheté leur
tranquillité à crédit.
Mais voilà certains sont restés. Par accident,
par déveine sociale…
Un ancien professeur de collège à Aubervilliers explique cette violence :
Tout est tribal dans une cour de récréation.
Ce sont les enfants qui instaurent cette séparation.
Noirs et Arabes
affirment la prééminence de leur identité, dès lors qu’il s’agit de se
liguer contre les Blancs.
Ce
qui fait dire à un autre professeur : Mettre son enfant à Clichy ou à
Bobigny, dans le public, quand on est Blanc, c’est un suicide…
Une
éducatrice a interrogé des mineurs délinquants sur la façon dont ils
choisissaient leurs victimes lors de vols, souvent accompagnés de
violence.
Leur réponse a été sans détour : “Les Français, parce qu’ils sont des cibles faciles qui ne se battent pas.”
Tout est là, dans cette évidence nue qu’on s’interdit de regarder.
C'est juste une mécanique immuable : le groupe majoritaire imposant sa loi à la minorité.
Et des victimes témoignent.
Aurélien, Chilly-Mazarin (Essonne), en cinquième :
J’étais
avec trois copines quand quatre Noirs, dans la vingtaine, nous ont
dépouillés. Ils se sont mis à frapper les filles.
J’ai essayé de
m’interposer, mais ils m’ont roué de coups tout en me traitant de “Sale Blanc”.
Je savais déjà qu’il s’agissait de bandes ethniques, mais je n’avais pas encore compris à quel point leur haine était profonde.
Nicolas, qui a vécu l'enfer au collège à Crépy-en-Valois (Oise) :
J’étais
Blanc et relativement bon élève, le meilleur moyen pour se faire
remarquer.
Plus encore, j’étais un enfant et je débarque dans une classe
où il n’y avait justement plus aucun enfant.
C’était à qui serait le
plus agressif, jusqu’à gifler un professeur. Les Arabes, majoritaires,
d’un côté, les Noirs de l’autre.
Insultes, coups continus, claques par devant, par derrière. L’année durant.
C’était de la haine pure. Une haine contre la France dont la plupart avaient sûrement la nationalité.
J’étais le parangon de cette France qu’ils détestaient…
Ce
qu’ils veulent, c’est nous soumettre à leur vision archaïque du monde
et des relations sociales, marquées par la violence et l’intimidation.
Sébastien, à nouveau, évoquant Évry, chez son père :
Partout, la violence.
Une scène s’est gravée en moi. En cinquième, je vais au catéchisme dans
la cité des Pyramides, qui touche Évry 2.
La cité est construite en
escalier, comme des cubes empilés les uns sur les autres.
C’est un véritable coupe-gorge pour un petit Blanc comme moi.
Je m’accrochais à la main de la sœur qui m’y emmenait, tant j’avais peur. Là-bas, il y avait des bandes.
Mais attention, pas des petites. Je parle de cinquante à cent personnes.
Les Noirs et les Arabes font la loi, à l’école comme en dehors.
On se fait cracher dessus, piquer son blouson ou ses baskets. C’était
une époque où l’on dépouillait les gens.
On prend des coups, des
balayettes, des claques. Vous en prenez tellement que, tôt ou tard, vous
finissez par réagir.
Ce n’est pas normal de s’être autant battu à cet âge-là, d’avoir été agressé une cinquantaine de fois.
Ce n’est pas normal de m’être fait chasser avec mon demi-frère par
trois bagnoles de la cité des Tarterêts, armés de fusils à pompe, dans
le Parc aux Lièvres.
Ce n’est pas la vie qu’un petit Blanc, fils d’un
facteur et d’une caissière venus de leur cambrousse, aurait dû avoir.
J’en veux énormément au gouvernement pour ça. L’État n’a pas protégé ses enfants.
Ce
que j’ai vécu, c’est devenu la norme pour tout un tas de gamins, dans
la même situation que moi alors, dans cinq cents villes de France.
Élias, un gamin de 14 ans, s’est fait planter à Paris, dans le 14e, par deux racailles pour un téléphone portable.
Le réel vient désormais frapper à la porte des bourgeois. Le racisme antiblanc tue, et c’est de pire en pire.
Oui, c'est de pire en pire.
Et il est urgent et vital de dire STOP !
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