jeudi 13 février 2025

ENSAUVAGEMENT ET RACAILLISATION EN BRETAGNE ! LES UNIVERSITÉS FACE À UNE MONTÉE DE LA VIOLENCE ET D' INTIMIDATION !

 

Ensauvagement. 

Dernières nouvelles de la « racaillisation » de la Bretagne

Fougères, capitale bretonne des véhicules incendiés, a une nouvelle fois vu une voiture partir en fumée dans la nuit du mardi 11 au mercredi 12 février. 

Selon le journal local La Chronique Républicaine, le véhicule (un Renault Scenic) avait été volé dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 février avant d’être incendié près des jardins familiaux du Gué Pailloux. 

Une enquête de police a été ouverte suite à ces faits, sans qu’aucune interpellation n’ait eu lieu jusqu’à présent.

À Rennes, un adolescent âgé de 15 ans a été interpellé mardi 11 février après avoir tiré avec une carabine à plomb sur des passants qui traversaient à pied ou à vélo le pont Saint-Hélier.

 Quatre personnes ont été légèrement blessées. 

C’est depuis son domicile situé au premier étage d’un immeuble se trouvant à proximité que le mineur a donc fait usage de sa « carabine à  air comprimé, de catégorie D », selon le procureur de la République de Rennes. Une arme que des majeurs peuvent se procurer librement sur présentation d’une pièce d’identité.

Avant d’être interpellé, l’adolescent a même visé (sans les toucher) trois policiers de la brigade anticriminalité (BAC). 

Des drones ont finalement permis de le localiser. 

 Compte tenu de la proximité des voies ferrées avec le pont Saint-Hélier, le trafic ferroviaire a dû être interrompu durant une quinzaine de minutes.

Toujours en Ille-et-Vilaine, près de Guipry-Messac, commune sinistrée par les inondations de la fin du mois de janvier, une famille a été victime d’un cambriolage alors qu’elle avait été contrainte de quitter son domicile inondé. 

Une enquête de gendarmerie a depuis été ouverte.

Dans le Morbihan, à Vannes, c’est l’attitude irresponsable d’un chauffeur de bus BlaBlaCar qui a fait l’actualité ces derniers jours.

 Alors qu’ils procédaient à des contrôles de transports en commun dimanche 9 février, les policiers vannetais ont constaté que le chauffeur était positif aux stupéfiants. 

Pour couronner le tout, il conduisait sans permis. Il avait pris la route depuis Rennes à destination de la gare routière de Vannes et s’apprêtait à transporter 71 passagers sur la ligne Vannes-Paris.

Après avoir été placé en détention provisoire, l’homme âgé de 40 ans devra répondre de ces faits devant la justice le 4 mars. 

 

ET AUSSI

 

Pour la dissolution de l’Université de Rennes 2 : halte au naufrage universitaire ! 

[L’Agora]


Chaque année, des millions d’euros de l’argent du contribuable sont engloutis dans des filières sans avenir, dans des campus gangrenés par l’idéologie gauchiste, dans des bastions d’agitations permanentes où l’on forme bien plus de futurs chômeurs que de professionnels compétents.

 Il est temps de poser la question qui fâche : pourquoi continuons-nous à financer des universités qui ne remplissent plus leur rôle premier, celui d’instruire et de former à des métiers utiles ?

Parmi ces trous noirs budgétaires, une se distingue particulièrement : Rennes 2, symbole absolu du naufrage universitaire français. 

Cet établissement n’est plus une université mais une ZAD subventionnée, où la pensée unique s’impose par la force, où le débat intellectuel est remplacé par le dogmatisme, et où chaque année, des centaines de diplômés en sociologie, sciences de l’éducation, psychologie, histoire de l’art et autres filières sans débouchés s’ajoutent aux cohortes des précaires, des militants sans cause et des futurs employés de fast-food.

 

Une université hors de tout contrôle

On pourrait au moins se dire que Rennes 2 offre un cadre propice aux études. 

Il n’en est rien. Grèves à répétition, blocages incessants, occupations de locaux, intimidations contre les étudiants identifiés à droite… 

Cette université n’est plus un lieu de savoir mais un laboratoire de l’extrême-gauche radicale, où l’on apprend davantage à ériger des barricades qu’à structurer une pensée critique.

Les épisodes de violence y sont devenus la norme.

 Menaces, agressions, censure idéologique, les étudiants qui osent exprimer des idées non conformes au dogme dominant sont ostracisés, voire physiquement pris à partie.  

Rennes 2 est devenue une zone de non-droit où les professeurs bien-pensants et la direction ferment les yeux sur la radicalisation croissante d’une partie des étudiants, tout en continuant à réclamer plus de financements.

Et pendant ce temps, l’État continue de dilapider l’argent public pour maintenir ces bastions idéologiques à flot.  

12 250 euros par étudiant : c’est le coût annuel de la formation universitaire en France, payé en grande partie par la collectivité.

 Dans une université où étudier est devenu mission impossible, où les diplômes obtenus sont aussi utiles qu’un ticket de métro composté, cette dépense est un non-sens absolu.

 

Stopper le gaspillage, réorienter les financements

L’argent public n’a pas vocation à financer l’endoctrinement. 

Il est temps de cesser tout financement aux établissements où il devient impossible d’étudier et où la seule finalité est de produire des bataillons de manifestants pour les prochaines grèves de la CGT ou de Sud Éducation.

 L’État n’a pas à payer pour des formations qui ne débouchent sur aucun emploi viable, hormis des postes subventionnés par les collectivités elles-mêmes.

Les 40,3 milliards d’euros dépensés chaque année pour l’enseignement supérieur devraient être réorientés vers des filières stratégiques : ingénierie, santé, artisanat, agriculture, numérique… bref, vers des formations qui répondent aux besoins du pays, et non vers des usines à agitation.

 Former des sociologues gauchistes supplémentaires ne réduira pas la pénurie d’infirmiers, d’ingénieurs ou de techniciens.

Pendant que Rennes 2 continue son cirque et réclame toujours plus d’argent, les contribuables voient leurs impôts partir dans un puits sans fond.

 

La solution : fermeture immédiate des universités inutiles

L’Université de Rennes 2 doit être dissoute. Et avec elle, toutes les universités qui, au lieu de former des professionnels, produisent des diplômés sans avenir, des assistés et des militants.

Si une université devient un champ de bataille idéologique permanent, si elle ne sert plus qu’à fabriquer du ressentiment, alors elle n’a plus de raison d’exister.

 La dissolution de Rennes 2 doit être le premier acte d’une reconquête du supérieur.

 Assez de ces bastions gauchistes financés par l’argent du contribuable ! 

Place à des formations utiles, exigeantes, adaptées aux besoins réels de la société.

La France n’a pas besoin de nouveaux sociologues décroissants ou d’étudiants en « études de genre ». Elle a besoin de médecins, d’ingénieurs, de chercheurs, de bâtisseurs. 

Il est grand temps d’en finir avec ces filières de l’inutile, et avec elles, les usines à chômeurs et à agitateurs que sont devenues certaines universités.

Par Marc Dufresne

 

ET AUSSI 

 

Nantes Université : l’extrême gauche dans une escalade de violence et d’intimidation


La faculté de Nantes est devenue, ces dernières années, un champ de violence politique e où l’extrême gauche, de plus en plus minoritaire, tente d’imposer ses vues par la force et l’intimidation. 

Les récentes agressions, menaces de mort et dégradations de bâtiments sur le campus du Tertre ne sont que les derniers épisodes d’une stratégie bien rodée visant à faire taire toute opposition. 

Mais jusqu’à quand Nantes Université laissera-t-elle faire ?

 

Dégradations, menaces et violences physiques : une montée inquiétante

ans la nuit du 7 au 8 février 2025, le campus du Tertre a été le théâtre de nouvelles violences. 

Une rave party illégale rassemblant 500 personnes a laissé derrière elle un paysage de destruction : tags haineux, menaces de mort, et un climat d’insécurité accru pour les étudiants ne partageant pas les opinions des militants d’extrême gauche. 

Parmi les inscriptions retrouvées sur les murs : des appels explicites à la violence contre l’UNI et ses membres.

Mais la radicalité ne s’arrête pas aux dégradations matérielles.

 Le 11 février, à la sortie d’une assemblée générale organisée par ces mêmes groupuscules, un élu du Conseil d’Administration de l’université, accompagné de trois autres étudiants, a été pris à partie et violemment agressé devant le bâtiment Censive. 

Vols, coups de poings au visage : une attaque qui aurait suscité une indignation nationale si elle avait visé des militants de gauche.

 Mais curieusement, le silence médiatique domine.

 

Une université complice par son inaction ?

Nantes Université, dont la direction condamne les dégradations récentes, aura tout de même du mal à masquer une certaine complaisance, au moins tolérance, à l’égard de l’extrême gauche.  

Toujours se souvenir des déclarations anti RN de la direction de l’Université en pleine période électorale, en irrégularité totale avec le devoir de neutralité politique.

 Depuis des années, l’établissement tolère l’organisation d’ »assemblées générales Antifa », véritables tribunaux idéologiques où toute divergence est réprimée. 

Loin d’être des lieux de débat démocratique, ces rassemblements servent d’arènes pour désigner les cibles et orchestrer les campagnes d’intimidation.

Face à la répétition des agressions, l’UNI et plusieurs étudiants dénoncent une politique de l’autruche de la présidence de l’université. 

Alors que la présidente Carine Bernault a bien déposé une plainte contre les dégradations, les militants de droite se demandent pourquoi des sanctions fermes ne sont pas prises contre les groupes qui sèment la terreur sur le campus.

 

Et si la droite ripostait ?

La situation soulève une question majeure : que se passerait-il si, demain, les étudiants de droite décidaient de répondre coup pour coup ?

 Si des groupes opposés à l’extrême gauche se mettaient à user des mêmes méthodes, en agressant et en menaçant leurs adversaires idéologiques ? 

Le tollé serait immédiat. 

Politiques, médias, associations, syndicats étudiants monteraient au créneau pour exiger des sanctions immédiates et crier à la menace fasciste.

Mais quand il s’agit d’intimidations et d’agressions perpétrées par l’extrême gauche, c’est le silence, voire l’excuse. 

Un deux poids, deux mesures flagrant, qui traduit bien la dérive idéologique d’un certain nombre d’institutions et de médias, plus prompts à défendre leurs alliés idéologiques qu’à dénoncer l’évidence.

L’université doit être un lieu de débat, de confrontation d’idées, et non un territoire livré à la terreur politique. 

Il est urgent que Nantes Université prenne ses responsabilités et cesse de fermer les yeux sur les agissements d’une minorité ultra-violente. 

À défaut, elle portera une lourde responsabilité si la situation dégénère encore davantage.

La droite étudiante, malgré les attaques, indique qu’elle ne cédera pas face aux intimidations.

 Et si l’administration ne veut pas faire respecter la liberté d’expression, alors il appartient à chaque étudiant attaché à la démocratie de se mobiliser pour exiger des comptes.


Source ET Publication [cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


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    LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA ! UN BOUFFON À L' ÉLYSÉE.........

     

    TRIBUNES LIBRES !

    mardi, 11 février 2025

    Un bouffon à l’Élysée

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    La chronique de Philippe Randa

    C’était sous le quinquennat de François Hollande. Je m’entretenais du (mauvais) état de la France avec un ami qui se reconnaîtra dans ces lignes – étant (beaucoup) plus qu’un simple lecteur du Nouveau Présent – et auquel je déclarais en souriant (jaune) : « Mitterrand nous a fait regretter Giscard, Chirac nous a fait regretter Mitterrand, Sarkozy nous a fait regretter Chirac… Je n’ose pas imaginer si un Président nous fera, un jour, regretter Hollande ! »… 

    Et mon ami de s’exclamer avec conviction : « Impossible ! avec Hollande, on a touché le fond ! »

    La question méritait toutefois d’être posée et même si nous n’imaginions pas, à l’époque, qu’il soit possible de donner de la Fonction présidentielle pire image que celle de l’élu socialiste d’alors, nous n’aurions sans doute alors jamais imaginé… la Macronie !

    Certes, sous le quinquennat de François Hollande (2012-2017), les réseaux sociaux existaient, mais n’étaient pas encore ce qu’ils sont aujourd’hui, soit l’alpha et l’oméga de la communication. 

    Ni l’élu socialiste de Corrèze, ni aucun(e) autre politicien(ne), n’enchaînaient encore « tweet sur tweet » sur tout et n’importe quoi et à tout bout de champ…

    On peut le déplorer, mais c’est l’époque et même si l’on peut juger qu’elle soit quelque peu triste, on est bien obligé de faire avec !

    Mais tout de même ! quand le président de la République lui-même, n’hésite pas à relayer sur son propre compte Instagram des « deepfakes » où il est ridiculisé – dans une parodie du film Le dîner de cons, en influenceur coiffure ou chantant du Nekfeu – et ce, dans le but, se justifie-t-il d’« attirer l’attention sur les bénéfices que pourrait apporter l’IA dans de nombreux domaines », la veille du Sommet de l’intelligence artificielle à Paris, on peut tout de même s’interroger.

    Oui, s’interroger. Sur son état mental. Sur sa simple intelligence avec laquelle on nous a tant et tant rabattu les oreilles depuis 2017.

     Sur les risques qu’un tel « bouffon » – comme dirait ses « potes » des banlieues désormais de non-droit – fait courir au Monde, étant tout de même dépositaire des codes nuléaires. 

    Sur le simple respect du peuple de France dont il est, ou devrait-être en tout cas, le premier d’entre eux… aux yeux du reste du Monde.

    Pour ma part, je ne me risquerais désormais plus, je le promets, à oser imaginer quel autre président puisse un jour nous faire regretter l’actuel locataire de l’Élysée. 

    S’il m’arrive d’être inquiet, je ne suis pas non plus suicidaire.

    09:55 Publié dans Philippe Randa

     

    ET AUSSI

     

    Emmanuel Macron, l’illusionniste pathétique d’une République à la dérive

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    Il ne sait plus quoi faire. Emmanuel Macron, Président sans majorité, condamné à l’impuissance par sa propre inconséquence, erre comme une ombre au sommet de l’État.

     La dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, qui se voulait un coup de maître, s’est transformée en débâcle. 

    Dépossédé de son pouvoir, rejeté par les Français, il se débat dans un vide institutionnel qu’il a lui-même créé. 

    L’homme qui prétendait incarner le « nouveau monde » est devenu un simple figurant dans l’agonie de la Ve République.

    Alors, pour exister, il joue la carte du spectacle. Son dernier tour de passe-passe ?

     Une communication grotesque, tournée vers une jeunesse qu’il méprise mais dont il espère le soutien. Tiktok, vidéos racoleuses, langage de cour d’école : le président de la République se travestit en influenceur de bas étage. 

    En croyant séduire, il se ridiculise.

     Il ne comprend pas que l’autorité ne se mendie pas : elle s’impose. 

    Il ne comprend pas que le respect ne se quémande pas sur les réseaux sociaux : il se mérite par la grandeur, la tenue, la vision. 

    Mais de vision, il n’en a plus. 

    Il n’est plus qu’une image, floue, tremblante, indigne de sa fonction.

    Et puis, il y a le rideau de fumée. 

    Hier soir, sur France 2, il promettait 109 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle. Un chiffre gigantesque, une ambition affichée. 

    Mais à y regarder de plus près, que représente ces promesses ? 

    Rien qu’un écran de fumée destiné à masquer l’effondrement français. 

    Car qui peut croire que la France, bridée par sa fiscalité confiscatoire, écrasée par une bureaucratie socialo-communiste digne des grandes heures soviétiques, pourrait rattraper son retard technologique ? 

    Pendant que la Chine et les États-Unis avancent à pas de géant, nous débattons de la taxation des entreprises et des interdits bureaucratiques.

     Nous faisons fuir les talents, nous laminons les entrepreneurs, nous broyons toute ambition industrielle au nom d’un égalitarisme dévoyé.

    Macron n’est plus qu’un illusionniste fatigué, multipliant les effets d’annonce pour masquer l’effondrement de son règne. 

    Mais les Français ne sont pas dupes. 

    Ils voient bien que derrière les vidéos Tiktok et les milliards virtuels, il n’y a qu’un pouvoir moribond, incapable de restaurer la grandeur de la France.

    Il est déjà trop tard pour lui. Mais il est encore temps pour la France. 

    À condition d’ouvrir les yeux.

    Thomas Joly, Président du Parti de la France

    18:32 Publié dans Thomas Joly |

     Source et Publication :    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/02/11

     


    mercredi 12 février 2025

    À GAUCHE LES RÉVOLUTIONNAIRES D' OPÉRETTE ( ANTIFAS ) TAGS ET PROFANENT LES TOMBES !

     

    mardi, 11 février 2025

    Les céphalopodes d’extrême gauche commettent deux nouvelles profanations

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    Synthèse nationale

    Samedi dernier, 8 février, des mollusques autoproclamés "antifas", "résistants" d’opérette mais authentiques abrutis, ont tagué la tombe de Robert Brasillach, dans le cimetière de Charonne (Paris XXe).

    Rappelons à ces vandales mous du bulbe que le poète Louis Aragon, par ailleurs épurateur zélé à la tête du Comité national des écrivains et, selon la formule d’Edgar Morin, « bonne à tout faire » du communisme, n’hésita pas, en son temps, à défendre la mémoire de son ami Pierre Drieu la Rochelle avec ces mots : « Un suicide (et plus encore une exécution, NDLR) éteint toute dette. Je n’admets pas que les premiers venus qui ne savent rien bavent sur son cadavre ».

    Rappelons également à tous les trotsko-tocards ignares, maniaques de la bombe à peinture, sans courage, ni respect, ni honneur, que Robert Brasillach, dans l’attente du poteau d’exécution, sut, lui, prendre de la hauteur pour s’adresser fraternellement à ceux de ses adversaires qui l’avaient précédé, dans la cellule où il croupissait et dans la mort :

    Les noms sur les murs

    D’autres sont venus par ici,
    Dont les noms sur les murs moisis
    Se défont déjà, et s’écaillent.
    Ils ont souffert et espéré,
    Et parfois l’espoir était vrai,
    Parfois il dupait ces murailles.

    Venus d’ici, venus d’ailleurs,
    Nous n’avions pas le même cœur,
    Nous a-t-on dit : faut-il le croire ?
    Mais qu’importe ce que nous fûmes !
    Nos visages noyés de brume
    Se ressemblent dans la nuit noire.

    C’est à vous, frères inconnus,
    Que je pense, le soir venu,
    O mes fraternels adversaires !
    Hier est proche d’aujourd’hui.

    Malgré nous, nous sommes unis
    Par l’espoir et par la misère.

    Je pense à vous, vous qui rêviez,
    Je pense à vous qui souffriez,
    Dont aujourd’hui j’ai pris la place.
    Si demain la vie est permise,
    Les noms qui sur ces murs se brisent
    Nous seront-ils nos mots de passe ?

     

    Quelques heures plus tard, durant le week-end, c’est le monument commémoratif de Maurice Barrès qui a été souillé à Vaudémont, en Meurthe-et-Moselle.

    Barrès, justement : au début de Leurs figures, on trouve ce passage qui sied à merveille aux temps et aux événements présents : « (…) tout redevient un vague marais. 

    Seulement, de temps en temps, montent à la surface des fusées de haine, des gaz malsains (…) ».

    Les poissons, dit-on, pourrissent par la tête. Pour ce qui est de notre société, il semble bien qu’elle pourrisse par son extrême gauche.

     Une consolation cependant : marcher dedans, ça porte bonheur !

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    16:35 Publié dans Editor

     Source :   http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/02/11

     

    ARMÉE : L' ARRIVÉE DES LASERS ( IRON BEAM ) SUR LE CHAMPS DE BATAILLE......

     
    Les lasers débarquent dans le champ de bataille

    11 février 2025

    Photo : Soldats du 35e régiment d'infanterie en formation derrière un VBCI - CC BY-SA 4.0


    Les lasers débarquent dans le champ de bataille

    par

    Cela fait plusieurs années que l’on évoque l’arrivée des lasers sur le champ de bataille. Israël a développé un modèle utilisable et facilement déployable.

     De quoi modifier le champ de bataille.

    Depuis plusieurs décennies, les armes à énergie dirigée ont suscité de nombreuses attentes dans le domaine militaire, oscillant entre avancées technologiques et obstacles insurmontables. 

    Israël, avec le développement du système Iron Beam (« rayon de fer »), semble être sur le point d’atteindre un objectif longtemps recherché par les grandes puissances militaires : une arme laser (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation, en français Amplification de la lumière par émission stimulée de radiation ») efficace et déployable à grande échelle. 

    Si cette avancée se confirme, elle marquera une avancée importante dans l’armement défensif contre des cibles volantes, bien que des défis majeurs subsistent quant à son efficacité réelle et sa viabilité à long terme.

    Une arme désormais opérationnelle

    L’arrivée à maturité opérationnelle d’Iron Beam est un jalon important dans un contexte de menaces croissantes contre Israël, notamment depuis l’attaque du 7 octobre 2023. 

    Le pays a été confronté à une intensification des frappes de roquettes, missiles et drones provenant du Hamas, du Hezbollah, des milices irakiennes des Houthis et l’Iran. 

    Jusqu’à présent, l’Iron Dome (Dôme de fer) a constitué la dernière ligne de défense face à ces attaques, utilisant des missiles Tamir pour intercepter les projectiles ennemis avant qu’ils n’atteignent leur cible.

    A lire aussi : Carte : Cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, Israël veut se concentrer sur Gaza et l’Iran

     

    Le système de défense aérienne israélien repose sur une architecture en plusieurs couches, conçue pour protéger le territoire contre des menaces de nature et de portée variées. 

    Cette approche repose sur une complémentarité entre différentes technologies, allant de l’interception de roquettes et de drones à courte portée jusqu’à la neutralisation de missiles balistiques intercontinentaux.

    Au cœur de cette défense, le Dôme de Fer constitue la première ligne face aux tirs de roquettes et d’obus de mortier en provenance de Gaza, du Liban ou d’autres zones hostiles. 

     Déployé en 2011, ce système est devenu emblématique de la capacité israélienne à gérer les menaces aériennes en temps réel.

     Son efficacité repose sur un réseau de radars et de missiles intercepteurs Tamir capables de détecter et de détruire un projectile en plein vol avant qu’il n’atteigne sa cible. 

    Avec un taux de réussite dépassant les 90 %, le Dôme de Fer a prouvé son utilité, en particulier pour la protection des zones urbaines denses.

     Toutefois, son coût élevé par interception et sa dépendance à un approvisionnement constant en missiles restent des défis à prendre en compte.

     

    Mise en place de la fronde de David

    Au-delà de cette première couche défensive, Israël a développé la Fronde de David, un système conçu pour intercepter des menaces plus sophistiquées, telles que les missiles balistiques à moyenne portée et les missiles de croisière. 

    Cette technologie, développée en collaboration avec les États-Unis, comble l’espace entre les interceptions de courte portée du Dôme de Fer et la défense antimissile stratégique. 

    Elle repose sur des intercepteurs Stunner, capables de neutraliser leurs cibles par impact direct, une approche plus efficace que les méthodes classiques d’explosion à proximité. 

    Son rôle est crucial face aux arsenaux grandissants du Hezbollah et de l’Iran, qui disposent de missiles de plus grande portée et de plus grande précision.

    Enfin, la dernière ligne de défense repose sur le système Arrow, destiné à intercepter des missiles balistiques de longue portée, y compris ceux qui pourraient transporter des ogives nucléaires.  

    La distinction entre Arrow 2 et Arrow 3 reflète l’évolution de la menace et des capacités israéliennes. Arrow 2 vise principalement à intercepter les missiles à des altitudes moyennes et hautes, avant qu’ils n’atteignent le sol israélien. 

    Arrow 3, en revanche, représente une avancée majeure, puisqu’il est conçu pour détruire les missiles ennemis en dehors de l’atmosphère, réduisant ainsi les risques de dispersion de débris ou de substances dangereuses sur le territoire. 

    Cette technologie est essentielle face aux missiles balistiques iraniens, tels que les Shahab et Sejjil, qui pourraient représenter une menace existentielle pour Israël.

     

    Un coût d’interception élevé

    Toutefois, le coût de chaque interception est élevé.

     Le coût d’interception des systèmes de défense aérienne israéliens varie selon leur niveau de sophistication et la nature des menaces interceptées.

     Le Dôme de Fer (4 à 70 km), utilise des missiles Tamir coûtant environ 60 000 dollars par interception.

     La Fronde de David, qui neutralise des missiles balistiques de moyenne portée et des missiles de croisière, a un coût d’interception estimé à 1 million de dollars par missile Stunner (« assommant », missile d’interception par impact direct développé par Israël et les États-Unis.

     Avec une portée estimée entre 40 et 300 km, le Stunner remplace progressivement les missiles Patriot PAC-2).

     Enfin, le coût exact par interception de l‘Arrow, dédié à l’interception des missiles balistiques de longue portée, n’est pas précisé, mais il est vraisemblablement supérieur à celui de la Fronde de David.

    Et, au-delà du coût, il y a la nécessité de maintenir un stock important de munitions et les acheminer vers les batteries.

    Toutes ces contraintes ont conduit Israël à rechercher des alternatives plus économiques et plus simples logistiquement. 

    L’Iron Beam ne dépend pas de munitions coûteuses, mais d’un système de tirs laser capables de neutraliser une cible en concentrant des faisceaux d’énergie sur un point précis.

     

    La méthode laser

    L’un des aspects les plus remarquables de cette avancée réside dans la résolution d’un problème qui a longtemps entravé le développement des armes laser : la dispersion de l’énergie dans l’atmosphère. 

    Lorsqu’un faisceau laser de grande puissance est tiré, l’air ambiant tend à en disperser l’énergie, réduisant considérablement son efficacité sur de longues distances. 

    Or, plutôt que d’utiliser un unique faisceau, l’Iron Beam repose sur un tir synchronisé de centaines de micro-faisceaux de la taille d’une pièce de monnaie. Individuellement, ces faisceaux ne sont pas assez puissants pour détruire un missile ou un drone, mais, ensemble ils permettent de concentrer progressivement l’énergie sur une zone ciblée.

     Une fois qu’un premier faisceau touche la cible, un système de détection optique fondée sur une boucle de contrôle ultra-rapide, ajuste immédiatement les tirs restants pour qu’ils convergent vers le même point critique.

    Si les ambitions technologiques du système sont indéniables, plusieurs faiblesses demeurent. 

    Tout d’abord, la portée effective de l’Iron Beam reste limitée.

     Lors des tests, le système a démontré une capacité d’interception à quelque 7 kilomètres, largement inférieure à d’autres intercepteurs. 

    De plus, la densité atmosphérique et les conditions météorologiques risquent malgré tout d’affecter la performance des faisceaux laser.

     En cas de forte humidité, de brouillard ou de tempêtes de sable, la dispersion de l’énergie pourrait être plus importante, réduisant l’efficacité du système.

     Contrairement aux missiles qui possèdent leur propre source de propulsion, un laser doit maintenir une ligne de visée continue sur sa cible pour garantir la destruction, ce qui pose un défi en situation de combat dynamique, car cela réduit le nombre de cibles traitées parallèlement.

     

    Des problèmes subsistent

    Un autre problème majeur réside dans la puissance énergétique requise pour un fonctionnement optimal. 

    L’Iron Beam repose sur une concentration rapide d’énergie pour neutraliser une cible, mais cela implique un besoin en électricité extrêmement élevé.

    À grande échelle, ce facteur pourrait devenir un frein au déploiement du système, en particulier dans des zones où l’infrastructure énergétique est limitée. 

    À la différence d’un missile, qui peut être lancé instantanément, une arme laser nécessite un temps de charge et un approvisionnement constant en énergie, ce qui pourrait réduire son efficacité en cas d’attaques massives et simultanées.

    Les limites de l’Iron Beam apparaissent également lorsqu’on le compare à d’autres projets d’armes laser en développement à l’international. 

    Aux États-Unis, l’armée et l’industrie de défense cherchent depuis plusieurs années à déployer des lasers embarqués sur des navires et des véhicules terrestres. 

    Toutefois, un obstacle persistant empêche leur adoption massive : la difficulté de viser précisément un point vulnérable sur une cible en mouvement.

     L’US Navy, par exemple, a rencontré des problèmes récurrents avec ses lasers embarqués sur des navires. 

    Le roulis des bateaux empêche d’obtenir un verrouillage stable sur la cible, rendant l’utilisation de ces armes peu fiable dans un environnement maritime.

     Il n’est pas exclu que l’Iron Beam rencontre des difficultés similaires si le système venait à être adapté pour une utilisation mobile ou embarquée.

     

    C’est néanmoins une avancée considérable

    Malgré ces défis, l’Iron Beam constitue une avancée considérable qui pourrait redéfinir les stratégies de défense à court et moyen terme. 

    Son intégration avec le Dôme de fer permettrait d’améliorer encore l’efficacité de la défense israélienne tout en réduisant les coûts par interception se limitant désormais à la consommation d’énergie du système. 

    Une telle réduction des coûts pourrait permettre d’intercepter un plus grand nombre de menaces sans craindre l’épuisement des stocks de munitions.

    L’intérêt stratégique de cette technologie ne se limite pas à Israël.

    A lire aussi : Conflit israélo-palestinien : ce qui a fait dérailler le processus de paix

     

    Rafael Advanced Defense Systems, l’entreprise derrière le développement de l’Iron Beam, cherche déjà à l’exporter.

     En décembre 2022, un accord a été signé avec Lockheed Martin pour adapter le système au marché américain, ouvrant ainsi la voie à une potentielle adoption par les forces armées des États-Unis

     De plus, des démonstrations du système ont été réalisées dans plusieurs salons d’armement internationaux, notamment aux États-Unis, à Singapour et aux Émirats arabes unis.

    Toutefois, toute vente internationale sera soumise aux décisions du gouvernement israélien, qui devra évaluer les implications géopolitiques de la diffusion de cette technologie. 

    Et, bien entendu l’avis du partenaire américain pèsera lourdement dans la balance.

    Dans la course à l’armement laser, la France figure parmi les pays les plus avancés dans ce domaine. 

    Le HELMA-P (High Energy Laser for Multiple Applications – Power, ce qui peut être traduit par Laser Haute Énergie pour Applications Multiples – Puissance.), développé par la société française Cilas repose sur une approche différente de celle de l’Iron Beam de Rafael. 

     Si ces deux projets s’appuient sur la même technologie laser, leur portée, leurs objectifs stratégiques et leurs contraintes opérationnelles les distinguent profondément.

     

    La France aussi est en pointe

    Le HELMA-P est avant tout une solution de défense rapprochée contre la menace des drones.

     La guerre en Ukraine a démontré que les drones peuvent saturer les défenses adverses à moindre coût, rendant indispensable une nouvelle approche de l’interception. 

    C’est précisément le rôle du HELMA-P, dont l’objectif est de neutraliser les drones ennemis à faible coût en remplaçant les traditionnels missiles intercepteurs.

     Son fonctionnement repose sur un laser de moins de 100 kW, capable d’endommager les composants critiques d’un drone, le rendant inopérant à une distance d’environ un kilomètre. 

    Sa mobilité et sa capacité à être monté sur des véhicules blindés ou des infrastructures fixes en font un atout précieux.

    A lire aussi : Double élimination pour Israël

     

    Si l’Iron Beam est conçu pour être intégré dans un réseau de défense existant, il n’est pas encore prouvé qu’il puisse remplacer totalement les missiles intercepteurs traditionnels.

     Certains projectiles, notamment ceux à haute vitesse ou aux trajectoires complexes, pourraient nécessiter des moyens plus conventionnels. 

    De la même manière, le HELMA-P, bien que prometteur, reste limité aux cibles lentes et peu protégées. 

    Il ne pourrait pas intercepter un missile ou un avion de combat (peut être un hélicoptère dans certaines circonstances), ce qui restreint son champ d’application.

    Malgré ces défis, le développement du HELMA-P et de l’Iron Beam marque une étape cruciale dans l’évolution de la guerre moderne.

     L’avenir de ces technologies dépendra de leur capacité à s’intégrer dans les doctrines militaires existantes et à démontrer leur fiabilité en conditions réelles. 

     Ce qui est certain, c’est que les armes laser sont désormais une réalité opérationnelle déjà dans les mois et les années à avenir.


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    À propos de l’auteur

    Par Gil Mihaely

    Journaliste. Directeur de la publication de Conflits.
     

     

    L' ARRESTATION ARBITRAIRE DE BOUALEM SANSAL L' ÉCRIVAIN FRANCO -ALGÉRIEN ! ALLO MACRON !

     

    [TRIBUNE] 

    Sansal, prisonnier d’un régime ennemi de la liberté et de la France

    BV
    BV

    L'arrestation arbitraire de Boualem Sansal, écrivain franco-algérien de renommée internationale, dépasse largement le seul sort de cet intellectuel courageux.

     Elle est le symptôme d'un régime algérien en pleine dérive autoritaire, qui persécute ses opposants et instrumentalise la répression politique pour masquer ses propres échecs.

     Elle est aussi, pour la France, une nouvelle humiliation infligée par Alger, qui défie notre souveraineté tout en continuant à profiter de notre faiblesse.

    Depuis son arrestation le 16 novembre dernier, Boualem Sansal est détenu dans des conditions indignes, victime d'un pouvoir qui n'accepte ni la critique ni la liberté d'expression. 

    L'accusation fallacieuse d'atteinte à la sûreté de l'État, sous le couvert de l'article 87 bis du Code pénal algérien, n'a pour but que de faire taire un homme qui a osé dénoncer la dérive autocratique et l'emprise islamiste grandissante sur l'Algérie.

     Son incarcération n'est pas un simple fait divers diplomatique, elle est le reflet d'une hostilité assumée du régime algérien envers la France et ses valeurs.

    L'Algérie, un régime hostile qui défie la France

    Depuis des décennies, l'Algérie instrumentalise la relation avec la France à son profit.

     Elle refuse de récupérer ses clandestins sous OQTF, laissant sur notre sol des délinquants multirécidivistes qui défient nos lois. Elle mène une guerre économique en boycottant les produits français, préférant acheter son blé à la Russie.

     Elle entretient une propagande antifrançaise à travers des influenceurs et médias officiels tout en continuant de bénéficier de la complaisance coupable des élites françaises.

    Chaque année, ce sont des milliards d'euros qui quittent notre pays vers l'Algérie, qu'il s'agisse de transferts financiers privés ou de financements publics sous couvert de coopération. 

    Pire, encore, l'accord UE-Algérie de 2005, dont seule l'Europe respecte les termes, permet à Alger de recevoir des centaines de millions d'euros sans la moindre contrepartie.

     Pourquoi continuer à entretenir un régime qui nous méprise et qui foule aux pieds nos intérêts ?

    LFI : L'alliance contre la France

    Face à cette situation, le Parlement européen a voté, le 23 janvier dernier, une résolution exigeant la libération de Boualem Sansal et condamnant la répression politique en Algérie. 

    Ce vote aurait dû faire consensus parmi tous ceux qui se réclament de la démocratie et des droits de l'homme. 

    Pourtant, la délégation mélenchoniste de La France insoumise s'est abstenue ou a voté contre.

     Manon Aubry s'est lâchement abstenue, tandis que Rima Hassan, activiste d'origine palestinienne née en Syrie dont le père était membre de l'armée syrienne, a tout simplement rejeté la résolution. 

     Comment s'étonner que ceux qui ont déjà pris fait et cause pour les islamistes de Gaza refusent de condamner la répression d'un écrivain qui combat l'obscurantisme ? 

    Cette lâcheté révèle, une fois de plus, la collusion entre une certaine gauche et les régimes les plus liberticides, dès lors qu'ils sont perçus comme des alliés électoraux.

     

    Ce refus de condamner l'évidence témoigne d'une fracture politique majeure, en France. 

    D'un côté ceux qui placent la souveraineté, la dignité nationale et la défense de nos valeurs au-dessus de tout. 

    De l'autre ceux qui, par idéologie et opportunisme électoral, pactisent avec ceux qui piétinent nos principes les plus fondamentaux.

     Une démonstration de plus de leur haine de la France.

    Il est temps pour la France d'assumer un bras de fer diplomatique

    Nous devons cesser d'être un paillasson diplomatique et économique pour l'Algérie. 

    Il est impératif de prendre des mesures immédiates et fermes. 

    Un gel total des transferts financiers vers l'Algérie tant que ses autorités refuseront de reprendre leurs clandestins. 

    La suspension immédiate des visas pour les ressortissants algériens. 

    L'abrogation des accords de 1968 et des conventions de Sécurité sociale qui offrent des privilèges injustifiés aux Algériens.

    L'Europe, quant à elle, doit suspendre immédiatement l'accord de 2005 et cesser de financer un régime qui se complaît dans l'hostilité envers un État membre. 

    Nous devons cesser d'être les seuls à vouloir entretenir des relations normales d'État à État qui ne nous vaut que mépris et ingratitude.

    Boualem Sansal est un homme de lettres, un esprit libre qui incarne ce que l'Algérie aurait pu être si elle avait choisi la liberté au lieu de l'oppression. 

    Son combat est aussi le nôtre. 

    Défendre son droit à la liberté, c'est refuser la soumission à un régime qui nous méprise et qui exploite notre faiblesse.

     L'heure n'est plus aux courbettes : il est temps d'imposer le respect mutuel.

     


     


    Par Christophe Bay, député français RN au Parlement européen, membre du groupe européen Les Patriotes pour l'Europe, membre Commission du commerce international, ancien préfet.

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    Les Horaces
    Les Horaces sont un cercle de hauts fonctionnaires, hommes politiques, universitaires, entrepreneurs et intellectuels apportant leur expertise à Marine Le Pen, fondé et présidé par André Rougé, député français au Parlement européen. 
     

     
     
     
     

    LA FRANCE D' ORANGE MÉCANIQUE ! REVUE DE PRESSE !

     


    Meurtre de Louise : un suspect de plus en plus plausible

    Brève 1

    Quatre personnes sont actuellement en garde à vue, dans l’affaire du meurtre de Louise.

     Parmi eux, un suspect dont l’ADN, nous apprend BFM TV, a été trouvé sur le corps de Louise.

     D’après RTL, il présente des coupures au niveau des doigts.

    Après avoir entendu deux personnes, ce week-end, puis deux autres, lundi - toutes libérées, finalement -, la police se concentre sur un jeune homme de 23 ans qui pourrait être l’auteur du meurtre, et sur trois de ses proches que la police suspecte de non-dénonciation de crime : ses parents et sa petite amie.

     Leurs déclarations sur leurs emplois du temps, vendredi, au moment du crime, montrent des incohérences. 

    L’intéressé serait connu pour des faits de violence et de vol, sans lien avec le trafic de stupéfiants.

     

     

    Une adolescente enlevée et violée à Nersac (Charente)

    Brève 1

    On apprend par La Charente libre que le 31 janvier dernier, une adolescente de 17 ans qui allait prendre son bus le matin a été enlevée à Nersac (Charente).

     Emmenée de force dans une voiture par un homme encagoulé, elle a été violée dans un bois, avant de réussir à s’enfuir.

     L’information a mis dix jours à émerger. « L’affaire est sous embargo médiatique, et ni la mairie ni les autorités n’ont communiqué à ce sujet », écrit La Charente libre, relayée par FdeSouche

     La brigade de recherches d’Angoulême mène l’enquête tandis que les habitants de Nersac s’inquiètent pour la sécurité de leurs enfants et que court la rumeur d’une autre agression préalable.

     

     ET AUSSI

    RAPPEL !

     

    « Ne pas envoyer ces mineurs en prison a probablement coûté la vie d’Elias »

    Pierre-Marie Sève

    L'Institut pour la justice (IPJ) publie une étude fouillée sur « L'emprisonnement ferme, peine centrale mais sanction marginale ».  

    Chiffres des tribunaux à l'appui, l'IPJ démontre que « le laxisme de la justice n’est pas un mythe ». 

    La peine de prison, pourtant centrale dans notre système pénal, est trop rarement prononcée... 

    En cause, une « carcérophobie » judiciaire et des lois qui encouragent le recours à des peines basses. Pierre-Marie Sève, directeur de l'Institut pour la justice, revient pour BV sur ce fiasco.

    Clémence de Longraye. 

     

    Les meurtriers présumés du jeune Élias, poignardé à la sortie de son entraînement de football ce 24 janvier, sont connus des services de police et en état de récidive. 

    Ils n’ont pourtant jamais fait l’objet de mesures d’enfermement. 

    En quoi cette affaire illustre-t-elle le laxisme de la Justice, et notamment le laxisme de la Justice des mineurs ?

    Pierre-Marie Sève. Cette affaire démontre le laxisme judiciaire - en particulier lorsqu’il concerne la Justice des mineurs - à plusieurs points de vue. 

    D’abord car les deux principaux suspects du meurtre d’Élias sont des mineurs connus de la Justice.

     Un des deux mineurs avait déjà été « condamné » à une mesure éducative en 2023 et les deux avaient été présentés à un juge en octobre dernier pour vol avec violence, mais ils n’avaient pas encore été condamnés. 

    À cette occasion, le parquet avait demandé la détention provisoire, mais elle n’avait pas été retenue par le juge d’instruction.

    Si sa durée est variable, cette détention provisoire peut durer jusqu’à un an.

     Si la remarque est facile a posteriori, la décision de ce juge de ne pas envoyer ces mineurs en prison a donc probablement coûté la vie d’Élias, puisqu’ils seraient sans doute encore en prison.

    En réalité, si la mort d’Élias a de multiples causes, il est clair que la Justice des mineurs est un domaine particulièrement idéologisé. 

    Sous le prétexte – bien réel et justifié – que les mineurs doivent être traités différemment des majeurs, toute la philosophie de cette Justice est extrêmement hostile à la punition.

     

    C. d. L. Un adolescent de 17 ans vient d'être condamné à quatre mois de prison avec sursis et 150 euros d’amende après avoir percuté un policier dans le Bas-Rhin en avril dernier, après un refus d'obtempérer. 

    Cette infraction est, tout comme les attaques au couteau, extrêmement récurrente et semble pourtant punie avec peu de sévérité. 

    Que montre votre étude à ce sujet ? Et quelles sont les conséquences de ce manque de sévérité des juges ?

    P.-M. S. Notre étude permet de mesurer, avec certaines nuances bien sûr, la sévérité de la Justice pour chaque délit contenu dans le Code pénal. 

    En compilant et analysant les chiffres publiés par le casier judiciaire national, on se rend compte que la Justice est, en moyenne, très peu sévère.

    Pour les refus d’obtempérer, par exemple, qui créent un désordre social immense, sans parler des morts et des blessés parmi les forces de l’ordre, la prison ferme n’est prononcée que dans 23,9 % des condamnations (ce qui ne compte même pas les affaires classées sans suite ou celles où les auteurs n’ont pas été retrouvés !). 

    Et encore, au sein de ces 23 % de peines de prison ferme, 84 % sont des peines entièrement aménageables, donc pour lesquelles, la plupart du temps, les condamnés n’entrent même pas en prison.

     Enfin, alors que le Code pénal prévoit une peine de deux ans de prison, la peine moyenne est de sept mois, soit 29 % de la peine maximale proposée par le Code pénal.

     Dans ces conditions, la sanction paraît bien lointaine pour les délinquants en herbe qui auraient presque tort de se priver…

     

    C. d. L. La surpopulation carcérale ne peut expliquer à elle seule le faible taux d'incarcération. Comment comprendre que les délinquants ne soient condamnés qu’à 18,97 % de leur peine encourue et que la prison soit devenue l’exception ?

    P.-M. S. En réalité, depuis 1994, le Code pénal ne propose que des peines maximales, alors que le Code Napoléon proposait jusque-là aussi des peines minimales (en dessous desquelles le juge pouvait descendre, mais en motivant sa décision). 

    Le Code pénal de 1791 donnait des peines fixes pour chaque infraction… 

    Mais depuis le renversement complet de ce principe en 1994, un juge idéologue (il y en a, quoiqu’ils soient minoritaires) a donc tout le champ libre pour prononcer des peines ridiculement basses.

    Il faut dire que ces peines particulièrement basses correspondent également au message qu’envoient les députés depuis de nombreuses années. 

    Ce sont les députés qui ont modifié l’article 132-19 du Code pénal (Christiane Taubira était garde des Sceaux) pour y inscrire que « toute peine d'emprisonnement sans sursis ne peut être prononcée qu'en dernier recours »…

     Ce sont encore les députés qui ont mis en place l’aménagement quasi automatique de toutes les peines de moins d’un an par l’aménagement ab initio (Rachida Dati était garde des Sceaux).

     Plus urgent que la réforme du statut des magistrats, il faut donc que les Français votent pour des candidats et des partis engagés à répondre au besoin populaire de sévérité pénale.

     Nous n’y sommes pas encore.


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    Clémence de Longraye 
     
    Journaliste à BV     https://www.bvoltaire.fr/