TRIBUNES LIBRES !
Nous aurions tellement aimé avoir tort quand nous avons décidé, en 2007, de lancer Riposte Laïque, pour lutter contre l’islamisation de la France.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous avons alors expliqué qu’il n’y avait pas de bon islam et de
mauvais islamisme, mais que l’islam était un tout, et que ce tout était
incompatible avec la France.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous avons organisé les Assises Internationales contre
l’islamisation de la France, où vingt-quatre intervenants, venus de
douze pays, nous amenèrent un témoignage concordant : l’islam représente
un péril mortel pour notre civilisation, et partout où les musulmans
deviennent nombreux, la vie devient difficile pour les Juifs et les
homosexuels, entre autres.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous annoncions, dès les années 2010, d’inévitables attentats en
France, qui feraient suite à ceux de New York, de Madrid et de Londres.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous disions qu’un bon musulman a comme devoir, quand il vit sur
une terre « impure » de tout faire dans sa vie pour qu’elle devienne un
jour Terre d’islam.
Nous aurions tellement aimé avoir tort quand nous écrivions – ce qui nous a souvent coûté cher – qu’un musulman qui tue un infidèle obéit au Coran.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous écrivions qu’il fallait interdire toute visibilité de
l’islam dans l’espace public, et donc prohiber le voile islamique, les
djellabas et tout uniforme de conquête, fermer toutes les mosquées,
fermer toutes les boucheries halal et renvoyer dans des pays musulmans
les millions de disciples d’Allah qui préféraient la charia aux lois de
la France.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous expliquions qu’avec plus de dix millions de musulmans en
France, nous allions rentrer dans la 3e phase du djihad, celui de la
guerre et de la conquête.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous écrivions « ce sera eux ou nous », occasionnant un procès
contre Pierre Cassen, à l’époque directeur de publication, et Pascal
Hilout, qui nous a coûté 30 000 euros !
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous disions que seul un gouvernement de salut public, capable de
stopper l’immigration africaine, majoritairement musulmane, et de
procéder à une remigration de masse, pouvait encore sauver notre pays,
sa civilisation et son mode de vie.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous disions que les collabos immigrationnistes qui avaient
imposé ce changement de peuple aux Français, sans la moindre
consultation, étaient des assassins qui avaient sur les mains le sang de
nos compatriotes.
Nous aurions tellement aimé avoir tort
quand nous disions que nos enfants, à cause des salauds de collabos,
auraient le choix entre la dhimmitude ou la guerre de Reconquête et que,
dans les deux cas, le résultat serait très coûteux pour eux.
Mais
hélas, ce remarquable article, publié sur le site Breizh Info de ce
jour, nous confirme, suite aux nouvelles émeutes ethniques de ce
week-end après la victoire du Paris-Saint-Germain, que nous avons hélas
eu le seul tort d’avoir raison trop tôt, comme un certain Éric Zemmour,
d’ailleurs.
Comment
ne pas penser à l’avenir de nos enfants, quand on lit cet article d’un
père déterminé à se battre pour leur éviter le « vivre-ensemble » avec
ces barbares que des salauds veulent nous imposer coûte que coûte…
Violences après la victoire du PSG. Nos enfants sont-ils vraiment condamnés à vivre avec ces barbares ?
J’ai
vu les images. Mes enfants aussi. Des vitrines fracassées, des
boutiques pillées, des pompiers agressés, des policiers encerclés, des
véhicules incendiés, des Champs-Élysées transformés en terrain vague de
fin de civilisation.
Des hordes de décérébrés profaner la statue de
Jeanne d’Arc. Et mes enfants, eux, restaient là, les yeux écarquillés,
muets, face à un monde qui n’est pas le leur.
Qui ne sera jamais le
nôtre.
Alors non. Je ne veux pas qu’ils grandissent dans ce pays devenu un terrain de jeu pour des hordes sans foi, sans culture, sans cervelle,
déguisées en supporters mais nourries à la haine, au rap crétin, à la
malbouffe, à TikTok, au vide.
C’est cela, désormais, la France du
spectacle et du sport roi : une armée de décérébrés élevés dans la mollesse permissive de l’école de la République, libérés de toute autorité, libérés surtout de toute dignité.
La barbarie est là, sous vos yeux, et vous ne voyez rien
On
en viendrait à regretter les hooligans d’autrefois (qui soit dit en
passant subissaient une répression incomparablement plus violente que
les émeutiers du week-end). Eux, au moins, avaient un code d’honneur.
Ils cherchaient leurs alter ego, d’autres combattants, d’autres
passionnés, pour un affrontement codé, ritualisé.
C’était brutal, mais
il y avait un sens. Une logique. Une identité. Aujourd’hui ?
Le néant. La meute. La masse. Le chaos.
Les événements de samedi soir ne sont ni un accident, ni une surprise. Ce sont la
conséquence mécanique d’une société qui a détruit tout ce qui tenait
ensemble une civilisation : la famille, l’école, l’autorité, la
transcendance.
Et ce n’est pas faute de l’avoir vu venir.
Depuis trente ans, les voyants sont au rouge. Les signaux d’alarme
hurlent. Mais les élites, aveuglées par leur multiculturalisme rance et
leur lâcheté institutionnalisée, n’ont rien fait.
Ou plutôt si : elles
ont tout laissé faire.
Des milliers de barbares, et pas un sursaut
Ils
étaient plusieurs milliers à Paris, mais aussi à Rennes, Lyon,
Grenoble, Nantes, Dax. À supporter une équipe cosmopolite, symbole même
de ce football sans identité, sans enracinement. Mais que font des
Brestois ou des Lorientais avec des maillots du PSG sur le dos ?
Ils ont
pillé Chanel comme on vole un paquet de chips.
Ils ont craché sur la
fête, profané la victoire, fait de la violence un rite d’exhibition,
filmé et diffusé en direct sur les réseaux sociaux. Deux morts. Des
dizaines de blessés. Des centaines d’interpellations.
Et demain ? Rien.
Quelques peines avec sursis.
Un rapport. Une cellule de réflexion. Un
énième déni.
Ces individus, dont beaucoup venus de banlieue, mais pas que, ne sont pas des supporters, ni mes compatriotes.
Ce sont des barbares modernes, déracinés, haineux, ivres d’impunité.
Ce que nous avons vu, c’est la pulsion
tribale d’individus qui ne veulent pas s’assimiler, mais dominer et
terroriser par le néant. Qui ne veulent pas faire partie de notre
civilisation, mais s’en emparer, la ruiner, la souiller.
Une terre sans défense, un peuple sans État
Et
pendant ce temps-là ? Le ministre bredouille, le Président condamne
mollement, les préfets se félicitent d’avoir limité la casse, les
sociologues cherchent des explications sociétales, les médias parlent de
« débordements ».
La novlangue anesthésie tout. Et la France, elle, saigne sans dire un mot.
Je n’ai pas de haine. J’ai de la lucidité. Et une certitude : on ne peut pas cohabiter avec ceux qui brûlent ce que nous sommes.
Notre
terre ne peut pas se partager entre le feu et l’ordre, entre
l’enracinement et l’errance, entre les héritiers d’une civilisation
millénaire et les parasites d’un monde sans mémoire. Ce sera eux, ou nous.
Le sursaut, ou la soumission. La reconquête, ou la disparition.
Je
veux que mes enfants sachent. Je veux qu’ils voient. Et qu’ils
choisissent. Je ne leur dis pas de haïr. Je leur dis de survivre. Et
pour survivre, il faut se réveiller, se relever, refuser cette république invertébrée et moribonde,
bâtir autre chose, ailleurs peut-être, mais ensemble, entre nous, avec
ceux qui savent encore ce que signifie être Breton, être Français, être
Européen, être debout.
Les barbares ne sont pas à nos portes.
Ils sont dans nos rues. Et nous sommes seuls.
Par Julien Dir
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
ET AUSSI

Tout
est foutu ! La France est colonisée, les autochtones seront bientôt
parqués, taxés puis éradiqués.
Ils votent Macron, re-votent Macron.
Ou
ses clones LR : Sarkozy, Retailleau, Fillon, etc.
Les Français sont
heureux d’être appauvris par la mondialisation qui les tire vers le bas
(forcément, quand on vient du haut…), contents d’être décérébrés par le
wokisme qui leur inculque qu’ils sont minables, misérables, méprisables,
hideux, racistes, violents et qu’ils devraient se suicider puisqu’il
leur sera à jamais impossible de se racheter.
Les
colons répètent pour le Grand Soir, le peuple français est remplacé, la
grenouille est grillée.
La colonisation progresse, méthodiquement
<< https://ripostelaique.com/petit-manuel-pratique-pour-la-colonisation-musulmane.html>> avec des razzias de plus en plus longues et profondes, plus violentes aussi << https://ripostelaique.com/les-emeutes-en-france-une-conquete-par-la-razzia.html >>.
Les
Français votent pour cela, heureux de se soumettre à la haine du coran
qui fait d’eux des sous-hommes, de devenir de plus en plus pauvres, ils
baissent la tête << https://ripostelaique.com/attitudes-de-rue-en-france-nouveau-miroir-des-temps-et-des-tribus.html
>>.
Comme ces Sud-africains, qui depuis 1992 ont choisi de
devenir des proies, chassés, massacrés bientôt exterminés jusqu’au
dernier. Ils sont contents de l’euro qui fait prospérer l’Allemagne au
détriment des autres pays d’Europe, de vivre dans une dictature sous
férule allemande, de donner leurs richesses à tous les miséreux de la
planète sans distinction, d’accueillir ceux qui les haïssent.
Des
imbéciles, assurément. Suicidaires, à la folie. Soumis, prêts pour
l’obéissance inconditionnelle au coran << https://ripostelaique.com/les-faiblesses-de-lislam-les-forces-de-la-france.html >>.
Coupés de leur ciel et amputés de leurs racines, les Français meurent dans les délices du consumérisme << https://ripostelaique.com/une-france-sans-dieu-ni-roi-ou-une-france-chretienne-qui-a-raison.html >>, incapables de voter pour eux-mêmes <<https://ripostelaique.com/elections-comment-gagner.html>>, débiles en un mot.
J’en ai marre.
Marre de devoir constater cela chez la plupart. Parce que ce n’est pas tout ce que je vois.
Je vois aussi :
- du sport, la course à pied notamment qui attire de plus en plus de jeunes, actifs et beaux ;
- un catéchuménat qui explose (les confirmations aussi) ;
- des médias bien-pensants dont l’influence baisse face à la vérité dite par d’autres ;
- des élections à l’étranger qui montrent qu’une voie nationale est possible.
Ce sont, certes, de petits signes, portés par la suite de l’incendie de Notre-Dame pour certains << https://ripostelaique.com/apocalypse-now-mourir-debout-ou-disparaitre-sans-combattre.html
>>.
Mais signes d’un peuple qui se prépare au combat, qui a
compris qu’il était en danger et qu’il fallait bouger
. Que la vérité
devient dicible.
La grenouille est
chaude, bien chaude mais pas encore cuite.
Elle essaye, teste ses
muscles, se fait mal, éclaircit son esprit pour savoir où frapper, qui,
comment. S’ébroue pour oser voir clair, trouver un plan de bataille pour
retrouver sa liberté de penser, d’exister, de prier, d’aimer.
D’avoir
le courage de distinguer Bien et Mal <<https://ripostelaique.com/nefarious-le-bien-contre-le-mal.html >>.
Pour sortir de la prison mentale du coran et de celle d’un soi-disant bonheur dans les écrans ou dans la drogue.
J’espère
que Trump ne sera pas comme l’empereur Julien II, épuisé par l’ampleur
de la tâche de redressement avant même qu’un coup de lance ne l’arrête.
Que les forces que je sens se mobiliser ne seront pas seulement une
faible contre-révolution, un contre-courant oublié tel le résistant
Celse dont ne restent trace que des moqueries dont il fut l’objet.
Il
faut un feu, un allant, une force qui renverse, qui lutte, qui va sans
souci de soi-même protéger ses petits, sa terre, ses biens, ses dieux,
sa maison.
Il faut un chef, aussi <<https://ripostelaique.com/lelection-presidentielle-2022-quels-attendus-pour-quels-resultats.html>>.
La
France a besoin de soldats.
Le peuple, le vieux peuple, le sent et se
prépare confusément.
Il affûte son corps, commence à répliquer par des
idées, refuse les mensonges, recherche son Dieu, creuse ses racines,
interroge, relève la tête fièrement (il y a de quoi !).
Petite
lueur, certes. Espoir, tout de même.
La vérité sort du puits, qu’elle
n’y retourne pas. Qu’elle emporte le reste sur son passage.
Car il
faudra monter au front, partir à la charge sans espoir de revenir.
L’heure n’est plus à baisser la tête. On ne subit pas.
Par John Vallès
ET AUSSI
Un soir de football, des drapeaux français dans les rues, une euphorie populaire – fugace.
Très vite, la joie est trahie par le réel : voitures brûlées, vitrines
fracassées, policiers pris pour cible.
Ce n’est plus une célébration,
mais une guérilla.
Et alors que les flammes lèchent les trottoirs de nos
villes, Éric Zemmour claque la table : ce ne sont pas des supporters,
ce sont des assiégeants.
Il
dit ce que d’autres taisent. Les responsables ?
Une jeunesse souvent
d’origine immigrée, née en France mais dressée contre elle.
Une
génération élevée dans le rejet de l’autorité, dans la haine de la
France, de ses lois, de son histoire.
Il ne s’agit plus d’un malaise
dans les banlieues, mais d’un divorce radical avec la nation. Le
multiculturalisme n’a pas engendré le vivre-ensemble – il a produit
l’hostilité généralisée.
Et pendant ce temps, que fait le pouvoir ?
Emmanuel Macron, en animateur de cour de récré, tente de séduire les
émeutiers avec des punchlines de rappeur fatigué.
Gérald Darmanin
pleurniche sur la déconstruction des valeurs.
Mais
qui les a déconstruites, ces valeurs, sinon eux ?
Qui a déroulé le
tapis rouge à l’anomie, sinon les apôtres du relativisme, les gardiens
d’un ordre qui a renoncé à lui-même ?
Zemmour ose ce que d’autres n’osent même plus penser : la comparaison avec les barbaresques du XVIIe siècle.
Ces pirates venus d’ailleurs pillaient puis repartaient.
Ceux
d’aujourd’hui, non seulement pillent, mais restent.
Mieux : ils imposent
leur loi, méprisent la nôtre, et exigent qu’on les entende.
C’est une
guerre de civilisation – pas au lointain, mais au coin de la rue.
Une
guerre sans uniformes, sans tranchées, mais pas sans victimes.
Et face à cette guerre, il faut une réponse de guerre.
Plus de demi-mesures. Zemmour propose la remigration pour les étrangers
délinquants, la déchéance de nationalité pour les binationaux
criminels, et la suppression des aides pour les familles complices par
soumission ou laxisme.
Il appelle à punir, expulser, reconstruire.
À
restaurer l’État, le vrai, celui qui protège les honnêtes gens et ne
tremble pas devant les fauteurs de troubles.
Il est minuit moins
une. Les élites regardent ailleurs, les préfets temporisent, les juges
relativisent, les journalistes anesthésient.
Mais le pays, lui, tombe.
Zemmour hurle là où d’autres chuchotent, et il a raison.
Le confort de
l’habitude ne tiendra plus longtemps.
Il faut choisir : reprendre le
contrôle ou disparaître.
Par Nicolas Faure
https://resistancerepublicaine.com/
(Dans le contexte du match de la finale de Ligue des champions opposant le Paris-Saint-Germain et l’Inter Milan du 31 mai dernier)
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