vendredi 30 mai 2025

BEYROU ET SON PLAN DE REDRESSEMENT DES FINANCES PUBLIQUES ! ÇA PATAUGE !!!

 REVUE DE PRESSE !

[ÉDITO] 

Bayrou : ça patauge

L’épreuve de vérité approche : début juillet, Bayrou va présenter son plan de redressement des finances publiques.
Capture d'écran
Capture d'écran

Les jours de François Bayrou sont-ils comptés ?

 À Matignon s’entend. Depuis qu’il a succédé à Michel Barnier, on se pose la question.

 D’aucuns ne le voyaient pas passer l’hiver et, finalement, il devrait passer le printemps. 

Mais l’épreuve de vérité approche : début juillet, le Premier ministre va présenter son plan pluriannuel de redressement des finances publiques. 

Le premier volet de ce plan sera évidemment le projet de loi de finance (PLF) et le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, dont les parlementaires s’empareront au retour des grandes vacances.

 

Le doute commence à s’installer

Pour l’instant, le Béarnais n’a pas vraiment donné d’indices sur ce que sera son plan. 

Le 15 avril dernier, lors de sa conférence sur l’état de notre dette et de nos finances, le chef du gouvernement a passé plus de temps à poser le diagnostic d’une situation que tout le monde connaît qu’à ouvrir des pistes de solutions pour réduire notre déficit public.

 Et le doute commence à s’installer. 

Notamment après ses déclarations chez Apolline de Malherbe sur l’appel à l’effort de tous les Français, évoqué mercredi soir par Marc Baudriller. « Demander un effort à tous les Français ». C’est-à-dire ?

 

Ne pas toucher aux grands tabous ou totems

D’emblée, on commence à comprendre – si ce n’était pas déjà le cas – que Bayrou ne renversera pas la table, qu’il usera des méthodes usées jusqu’à la corde depuis quarante ans : on rabotera un coup par ci, un coup par là pour réduire la colonne des dépenses et on grignotera un coup par ci, un coup par là pour augmenter la colonne des recettes. 

 Avec, évidemment, cela va sans dire mais autant le dire d’avance, l’impérieuse nécessité de ne pas toucher aux grands tabous ou totems : l’immigration et la contribution à l’Union européenne. 

Tiens, parlons-en de notre contribution à l’UE*. En 2017, elle était de 18,1 milliards ; en 2025,  elle s’élève à 23,3 milliards d’euros

 Soit une hausse de 28,72 % en huit ans.

 Rien qu’entre 2024 et 2025, la contribution française augmente de 7,9 %. Il ne semble pas que les salaires et pensions des Français à qui François Bayrou va demander un effort en 2026 aient progressé dans ces proportions.

 

On bricole

Mais revenons à l’effort demandé à tous les Français. 

À ce sujet, le chef du gouvernement a évoqué la piste d’une TVA sociale. 

On ne va pas faire ici un argumentaire du pour et du contre de cette mesure, tant au plan économique que social. 

Rapidement, elle consisterait à baisser les contributions patronales pour augmenter d’autant la TVA qui pèserait alors sur tous les consommateurs, actifs comme retraités. 

 

Mais l’on voit bien que l’on bricole. Que ce n’est évidemment pas la martingale pour réduire le déficit car cela peut se terminer, globalement, en opération à somme nulle pour les finances publiques. 

Notons au passage, qu’il y a déjà quelques années que la TVA est en quelque sorte sociale !

 Ainsi, en 2022, sur les 183 milliards que cet impôt indirect avait rapporté, 57 avait été affectés à la protection sociale : 31 %...

 

Bayrou a-t-il lancé cette idée en l’air, histoire de voir comment ça réagirait ? 

Il est bien trop expérimenté pour ne pas se douter qu’à gauche comme au RN, on agiterait aussitôt la menace de la censure. On se perd en conjectures !

 

Tout juste de quoi patauger dans la mare

Quoiqu'il en soit, la dernière fois que la France connut un véritable grand plan de redressement de ses finances publiques, c’était en 1958 : le fameux plan Pinay-Rueff. 

Mais les circonstances étaient toutes autres. 

D’abord les fondamentaux de notre économie étaient plus solides qu’aujourd’hui : les Trente glorieuses ! Ensuite, la pression fiscale était encore acceptable pour les Français.

 Et, surtout, ce plan put être mis en œuvre dans le souffle du retour du général de Gaulle en mai 1958, fort d’une large légitimité populaire obtenue après le référendum constitutionnel de septembre et les législatives de novembre.

 Tous les atouts pour affronter la haute mer. Bayrou n’a rien de tout cela dans un contexte de macronisme finissant et à bout de souffle. 

Au minimum, a-t-il de quoi patauger dans la mare au canards, au mieux de quoi faire du cabotage à vue, pendant que Macron, lui, fait du cabotinage « à l’international ».

* On lira avec intérêt cet article de la Fondation IFRAP, certes un peu ancien (2021), mais très instructif...

 
Picture of Georges Michel
Par Georges Michel
Editorialiste à BV, colonel (ER) 
 
Source :   https://www.bvoltaire.fr/edito-bayrou- 

 
jmlb

Économie :   Et si, on commençait par là  ?



 

TVA SOCIALE , OU ANTI-SOCIALE ? LA DERNIÈRE TROUVAILLE DE BEYROU ....;

 


Chronique !

TVA sociale : la dernière trouvaille de l’État obèse

28 Mai 2025

Dans la catégorie « déshabiller Paul pour habiller Jacques », la dernière trouvaille du gouvernement consiste à l’instauration d’une TVA Sociale, qui aurait pour but de réduire les cotisations patronales en répercutant le déficit de la Sécurité Sociale (presque 65 milliards à la fin de l’année prochaine) sur les achats du quotidien…

Alors que le pouvoir d’achat des Français a rarement été aussi précaire, dans le pays ayant le taux de prélèvements le plus élevé de l’OCDE (45,4 % du PIB), aucune baisse significative des dépenses publiques n’est bien entendue envisagée…

Cette mesure de « TVA sociale » ou plutôt « TVA antisociale » devrait-on l’appeler, n’aura pour seule finalité que d’opprimer encore plus les classes moyenne et populaire en pesant sur leur panier de courses.

Le Parti de la France estime que la seule direction fiscale à prendre est vers le bas.

 Baisse des impôts, baisse des dépenses publiques, baisse des prélèvements en tout genre, fin de l’assistanat des immigrés.

Il est temps de sortir de l’obésité étatique et de laisser les Français travailler, produire et consommer. 

Et que l’Etat, à l’instar de la politique de Milei en Argentine, soit confiné à son strict domaine réservé.

 

Par  Victor Jan de Lagillardaie – 

Délégué général adjoint du Parti de la France

 

 


Samedi 31 mai, à Amiens : déjeuner avec Thomas Joly (PdF) et Jérôme Bourbon (Rivarol)

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L' ENTRISME ISLAMIQUE PRÉSENTÉ EN CONSEIL DE DÉFENSE À EMMANUEL MACRON !

 

 


 JUSTE UN RAPPEL !

  • 22 mai

Par Alan LE BLOA

Journaliste à OUEST-FRANCE


Ce que révèle le rapport sur l’entrisme islamiste, présenté en conseil de défense à Emmanuel Macron.


Un rapport sur l’influence des Frères musulmans sera présenté au chef de l’État mercredi 21 mai.

 Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, évoque une « menace pour la République ».

 Ouest-France en dévoile les principales conclusions. 

Le document est « classifié confidentiel défense ». 

Il sera au menu du conseil de défense, présidé par Emmanuel Macron mercredi 21 mai, comme l’a confirmé la semaine dernière le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.

 Son objet : décortiquer les mécanismes de « l’entrisme » des « Frères musulmans » en France. 

C’est la première fois qu’un tel rapport, évaluant « l’influence de l’islamisme politique en France » et « l’efficacité des politiques actuelles contre le séparatisme », est commandé par l’exécutif.

L’État a confié cette mission à deux hauts fonctionnaires : François Gouyette, ancien ambassadeur en Algérie, et Pascal Courtade, préfet de l’Aube.

 Le document, remis à l’automne 2024, ne sera pas rendu public mais une version « allégée », expurgée des indications de lieux et de personnes, sera présentée à une date qui n’est pour l’heure pas fixée.

 Prise de contrôle Selon une note de synthèse, dont Ouest-France a pris connaissance, le rapport décrit l’entrisme les Frères musulmans au cœur « des associations sportives, cultuelles et cultuelles ». 

Ainsi qu’une stratégie de prise de contrôle « des mosquées et des établissements éducatifs ».

Près de 140 lieux de culte musulmans seraient ainsi affiliés aux Frères musulmans.

 Il évoque « une menace qui s’étend de manière pernicieuse et progressive » et pointe « un danger pour la cohésion nationale, dépassant même la menace posée par le salafisme traditionnel ».

 L’objectif du « Frérisme » est « d’instaurer le califat sur terre », résume l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler, dans le livre Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête (Odile Jacob, 2023). 

Quel est son poids en France ? 

Un sondage réalisé par l’Ifop en janvier 2024 pour le JDD auprès de 802 personnes a montré que « 37 % des musulmans français déclarent éprouver de la sympathie pour les Frères musulmans, 19 % pour le Hamas ».

« Sécessionnisme politique et social » Par ailleurs, 35 % des jeunes de 18 à 25 se disent favorables à une application stricte ou partielle de la charia, contre 23 % pour leurs aînés.

 Il a également révélé une forte hostilité aux règles de laïcité à la française, 78 % de l’ensemble des sondés la jugeant discriminatoire envers les musulmans.


Un rapport du Renseignement intérieur, mentionné dans le livre enquête La fin des juifs de France, (Cherche midi) à paraître ce jeudi 22 mai, soulignait en 2018 que « 28 % des Français musulmans pratiquent un islam qui confine à une forme de sécessionnisme politique et social », visant à « l’avènement d’une contre-société ». 

De « nombreux alliés » La « caractéristique première de l’islamisme, ou de l’islam politique, est l’imbrication du spirituel et du politique. 

Je parle d’islam de la charia, comme corpus législatif, car c’est elle qui représente cette partie politique de l’islam.

 La seconde est le privilège accordé aux hommes, au détriment des femmes », explique Razika Adnani, philosophe et islamologue franco algérienne, autrice de Sortir de l’islamisme (éd Erik Bonnier 2024). 

Selon elle, « l’islamisme n’a jamais été aussi fort.

Les bouleversements géopolitiques lui offrent un terreau favorable.

 Il dispose également de nombreux alliés », parmi lesquels « la gauche radicale ».

 Un critère permet de mesurer « sa force et sa présence », explique-t-elle : « Sa capacité d’imposer le voile.

 C’est le premier signal qui montre qu’il s’installe. »

 

Source et Publication :    https://www.place-armes.fr/

 



C' EST EN BRETAGNE : UNE JEUNE FEMME SAUVE UN VIEUX MONSIEUR ! ENTRAVE AU SUICIDE ?

 TRIBUNE LIBRE !

Dans le Morbihan, une jeune femme sauve un vieux monsieur : entrave au suicide ?

C’est le vieux débat entre Créon et Antigone, entre la norme et le Bien.
Capture écran pexels-mike
Capture écran pexels-mike

Le 15 mai dernier, Lizéa, une jeune Bretonne, pêchait comme à son habitude au bord de l’étang de Pluméliau-Bieuzy (Morbihan).

 Une personne en fauteuil roulant l’a alors alertée : un vieux monsieur, non loin de là, voulait se jeter à l’eau. 

Quand elle s’est approchée du vieillard, celui-ci s’est jeté à l’eau. 

Sans même réfléchir, Lizéa s’est jetée à sa suite, en robe et claquettes.

 Laissons-la raconter la suite au journal Ouest-France : « Il était sur le ventre, la tête sous l’eau, et je savais qu’à son âge, il ne pourrait pas se retourner seul. 

J’ai réussi à le ramener au bord, mais il résistait, poussant avec ses pieds et ses mains, car il ne voulait pas sortir. 

J’ai alors appelé à l’aide, mais le bruit des tondeuses autour de l’étang couvrait ma voix. » 

Finalement, grâce à l’aide d’une autre personne, la courageuse demoiselle de dix-sept ans a pu ramener l’homme de 96 ans jusqu’au bord, et elle a appelé les pompiers, qui sont arrivés rapidement.

Voilà pour l’histoire. 

Une histoire simple et belle, de dévouement et d’altruisme. 

Samedi 24 mai, Lizéa a reçu la médaille d’honneur de sa ville.

 Comme tous les gens qui font le bien, elle a cherché en-dehors d’elle-même les raisons de son héroïsme, alors que c’est à son cœur qu’elle doit son acte : « C’est dans ma nature d’aider les autres, mais je pense que ma formation en bac pro Accompagnement, soins et services à la personne m’a également été très utile dans cette situation. »

 Comme s’il y avait un bac pro dédié à la formation des braves gens…

 

Vivre ou laisser mourir ?

Tout cela étant dit, il y a quelques conclusions annexes à tirer de ce fait divers qui, comme souvent, est plus éclairant et moins anecdotique qu’il n’en a l’air.

 D’abord, un homme de 96 ans qui essaie de mettre fin à ses jours, ça arrive, mais c’est peut-être à mettre en parallèle avec l’exclusion progressive des personnes âgées, au moment paradoxal où elles représentent désormais plus de la moitié du corps électoral.

 Mais surtout, on voit bien, en lisant le récit de cette jeune femme, que l’homme voulait mourir, et qu’elle l’a donc, en quelque sorte, sauvé contre lui-même. 

Marion Maréchal a donc immédiatement fait le parallèle avec la nouvelle loi immonde sur la légalisation de l’euthanasie, que nos députés viennent d’adopter à une large majorité. 

Elle résume cela sur X : « Cette jeune héroïne sera-t-elle poursuivie pour délit d’entrave au suicide, désormais passible de 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende avec la nouvelle loi euthanasie ? ».

Au-delà de la provocation (assez amusante d’ailleurs), Marion Maréchal met le doigt sur les contradictions de notre société. 

Au fond de nous, nous savons bien que sauver la vie de quelqu’un, fût-ce à son corps défendant, est bien dans l’absolu. 

Et ce n’est pas une loi méditée dans les loges de la franc-maçonnerie, puis défendue par des monstres qui veulent étendre le « droit à mourir » aux mineurs, qui va changer des millénaires d’évidence.

 C’est le vieux débat entre Créon et Antigone, entre la loi extérieure et la voix intérieure, entre la norme et le Bien.

 

 La médiatisation de cette histoire est un clin d’œil intéressant en cette semaine de triomphe de la culture de mort.

 Il sera toujours mieux de sauver une vie, même celle d'un homme qui veut mourir, que de la prendre, même quand le patient le "demande".

 C’est ainsi. 

Et aucune législation tordue ne changera cela.

 
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Par Arnaud Florac
Chroniqueur à BV 
 

SUR SCÈNE , MUSTAPHA EL ATRASSI CELUI QUI CRACHE SUR SA HAINE DE LA FRANCE ET DES BLANCS .........

 TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !


« Affaire » Mustapha El Atrassi. Liberté d’expression ou camisole politique ? 

À droite aussi, le virus du totalitarisme gagne du terrain 

[L’Agora]

Mustapha El Atrassi balance des vannes moisies sur les « gwers » ?  Qu’il continue. 

 Qu’il tourne, qu’il s’affiche, qu’il crache sa haine de la France et des Blancs sur scène, sous les projecteurs, au vu et au su de tous.

 Non seulement cela ne me choque pas, mais j’y vois même une clarté utile dans l’épaisse brume du mensonge contemporain.

VIDÉO :https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=WNldl8aoENo&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.breizh-info.com%2F&source_ve_path=Mjg2NjY 


Ce qui me sidère, en revanche, c’est cette énième poussée de fièvre puritaine venue de notre propre camp, cette droite qui singe les réflexes pavloviens de la gauche : dépôt de plainte, demande de déchéance de nationalité, pressions sur les salles, menaces à peine voilées.

 Le tout pour quoi ?  Pour faire taire un comique raté qui aligne trois punchlines communautaires dans une salle parisienne subventionnée ?

 

On veut quoi, au juste ? Qu’El Atrassi soit censuré, annulé, rééduqué ? 

Qu’il finisse avec un bracelet électronique, assigné à résidence dans un van de tournée, persécuté judiciairement ou financièrement comme Dieudonné ?

Mais où est passée la droite insoumise, la droite de la liberté ? 

Celle qui riait au nez des lois Gayssot et Pleven, (bon c’est vrai qu’ils ne sont plus beaucoup à droite à le faire tant ils sont lâches) celle qui dénonçait le régime d’exception qui frappe les penseurs non conformes, celle qui exigeait une liberté d’expression intégrale ?

 Aujourd’hui, elle court derrière la gauche et ses outils de répression, espérant appliquer la censure… mais dans l’autre sens.  

Pathétique retournement.

Soyons honnêtes : cette indignation est sélective. 

Elle ne vise pas la défense des principes, mais la revanche tribale. 

Ce que beaucoup veulent, ce n’est pas une société libre. 

C’est une société où leur camp seul aurait le droit de parler. 

Où l’on pourrait brûler les autres tout en s’indignant d’être mouillé soi-même. 

Le mot « liberté » ne veut plus rien dire dans ce cirque.

Or il n’y a que deux choix : la liberté pour tous ou pour personne. 

 Il faut accepter que des gens nous haïssent, nous caricaturent, nous ridiculisent.  Et les laisser faire. 

Ce qui n’empêche pas de leur fixer quelques limites physiques s’ils vont trop loin.

 C’est le prix de la vérité.

 Car à force de vouloir interdire tout ce qui nous déplaît, nous créons une société de muselières, de tribunaux, de comités de vigilance. 

 Et nous finirons par tomber dans nos propres pièges.

Alors non, je ne réclamerai pas qu’El Atrassi soit déchu de sa nationalité française (que veut dire d’ailleurs cette nationalité aujourd’hui, puisque le monde entier peut, un jour, prétendre à la posséder ?).

 Je réclamerai juste qu’on lui offre un billet d’avion. 

Qu’il aille jouer ses sketches devant les foules joyeuses de Rabat ou d’Alger. 

Là-bas, loin des « Gwers ».

 Ici, il peut dégueuler sur les « gwers » sans finir en cellule. 

Ce privilège-là, c’est encore la France qui le lui offre.

Mais si l’on prétend défendre la civilisation européenne, alors qu’on la défende pour de bon. 

Avec son lot de chaos, de débats, d’humour féroce, de confrontation frontale.

 Pas en réclamant des interdictions tous azimuts.

 La droite qui demande des dissolutions, c’est la gauche qui a changé de drapeau. 

C’est la même police de la pensée, inversée.

Si El Atrassi insulte les Blancs, rions.

 Moquons-le. Répondons-lui ou ignorons le. 

Et surtout, laissons-le parler. Plus il parle, plus il se dévoile. 

Et plus ceux qui ont encore un gramme de lucidité verront dans ses propos non pas une blague, mais le visage nu d’une haine ethnique banalisée. 

C’est cela, le vrai scandale. Et c’est aussi notre meilleure arme.

Par Julien Dir

 
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LE PARIS DE TIBÉRI ! C' ÉTAIT UNE BELLE ET BONNE ÉPOQUE OÙ IL FAISAIT BON VIVRE ..........

 

    PARIS Aujourd'hui    !



Le Paris de Tibéri, c’était autre chose que ce qu’en a fait Hidalgo…

 

Jean Tibéri est donc allé retrouver son Créateur…

Jean Tibéri est né dans le Ve arrondissement de la capitale. 

Il fut élève du prestigieux lycée Louis-le Grand, là où jadis, sous la pluie, un autre élève récita à un roi inattentif, calfeutré dans son carrosse, un discours de bienvenue.

 Le roi c’était Louis XVI et l’élève s’appelait… Robespierre.

Tibéri, malgré ses origines corses, était parisien jusqu’au bout des ongles, une ville dont il aura abondamment profité, un peu plus que de raison parfois, l’affaire des faux électeurs l’atteste, qui était « de nature à favoriser ses ambitions politiques au niveau de la ville », selon la Justice l’ayant définitivement condamné en appel, peine confirmée par la Cour de cassation en 2015.

Il y aura aussi l’affaire des appartements de la Ville loués à ses enfants, plus les marchés de l’office HLM de Paris pour lesquels il sera mis en examen pour « complicité de trafic d’influence », sans oublier le financement occulte du RPR.

 Du côté de son épouse ce sera le procès des emplois fictifs de l’Essonne, où l’intéressée aurait perçu une somme rondelette pour la remise d’un rapport douteux.

Mais tout cela, pour autant que ce soit condamnable, n’est qu’une goutte d’eau au regard des magouilles de l’ère mitterrandienne, nous en conviendrons tous.

https://www.ouest-france.fr/politique/jean-tiberi-est-mort-quest-ce-que-laffaire-des-faux-electeurs-qui-lui-a-valu-detre-condamne-c6fae3ee-3adf-11f0-b71a-e87c40f434be

 

Tibéri c’était aussi, pour toute une génération, la caricature qu’en avait faite « Les Guignols de l’info », en duo avec sa femme Xavière. 

Filou, indéniablement, comme son mentor et ami Jacques Chirac, il appartenait à cette espèce d’hommes qui ne savent faire que de la politique sans jamais se frotter à la réalité du monde et traînant leur vie dorée de palais en palais de la République.

Tibéri sera ainsi conseiller municipal de Paris, secrétaire d’État, maire du Ve arrondissement, député, premier adjoint au maire de Paris avant de le devenir lui-même en 1995, succédant à son protecteur, Jacques Chirac, devenu le cinquième Président de la Ve République. 

Le chiffre cinq porterait-il chance à la droite ?

Tibéri n’aura donc pas été un modèle d’honnêteté, c’est le moins que l’on puisse dire. 

Il était ambitieux au point de se servir avant de servir les Français, c’est vrai aussi, et comme beaucoup d’autres.

 Mais si l’on regarde l’état de Paris à son époque et qu’on le compare à la calamité qui ne s’appelle pas Jane mais Anne Hidalgo, alors on devient tout de suite moins sévère pour cet homme. 

Oui, du temps de Tibéri il faisait encore bon vivre à Paris et les touristes déambulaient sans trop de craintes pour leurs effets personnels, voire leur vie. 

La crasse n’était pas encore une marque de fabrique de la capitale non plus, et les camps sauvages de migrants, plus les délires wokistes en tout genre, n’étaient pas devenus la norme sans partage. 

On n’arrachait pas non plus les photos d’un bébé juif kidnappé par le Hamas et condamné à mort.

 La haine ultragauchiste de la France ne s’étalait pas non plus sur les murs de la ville.

Toutes choses qui ont explosé avec le règne tyrannique d’Anne Hidalgo, laquelle ne sait plus quoi inventer pour salir la Ville Lumière enténébrée par ses soins. 

Une ville qui a, l’année dernière, lors d’une abjecte cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, étalé une décadence injurieuse à la face du monde, via la mise en scène d’un féroce activiste LGBT, Thomas Jolly. 

D’aucuns parleraient de souillure indélébile.

Opportuniste décomplexée et apprenant la mort de Tibéri, Anne Hidalgo – qui, malgré ses « convictions » de gauche, a cherché jadis à obtenir le soutien de la famille Tibéri pour les élections municipales de 2014 – s’est une nouvelle fois mise en avant, déclarant, toute honte bue étant donné son aversion affichée pour la droite : « Je veux saluer la mémoire d’un homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et son arrondissement. » 

 Et de décider la mise en berne des drapeaux sur tous les bâtiments municipaux, laissant toujours en berne la ville qu’elle administre avec absolutisme et incompétence majeure.

https://www.lepoint.fr/politique/quand-anne-hidalgo-draguait-dominique-tiberi-27-03-2014-1806355_20.php

 

La même Anne Hidalgo qui, à l’automne 2023, s’en est allée faire un coucou à sa fille en Polynésie française, sous couvert d’un voyage officiel destiné à l’inspection des sites de surf pour les épreuves olympiques – sites qu’elle n’a jamais visités ! –, avec un bilan carbone pas très écolo. 

La ficelle était si grosse que le Parquet national financier (PNF) avait ordonné des perquisitions à l’Hôtel-de-Ville. 

 

Mais comme Hidalgo est de gauche, l’affaire n’a pas fait de bulles, malgré notamment une dépense de plus de 11 000 euros pour des données mobiles  et un coût total de 60 000 euros !

Et si comparaison n’est pas toujours raison, on est bien obligé de reconnaître que c’était mieux avant, du temps de Tibéri, lorsque Paris n’était pas devenue ce bouge infâme orchestré par une gauche décadente et malfaisante, sous le haut patronage d’Anne Hidalgo…

 Source :  https://ripostelaique.com/le-paris-de-tiberi