mardi 28 octobre 2025

NANTES : UN HOMMAGE PAR DES ÉTUDIANTS À LOLA ATTAQUÉS PAR DES ANTIFAS .......

 


 REVUE DE PRESSE !

 

Nantes : « On s’en fout, de votre Lola », l’hommage de la Cocarde attaqué par des Antifas

Régulièrement, l'antenne nantaise de La Cocarde a affaire à ces groupes violents. Cette fois, l'agression est filmée.
Capture d'écran X - Cocarde étudiante
Capture d'écran X - Cocarde étudiante

« Quelques bougies, quelques cadres, des fleurs, une minute de silence et, pour les plus catholiques d’entre nous, une petite prière. »

  Ainsi devait se dérouler, samedi 25 octobre, le sobre hommage rendu par la Cocarde étudiante à la mémoire de la petite Lola, assassinée en 2022 par une Algérienne sous OQTF. 

À la place, une trentaine d’antifascistes ont pris à partie la douzaine d’étudiants venus déposer leurs bougies au pied de la cathédrale.

 L’une a porté plainte pour vol en réunion et vol avec arme.

« Ils m’ont mise à terre »

Sur les réseaux sociaux, la vidéo qui circule donne un aperçu de la brutalité de la scène. 

Solène, militante de la Cocarde, fait partie des victimes.  

« J’ai vu quatre personnes autour de moi. Deux filles m’ont attaquée en même temps, raconte-t-elle. 

 Ils ont réussi à me mettre à terre, on m’a tiré les cheveux, on m’a frappée au visage.

 J’ai perdu une belle touffe de cheveux. »

 

Un peu en retrait du groupe, son téléphone à la main pour filmer la scène, elle est d’abord prise à partie par plusieurs individus qui cherchent à lui arracher l’appareil. 

 « Sur le coup, je n’ai pas vraiment réagi », confie-t-elle, expliquant avoir tout de même tenté de se défendre. 

Ce n’est qu’en constatant la disparition de son portefeuille qu’elle mesure l’ampleur de l’agression : « Ils ont mon nom, mon adresse, tout.

 C’est là que ça a vrillé, dans ma tête. »

  La jeune femme a déposé plainte dès le soir même pour vol en réunion et vol avec arme, un document que BV a pu consulter.

 

Une attaque organisée

Guillaume, responsable de l’antenne nantaise, se trouvait lui aussi sur place.  

« Ce soir-là, on sortait d’une conférence sur le racisme anti-Blanc dans un lieu privé.

 On pense que les antifas étaient déjà aux aguets », explique-t-il. 

L’hommage à Lola, décidé à la dernière minute, devait être un moment de recueillement simple, et surtout en cohérence avec le verdict de sa meurtrière, prononcé la veille.

 Mais, à proximité de la cathédrale, « on a repéré trois ou quatre très jeunes hommes, sans doute lycéens, qui semblaient nous observer avant de partir chercher du renfort ».

 

Deux minutes plus tard, ils reviennent, accompagnés d’une trentaine d’individus « visiblement préparés à un affrontement, habillés tout en noir, cagoulés, équipés de gazeuses et de torches » 

 En face, une douzaine d’étudiants, « en chemises, en Barbour™, de 18 à 24 ans ». 

 « Ils nous ont poursuivi. Individuellement, on n’a pas le choix que de se défendre », explique Guillaume.

 Lors de l’affrontement qui dure environ cinq minutes, un grand nombre de coups sont échangés. 

Les antifas, eux, sont armés de ces fumigènes qui peuvent provoquer des brûlures au quatrième degré.

Chez les plus jeunes, « il a fallu attendre que la pression redescende, beaucoup étaient choqués ». Mais aucun, dit-il, « ne s’est défilé »

Au contraire, ils affirment être confortés dans leur combat contre cette gauche extrême qui « se regroupe, charge et cherche l’affrontement »

Pour Guillaume, il ne faut pas être dupe, « des gens habillés tout en noir, regroupés, qui se donnent des ordres, qui ont du matériel pour agresser, ils ne sont pas là pour discuter ».

« On s’en fout, de votre Lola »

La phrase, entendue au cours de l’attaque par l’un des militants patriotes, résume, pour Édouard Bina, l’état d’esprit de leurs agresseurs : « Nos martyrs contre leurs martyrs ».

Le président national de la Cocarde étudiante, dénonce (encore) « l’impunité » dont jouit, selon lui, cette extrême gauche violente : « Il est 22 heures. On n’a pas, par magie, une trentaine de gens qui apparaissent armés et cagoulés à cette heure-là s’ils ne se préparaient pas à ça », dit-il.
Cette violence, selon lui, s’accompagne d’une « double censure » : physique, d’une part, « en nous empêchant d’agir », et sociale, d’autre part, « en essayant de nous faire dégager quand nous réussissons à enseigner ou à atteindre certaines positions, comme c’est le cas aujourd’hui avec notre fondateur Pierre Gentillet », rappelle le président de l'association.

 

L’agression aura au moins révélé, selon Édouard Bina, « un grand courage dans l’épreuve », de la part de ses militants qui en sont sortis plus convaincus que jamais de la nécessité de leur engagement.

 

 Picture of Alienor de Pompignan

 


ET AUSSI 


Verdict dans l’affaire Lola : le service minimum des médias

Les médias se sont évertués à annoncer le verdict tout en évitant d’aborder le sujet de fond : celui de l’immigration.
Capture écran France Télévisions
Capture écran France Télévisions

Justice a été rendue.

 Vendredi 24 octobre, Dahbia Benkired a été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible pour le viol et le meurtre de Lola, petit ange blond âgé de 12 ans. 

C’est la fin d’un long calvaire judiciaire pour la famille Daviet dont la vie avait basculé dans l’horreur, le soir du 14 octobre 2022.  

« On croyait à la justice et on l’a eue », a déclaré, après le verdict, la mère de la défunte.

 

Mais si ce drame a ému tout le pays, son dénouement a été ostensiblement expédié dans les journaux télévisés, comme si certains avaient hâte de changer de sujet. 

Le 20 Heures de France 2 a, ainsi, consacré moins de deux minutes à l’annonce du verdict. 

Celui de TF1 n’a guère fait mieux, bouclant l’affaire en moins de trois minutes.

Le même empressement s’est senti, sur les ondes radio. Samedi 25 octobre, le journal de 7h de France Inter a évoqué la mort de Lola et la condamnation de Dahbia en 103 secondes chrono.

 À titre de comparaison, le même jour, à 8h20, la radio publique s’intéressait à une autre affaire, la mort de Zyed et Bouna, ces deux jeunes électrocutés dans un transformateur EDF de Clichy-sous-Bois, en 2005, alors qu’ils tentaient d’échapper à la police. 

Cet anniversaire a bénéficié de... 19 longues minutes de temps d’antenne

La grande diversion

Sur Internet, les médias mainstream n’ont pas pu occulter totalement cette actualité brûlante. Ils se sont donc évertués à évoquer l’affaire en prenant soin d’éviter ses aspects les plus gênants. Le Monde, Le Parisien, France Info, BFM, France Bleu… tous sont parvenus à traiter cet assassinat particulièrement épouvantable sans jamais prononcer les mots « OQTF » ou « Algérienne ».

 Pas une fois ces médias n’ont rappelé la nationalité de la tueuse ni l’impéritie migratoire qui lui a permis de se maintenir sur le territoire et commettre ses crimes.

Pour réussir ce tour de force, les journalistes ont usé d'un subterfuge : ils ont orienté leurs papiers sur un aspect subalterne de l’affaire. 

 

Alors qu’ils auraient pu souligner l’horreur des faits révélés durant le procès, la complicité objective de nos institutions démissionnaires ou la dignité exemplaire de la famille Daviet, tous nos confrères ont choisi, comme un seul homme, de mettre l’accent sur la sévérité inédite de la peine infligée à Dahbia Benkired.  

« Ainsi devient-elle la première femme à être frappée de la peine maximale du droit français, peine qui n’avait été prononcée jusque-là que sept fois, dans des affaires de meurtre ou de terrorisme », semblait s’étonner Le Monde. 

 « C'est du jamais-vu pour une femme en France », a abondé France Info.  

« C'est la première femme condamnée à cette peine maximale », a aussi noté France Bleu.

Cette peine de trente ans de prison n’a pourtant pas de quoi étonner.

 Le président de la cour avait insisté, lors de l’énoncé du verdict, sur « l’extrême cruauté des faits criminels », les « véritables supplices » infligés à Lola. 

Cette sentence est d’ailleurs conforme aux réquisitions énoncées, plus tôt dans la journée de vendredi, par l’avocat général. 

Celui-ci avait raconté dans le détail cette heure et demie durant laquelle la petite fille s'était vu ôter son enfance, sa féminité et jusqu’à son humanité.

 Des actes d'une barbarie presque indicible que le parcours de vie chaotique de Dahbia Benkired ne saurait expliquer.

Il s’est néanmoins trouvé une psychologue, sur RTL, pour expliquer que l’Algérienne sous OQTF a sans doute été « aussi lourdement condamnée parce que c’est une femme ». 

 « On attend des femmes qu’elles soient douces et bienveillantes et quand elles sont destructrices, violeuses, violentes, on est surpris », a expliqué la dénommée Odile Verschoot.

Le tabou reste entier

Toutes ces digressions et diversions médiatiques n’ont évidemment qu’un but : occulter le fond d

e l’affaire suivi au quotidien par Aliénor de Pompignan pour BV.

 

En 2022, déjà, les gardiens du politiquement correct s’étaient ligués contre les rares médias qui avaient voulu rendre compte de l’horreur du meurtre de Lola ou des dysfonctionnements administratifs et migratoires qui l’avaient rendu possible. 

On se souvient des procès en « récupération », du fameux documentaire La Fabrique du mensonge, diffusé sur France 5.

Peu après le drame, Éric Zemmour avait osé qualifier le meurtre de Lola de « francocide ». Il avait été immédiatement vilipendé. 

Trois ans plus tard, la chape de plomb pèse toujours sur l’espace médiatique.

 Picture of Jean Kast

Par Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

 Source et Publications :   https://www.bvoltaire.fr/

 

 

jmlb

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