TRIBUNES LIBRES ET POINTS DE VUE !
Et si on autorisait le racisme, l’antisémitisme, le négationnisme, l’homophobie, la grossophobie…
… Cela s’appellerait tout simplement l’application de l’article 1 de la Constitution américaine, garantissant la liberté d’expression, sans la moindre restriction, si ce n’est l’incitation à la violence, l’incitation à l’émeute, et bien sûr la révélation de secrets mettant en danger les intérêts supérieurs de la Nation.
Bien sûr, la gauche moraliste est vent debout contre Donald Trump (censuré contre la Constitution, lors d’un discours au lendemain du hold-up électoral, et viré des réseaux sociaux) et Elon Musk, qui se font les apologistes de cette valeur occidentale que le vice-président Vance rappelait aux Européens lors de son discours historique de Munich, en février 2025.
Ainsi, aux États-Unis, un Robert Faurisson ou un Vincent Reynouard n’auraient pas été persécutés pour nier la réalité des chambres à gaz, ce qui ne veut pas dire qu’ils n’auraient pas été férocement attaqués pour le contenu de leurs propos.
Ainsi, aux États-Unis, Éric Zemmour, Marine Le Pen, Renaud Camus, Erik Tegnér, Christine Tasin, Pierre Cassen et tant d’autres ne passeraient pas leur vie devant les tribunaux parce qu’ils expliquent que l’islam est incompatible avec les valeurs occidentales, et qu’un assassin islamiste n’est qu’un bon musulman qui respecte les textes sacrés – pour lui – du coran.
Ainsi, aux États-Unis, Éric Zemmour pourrait expliquer que Pétain a sauvé la plupart des Juifs français en sacrifiant les Juifs étrangers, et Erik Tegnér, victime d’une nouvelle cabale de SOS Racisme, pourrait dire sans le moindre danger que celle que nous appelons la Perruche, « Yaël Braun-Pivet est la finition du macronisme.
C’est le mariage d’Alain Minc, l’argent roi, et de Jacques Attali, l’homme nomade », sans se prendre un procès de la part de ceux qui soutiennent les djihadistes du Hamas, pour avoir véhiculé tous les poncifs supposés de l’antisémitisme.
Ainsi, aux États-Unis, Marion Maréchal pourrait expliquer que le mariage, c’est entre un homme et une femme, que l’adoption d’un enfant doit être réservée aux couples hétérosexuels, qu’il est hors de question de marchandiser le corps des mères et l’achat d’enfants, que la normalité c’est l’hétérosexualité, et que, tout en respectant le droit à une sexualité différente, la promotion en est interdite.
Ainsi, aux États-Unis, on pourrait se permettre de faire des commentaire désobligeants sur certaines personnes antipathiques, par ailleurs un peu enveloppées, sans se retrouver au tribunal pour incitation à la discrimination.
Bref, avec cet article 1 de la Constitution américaine, on serait débarrassé des lois Pleven, Gayssot, Taubira, et surtout de tous les parasites comme la LDH, la Licra, SOS Racisme, le Mrap, la Dilcrah, SOS Homophobie, Mousse et de tous les délateurs racketteurs qui pourrissent la vie des esprits libres, en France, grâce aux subventions monstrueuses qui leur sont versées, et au droit exorbitant qui leur est accordé de pouvoir déposer plainte contre des personnes de qui ils n’ont subi aucun préjudice.
On retrouverait la vraie France, ce pays que le monde entier nous enviait, parce qu’il incarnait le combat pour les libertés.
No Kings : un mouvement marginal de gauche face à la majorité pro-Trump
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La seconde manifestation No Kings, qui s’est tenue le 18 octobre 2025, a finalement attiré bien moins de monde qu’annoncé dans les médias.
Déjà lors de la première manifestation du 14
juin, alors que j’étais au centre-ville de Los Angeles pour le match de
la Coupe du Monde des Clubs (Paris contre l’Atletico le 15 juin),
j’avais constaté qu’il n’y avait qu’environ 700 à 800 personnes.
Cette nouvelle manifestation est également financée en partie par George Soros et par une héritière Walton (la famille fondatrice de Walmart).
On retrouve parmi les organisations présentes le Communist Party of the USA, les Democratic Socialists, et d’autres groupes proches du Parti démocrate.
Ce sont des mouvements hétéroclites, pro-LGBT,
pro-palestiniens, pro-ukrainiens, anti-capitalistes et aussi
pro-immigration, c’est-à-dire anti-ICE (la police de l’immigration
fédérale).
Pour remettre les choses en perspective, lors de l’élection de 2024, Donald Trump a remporté 312 grands électeurs, a obtenu environ 49,8 % des voix et a gagné les 7 swing states clés, notamment l’Arizona, la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Caroline du Nord, la Pennsylvanie et le Wisconsin.
Cela montre bien que ces manifestations ne reflètent pas
une opposition majoritaire.
Par Arnaud T. Mylle -
Délégué du Parti de la France aux États-Unis
ET AUSSI
Tous les présidents qui se sont succédé à l’Élysée après Pompidou devraient être châtiés
Vu l’état déplorable actuel de la France, tous les présidents qui se sont succédé à l’Élysée après Pompidou devraient être traduits en justice et incarcérés.
Le mal fait à la France a été commis par un gang de six présidents.
C’est une gang-rène.
Il s’agit des trois défunts (Giscard, Mitterrand et Chirac) et des trois vivants (Sarko, Hollande et Macron).
Trois de chaque côté. Égalité parfaite.
Sur les trois toujours vivants, deux ont exercé pendant 5 ans et ont été éjectés.
Le troisième est à l’Élysée depuis huit ans et demi.
Il s’accroche au pouvoir comme une moule à son rocher.
Les présidents qui ont eu deux mandats doivent être doublement sanctionnés.
Si Sarko a écopé de 5 ans, le Macron doit croupir durant 10 ans minimum.
Il sera libéré pendant quelques heures pour les funérailles de sa Brigitte.
La Brigitte pourra librement succomber de chagrin à n’importe quel moment.
La Justice ne lui imposera pas de date précise. Quant à son dit époux, il restera en prison même s’il meurt.
Les présidents défunts seront incarcérés dans leurs cercueils dans des cellules séparées.
Chacune avec deux policiers pour assurer leur sécurité.
Il doit y avoir un traitement équitable pour tous, morts ou vivants.
La justice ne peut discriminer ou porter atteinte à la vie des défunts.
Les présidents criminels défunts seront jugés à titre posthume pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’État, braderie de la souveraineté de la France, dénigrement de l’identité française, mépris du peuple, complicité dans l’invasion migratoire, encouragement de l’islamisation de la France, etc.
Leurs méfaits sont innombrables.
Ils ne seront cependant pas jugés pour association de malfaiteurs.
C’est une broutille.
Tous les présidents français ont eu leurs associations de malfaiteurs.
Cela fait partie des institutions de la République.
On les appelle cabinets, gouvernements, Parlement, Conseil d’État, Conseil constitutionnel, etc.
Aucun président ne peut se passer de malfrats et de malfaiteurs pour régner à son aise ou prolonger son règne à sa guise.
Tous les présidents, vivants et défunts, seront condamnés avec exécution provisoire.
En prison, ils auront droit à des cellules isolées, avec douche, toilettes, télé, téléphone fixe, bibliothèque, salle de sports…
Les défunts n’auront pas droit à ces avantages à moins qu’ils ne prouvent qu’ils savent encore se servir d’un téléphone et qu’ils peuvent lire.
Comme les vivants, ils auront droit à des visites trois fois par semaine.
Les entretiens avec les défunts se passeront sous la surveillance d’un agent de police.
Ces défunts, par ce qu’ils ont fait, seront considérés comme des détenus dangereux.
Leurs cercueils sortiront, sous surveillance, pour des promenades d’une heure deux fois par jour.
Les présidents criminels seront autorisés à rester dans l’Histoire de France, mais seulement sous le titre de traître et de crapule.
À partir de mai 2027, fin présumée du supplice Macronien enduré par le peuple français, il serait souhaitable que tout président élu puisse passer au moins un mois en prison, comme il est d’usage pour le bizutage dans les grandes écoles, avant de s’installer à l’Élysée.
Ceci n’est pas pour dissuader les braves gens de présenter leur candidature à la présidentielle.
Le problème est que, question de braves gens, la France est en manque.
Par Messin’Issa
ET AUSSI
En tordant, tuant, la réalité les partis nihilistes n’ont en plus rien de “laïc”
Une grande tarte à la crème : il suffirait de se draper d’oripeaux “républicains” pour se prétendre “laïc” alors que dans les faits l’on défend des politiques nihilistes et donc antirépublicaines au sens de ne pas préserver cet être ensemble qu’est la citoyenneté, ce fait d’appartenir ou politeia qui veut dire République pour les Anciens (Platon, Bodin…).
Et comment préserve-t-on cet être ensemble ?
Par la laïcité au sens d’évoluer dans la tolérance et l’élévation, libre, de la pensée et de l’action.
Certainement pas en empêchant un film sur Jésus ce ” Sacré Cœur” d’être visionné dans un établissement de la politeia marseillaise (alors que le maire rompt le jeûne avec des adeptes du djihad “modéré”) ou en prônant des doctrines visant à détruire les frontières externes rendant impossibles toute expulsion et en sapant les distinctions internes comme les sexes et la distinction enfant/adulte.
Même en économie-politique il n’y a rien de “laïc” à imposer des partis pris sur la manière de gérer la division du travail, les acquis générationnels, la solidarité ; idem en santé, sur le climat, paternalisme (jusqu’à compter le nombre de branches fauchées par telle tempête et communiquer dessus) le tout effectué au nom cette fois de “la” Science ; mais elle aussi se trouve galvaudée autant que la laïcité depuis que la controverse y est interdite, d’ailleurs dans les deux cas ; et cela se passe dans maints endroits et en particulier dans les services dits “publics” avec les nouveaux miliciens qui rôdent (voyant dans un vrai laïc un facho alors qu’un palestiniste sera considéré comme un libérateur)…
Pourtant ceux qui n’ont de cesse de se pâmer et de bramer au “nom” du “Service Public” devraient pourtant montrer l’exemple en ne reproduisant pas la politique de l’Index que l’on croyait révolue, alors que celui-ci chassé par la porte revient par la fenêtre, volant quelques “joyaux de la couronne” en passant…
Par Lucien Samir Oulahbib
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
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