mardi 1 juillet 2025

LES PROFS REFUSENT D' ADMETTRE QU'ILS SONT LES CIBLES POUR LE DJIHAD.........

 

 


TRIBUNE LIBRE !

Les profs syndiqués refusent d’admettre qu’ils sont des cibles pour le djihad

On les menace. On les tabasse. On les assassine. 

 

Mais interdiction de nommer le « on ». 

 

La corporation réagit comme si rien n’avait changé depuis cinquante ans. 

Leurs problèmes tiennent aux classes surchargées, aux programmes trop lourds, aux horaires inadaptés. 

Rien d’autre ? 

Ah si, ils se plaignent de ne pas être « accompagnés ».

 Ça c’est nouveau. Reflet d’une société d’assistés où chacun aspire à être materné.

La cécité idéologique à ce point est une forme de maladie mentale.

 Une variété de dissonance cognitive. 

Quand le réel et l’idée qu’on s’en fait se percutent, c’est la grande débandade des neurones. 

On avance des causes illusoires pour expliquer des effets désastreux. 

Puisque la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix) les transporte de bonheur, c’est une chance pour la France de s’imbiber de charia. 

Et le statut de dhimmi doit être accepté avec gratitude.

 Les égratignures au cou ne sont que des faits divers, sur lesquels seuls d’affreux fachos peuvent gloser.

 

La majorité des profs mérite ce qu’il leur arrive

Il fut un temps lointain où j’estimais les enseignants. 

Leur culture m’impressionnait.

 Sans vouloir leur ressembler, parce que trouvais leur job trop mal payé. 

 

Il faut dire que dans les années soixante, en période de plein emploi, il fallait être sacrément motivé pour ne pas écouter les sirènes du privé.

 Et pas seulement chez les scientifiques. 

Même les littéraires pouvaient se caser dans la hiérarchie des grandes entreprises.

 

Aujourd’hui, ils sont déconsidérés et déclassés. Ignorés ou humiliés. 

Mais à qui la faute ? Sinon à leurs idées de gauche dans lesquelles ils se sont englués. 

Par leur refus idéologique de voir que la société s’était décomposée. 

Quand on en est à sa cinquantième marche blanche, avec fleurs, bougies et nounours, et qu’on fustige ceux qui proposent des solutions musclées, c’est sans espoir.

 

Les islamistes sont moins coupables que les Français qui ont accepté de se soumettre. 

Un grand nombre de coraniques sont des prédateurs, des conquérants. 

Leur religion l’exige.

 Mais des gens instruits, connaissant l’histoire des civilisations, ont refusé d’intégrer la dialectique hégélienne du maître et de l’esclave dans leur façon de penser. 

Donc de réagir.

 

Selon Hegel, l’être humain tend à s’imposer aux autres. Dans son groupe. Puis chez les voisins. 

L’éthique n’a rien à y voir.

 Cela fait partie de la lutte pour la vie, condition primordiale de l’évolution. 

Une constante observée chez toutes les espèces animales vivant en meutes.

Chez les humains, dès les premiers moments de l’histoire, deux figures complémentaires apparurent : le maître et l’esclave.

 Le dominant et le dominé. 

Le premier s’est imposé par la force ou par la ruse. 

Le second n’avait d’autre choix que de s’y opposer dans une lutte à mort. Sinon se soumettre. 

La majorité des profs ont préféré ramper. 

Parce que leur éducation et leur tempérament les portaient à temporiser, à négocier, à refuser l’affrontement direct.

Nier cette réalité polémologique, quand on a capitulé sans se battre, est une échappatoire pour ne pas reconnaître sa propre lâcheté. 

Le dominé renonce à exister par peur de mourir. 

Le pire, c’est quand une forme de concurrence apparaît chez les dominés.

 Avec des trahisons, petites et grandes, pour complaire aux maîtres.

 Dans notre monde, cela a pris la forme de la repentance post-coloniale, d’un antiracisme à sens unique, et d’une irénisme aussi niais qu’irréaliste.

 

La lettre ouverte exprime une nouvelle variété d’impuissance. 

De résignation. Parce qu’on sait que ça n’aboutira à rien.

 Malgré l’audace sans lendemain consistant à interpeller les hiérarques. 

Sans désigner les responsables d’une situation qui a dégénéré et pourri au fil des ans.

On a admis des symboles vestimentaires islamiques contraires à la loi… 

Puis on a accepté d’adapter les menus des cantines scolaires aux prescriptions alimentaires des mahométans, contraires aux coutumes culinaires françaises… 

Puis on a toléré la fermeture des piscines aux filles, au mépris de nos traditions… 

Et on a trouvé normales les absences et les somnolences en période de ramadan, pour ne froisser personne…

 

La suite logique de ces soumissions était d’accepter que des élèves venus d’ailleurs, porteur d’un prosélytisme conquérant, menacent les profs avant que leurs parents ne viennent les tabasser. 

Car c’est un blasphème d’enseigner la dérive des continents, l’évolutionnisme, le big bang, et de nier que l’islam est la mère de toutes les civilisations. 

Les couteaux des fanatiques de tous âges sont là pour faire taire les incroyants.

Le 14 juin dernier, une enseignante du collège Lucie Aubrac, à Argenteuil, a reçu des menaces de mort. 

Son nom était associé à ceux de Samuel Paty et de Dominique Bernard

 Ça touche plus les profs gauchards que le massacre de Charlie et le carnage du Bataclan. 

Corporatisme oblige. 

Mais ils ne résilient pas leurs abonnements à la RATP.

Deux jours après, un collègue de la cible a rédigé une lettre publiée dans les colonnes de « Marianne ». 

Il y dénonçait l’abandon des professeurs, acculés (j’aurais employé un autre mot) dans un système à la dérive, où l’État a déserté et laissé tomber ses plus modestes serviteurs.

Quatre jours plus tard, des enseignants du collège ont rédigé une tribune dans Le « Figaro » à l’attention d’Élisabeth Borgne. 

Aveuglée par ses obsessions sexuelles… 

En guise de réponse, la ministresse de l’inéducation anti-nationale s’est fendue d’un tweet qui n’engage à rien. 

Et puis, silence radio.  Nada. 

Paralysés dans la pleurnicherie, les profs ravalent leur morve tandis que des coraniques étalent leur morgue.

 

Les délits d’opinion et d’intention instaurés pour complaire aux bailleurs de fonds des monarchies pétrolières n’interdisent pas (pas encore) de faire des analyses socio-politiques, à condition que le propos reste modéré, sans donner de noms.

Or que lit-on dans ces lettres ouvertes

Rien, pas un mot sur la sujétion à une culture étrangère conquérante. Pas un murmure de protestation contre les zélites qui ont vendu la France aux émirs en 1975, en échange de pétrole et de pétrodollars. 

Les profs syndiqués ressassent leurs vieilles lunes obsolètes.

 En les enrobant de leurs états d’âme. 

Pas pour se battre. Mais pour se complaire dans une pleurnicherie gauchisante qui dénonce, en filigrane, l’extrême drouâte comme responsable de tous leurs maux.

 

À ce stade-là de décomposition de la pensée, on se dit que le QI des profs s’est aligné sur la courbe descendante du niveau de leurs élèves. 

 Quand un forcené menace de t’égorger, il faut l’emmener en classe promenade voir les tourterelles, ou lui faire découvrir la richesse du théâtre de Molière.

 Ils te dégoisent ça d’un air inspiré, et ont l’air d’y croire vraiment.

Principale revendication : ces profs lobotomisés se sentent abandonnés.

 Comme des enfants qui ont peur dans l’obscurité. 

Ils se disent abandonnés parce qu’on leur a retiré la possibilité de faire leur métier dans de bonnes conditions avec des classes surchargées et avec des missions supplémentaires d’instruction civique, à défaut de maintien de l’ordre. 

Ils expriment leur détresse et je les crois sincères. 

Mais encore une fois, à qui la faute ?

Ils se disent maltraités parce qu’on les fait culpabiliser. 

Le chef d’établissement, les inspecteurs, le rectorat les prennent à part pour les inviter à relativiser.

 Procrastiner. 

Façon polie de dire « fermez vos gueules ! » 

Toutefois, s’ils ont trop la pétoche d’affronter des jeunes barbares armés de bou-saadas, l’administration dans son immense bonté leur accorde un droit de retrait. 

Quelques jours. Le temps de se remettre de leurs émotions. 

Sinon, direction le psy. 

Pour des grandes vacances médicalisées.

Ceux qui ont eu la chance de se ramasser une fatwa ont droit à des années de congés payés avant de reprendre du service au bureau des réclamations dans quelque sous-préfecture rurale où on les prie de se faire oublier.

 

Cerise sur le gâteau de leur immense jobardise, les délégués syndicaux des profs reprennent l’antienne de la culpabilité de la France.

 Tous ces « incidents » que Macronescu appelle « faits divers », c’est la faute des Français qui ont mal accueilli, mal logé, mal considéré ces déplacés qui ne demandaient qu’à exprimer leur amour pour notre beau pays.

Par Christian Navis

Source : https://climatorealist.blogspot.com/

 


 

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