mardi 3 juin 2025

LA BARBARIE EST BIEN LÀ ! UNE TERRE SANS DÉFENSE , UN PEUPLE SANS ÉTAT !

 

 


 REVUE DE PRESSE !

Violences après la victoire du PSG. 

Nos enfants sont-ils vraiment condamnés à vivre avec ces barbares ? 

[L’Agora]

J’ai vu les images. Mes enfants aussi. 

Des vitrines fracassées, des boutiques pillées, des pompiers agressés, des policiers encerclés, des véhicules incendiés, des Champs-Élysées transformés en terrain vague de fin de civilisation.

 Des hordes de décérébrés profaner la statue de Jeanne d’Arc.

Et mes enfants, eux, restaient là, les yeux écarquillés, muets, face à un monde qui n’est pas le leur.

 Qui ne sera jamais le nôtre.

Alors non. 

Je ne veux pas qu’ils grandissent dans ce pays devenu un terrain de jeu pour des hordes sans foi, sans culture, sans cervelle, déguisées en supporters mais nourries à la haine, au rap crétin, à la malbouffe, à TikTok, au vide.

C’est cela, désormais, la France du spectacle et du sport roi : une armée de décérébrés élevés dans la mollesse permissive de l’école de la République, libérés de toute autorité, libérés surtout de toute dignité.

 

La barbarie est là, sous vos yeux, et vous ne voyez rien

On en viendrait à regretter les hooligans d’autrefois (qui soit dit en passant subissaient une répression incomparablement plus violente que les émeutiers du week-end).

 Eux, au moins, avaient un code d’honneur. 

Ils cherchaient leurs alter ego, d’autres combattants, d’autres passionnés, pour un affrontement codé, ritualisé.

 C’était brutal, mais il y avait un sens. Une logique. 

Une identité. Aujourd’hui ?  

Le néant. La meute. La masse. Le chaos.

Les événements de samedi soir ne sont ni un accident, ni une surprise. Ce sont la conséquence mécanique d’une société qui a détruit tout ce qui tenait ensemble une civilisation : la famille, l’école, l’autorité, la transcendance.

 Et ce n’est pas faute de l’avoir vu venir. 

Depuis trente ans, les voyants sont au rouge. 

Les signaux d’alarme hurlent. Mais les élites, aveuglées par leur multiculturalisme rance et leur lâcheté institutionnalisée, n’ont rien fait. 

Ou plutôt si : elles ont tout laissé faire.

Des milliers de barbares, et pas un sursaut

Ils étaient plusieurs milliers à Paris, mais aussi à Rennes, Lyon, Grenoble, Nantes, Dax. 

A supporter une équipe cosmopolite, symbole même de ce football sans identité, sans enracinement. 

Mais que font des Brestois ou des Lorientais avec des maillots du PSG sur le dos ? 

Ils ont pillé Chanel comme on vole un paquet de chips. 

Ils ont craché sur la fête, profané la victoire, fait de la violence un rite d’exhibition, filmé et diffusé en direct sur les réseaux sociaux.

 Deux morts. Des dizaines de blessés. Des centaines d’interpellations. 

Et demain ? Rien. Quelques peines avec sursis. 

Un rapport. Une cellule de réflexion. Un énième déni.

Ces individus, dont beaucoup venue de banlieue, mais pas que, ne sont pas des supporters, ni mes compatriotes.

 Ce sont des barbares modernes, déracinés, haineux, ivres d’impunité. Ce que nous avons vu, c’est la pulsion tribale d’individus qui ne veulent pas s’assimiler, mais dominer et terroriser par le néant. 

Qui ne veulent pas faire partie de notre civilisation, mais s’en emparer, la ruiner, la souiller. Pierre Boulle fût un visionnaire.

 

Une terre sans défense, un peuple sans État

Et pendant ce temps-là ? 

Le ministre bredouille, le président condamne mollement, les préfets se félicitent d’avoir limité la casse, les sociologues cherchent des explications sociétales, les médias parlent de « débordements ». 

La novlangue anesthésie tout. Et la France, elle, saigne sans dire un mot.

Je n’ai pas de haine. J’ai de la lucidité. Et une certitude : on ne peut pas cohabiter avec ceux qui brûlent ce que nous sommes.

  Notre terre ne peut pas se partager entre le feu et l’ordre, entre l’enracinement et l’errance, entre les héritiers d’une civilisation millénaire et les parasites d’un monde sans mémoire.  

Ce sera eux, ou nous. 

Le sursaut, ou la soumission. La reconquête, ou la disparition.

Je veux que mes enfants sachent. Je veux qu’ils voient. Et qu’ils choisissent. Je ne leur dis pas de haïr. Je leur dis de survivre. 

Et pour survivre, il faut se réveiller, se relever, refuser cette république invertébrée et moribonde, bâtir autre chose, ailleurs peut-être, mais ensemble, entre nous, avec ceux qui savent encore ce que signifie être Breton, être Français, être Européen, être debout.

Les barbares ne sont pas à nos portes.

 Ils sont dans nos rues. 

 Et nous sommes seuls.

 

Par Julien Dir

 

 


 

 ET AUSSI

Nantes : violences urbaines après la victoire du PSG, un policier menacé de mort avec insulte raciste anti-blanche

Une nouvelle flambée de violences urbaines a touché la ville de Nantes samedi soir, en marge des célébrations liées à la victoire du Paris Saint-Germain. 

Parmi les faits jugés les plus graves, une agression verbale à caractère raciste visant un policier a choqué les forces de l’ordre et mis en lumière une réalité que beaucoup préfèrent taire.

Vers 23h30, dans le centre-ville, cours des 50 otages, un bus du réseau de transports en commun nantais a été sauvagement saccagé.

 Vitres explosées, intérieur ravagé, barres de fer projetées sur le véhicule : les images témoignent d’un déchaînement de violence. 

Dans le même temps, un magasin du secteur a été pillé. Huit individus, âgés de 12 à 37 ans, ont été interpellés. Deux d’entre eux, jugés en comparution immédiate lundi, ont été condamnés.

 

Des condamnations, mais un silence pesant sur la motivation raciste

Parmi les deux hommes jugés, Mohamed Taher S., 21 ans, tout juste sorti de prison, a écopé de quatre mois de prison avec sursis pour avoir dégradé le bus. 

Il a nié toute implication directe, affirmant l’avoir trouvé déjà endommagé.

Son complice, Abouzar O., 33 ans, un ressortissant soudanais en situation précaire, a été condamné à sept mois de prison ferme, dont trois pour la révocation d’un précédent sursis. 

Lors de son interpellation, il s’est violemment rebellé contre les policiers : tentative de torsion de doigt, coup porté à l’entrejambe, mais surtout, des menaces explicites et une insulte raciste choquante : « Je vais te tuer, espèce de sale Blanc ». 

L’individu n’a pas été mis de force dans un avion et ramené chez lui dans les 24h.

Les autorités, comme souvent, semblent avoir été débordées, c’est en tout cas ce qu’indiquent les syndicats de la Semitan, qui exploite le réseau de transport à Nantes.

Les forces de l’ordre ont rapidement dû faire appel à la CRS 82 basée à Saint-Herblain, mobilisée en urgence pour contenir une centaine de jeunes individus, parfois mineurs, engagés dans des actes de violence.

Johanna Rolland, maire de la commune, continuera sans doute à expliquer à qui veut l’entendre que Nantes est l’exemple même de la ville où il fait bon « vivre ensemble ».

 
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