mardi 17 juin 2025

NE SOIT PAS IGNORANT ! LA VÉRITÉ EST DANS LE CORAN ???

 



TRIBUNES LIBRES !

Derrière les guignols sanglants de Téhéran, le théâtre d’ombres d’Israël

En Iran, c’est la panique à bord, les mollahs commencent à craindre pour leur peau. 

Pas seulement des frappes israéliennes. 

Mais de la colère de la population. 

Trop longtemps contenue par la terreur et des assassinats pour des broutilles. 

Comme une tenue vestimentaire jugée incorrecte ou une musique censée offenser le pédo-prophète.

 

Les ayatollahs qui se croyaient invulnérables ont commis une erreur grossière : sous-estimer le rejet de leur peuple

Soumis à des sanctions internationales sévères, les Iraniens manquent de l’essentiel

 Sauf s’ils appartiennent à la caste dominante des religieux et de l’armée.

 Ceux-là ne manquent de rien et leurs chefs vivent dans l’opulence. 

Une fois qu’ils se sont servis, ils mettent tous les moyens dont ils disposent au profit du djihad pour exporter la révolution islamique.

 

Ce régime dictatorial et corrompu qui a muselé toute opposition est schizophrène. 

Complètement coupé des réalités géopolitiques et militaires. Imbibé de son discours messianique et soûlé de ses imprécations, il défie les USA après Israël, et menace le monde entier, sans réaliser que le rapport de forces lui est d’autant plus défavorable qu’il est miné de l’intérieur.

Ce climat délétère, sur fond de pénuries et de révoltes, fut une aubaine pour le Mossad. 

Des Juifs iraniens ayant échappé de justesse à la pendaison ou au lynchage ont trouvé refuge en Israël. 

Ils parlent couramment le farsi, et connaissent les mœurs de leurs ennemis, y compris leurs simagrées coraniques. 

Ces rescapés sont revenus sous couverture pour établir des contacts avec les opposants les plus déterminés afin de construire des réseaux dormants.

Le vols de documents secrets, les éliminations ciblées de scientifiques et de militaires de haut rang, les destructions de sites sensibles, les cyberattaques qui ont ralenti le programme nucléaire traduisaient le réveil de ces réseaux discrets, noyés dans une population hostile au régime.

 Où des militaires commencent à se rebiffer à leur tour.

L’armée n’est ni monolithique ni incorruptible. 

Des officiers rétrogradés pour manque d’assiduité à la mosquée, et d’autres dont les femmes et les filles ont été maltraitées par les pasdaran sont déjà passés dans une opposition active. 

Voici un peu plus d’un an, le président Ibrahim Raïssi et sa suite ont appris à leurs dépends combien les hélicos sont fragiles.

Enfin il y a deux bombes à retardement, les Kurdes à l’Ouest, et les Baloutches au Sud-Est, deux ethnies sunnites qui n’ont jamais renoncé à leur autonomie et qu’un lourd contentieux oppose à Téhéran. 

Une reprise des combats affaiblirait d’autant les forces iraniennes.

 

Au cours des deux dernières années, plus de 20 000 Iraniens ont été emprisonnés après avoir manifesté de manière pacifique.  

Et un Iranien a été pendu toutes les cinq heures !

Malgré cette répression féroce, les jeunes, qui constituent 60 % de la population, sont déterminés à rejeter cette gérontocratie cléricale qui leur impose des règles de vie moyenâgeuses. 

Une enquête du ministère de la Culture et de l’Orientation islamique qui a fuité en 2024 déplorait un déclin significatif de l’adhésion de la population aux valeurs religieuses. 

De quoi rendre les barbus encore plus enragés, comme s’il s’agissait d’apostasie ou d’athéisme, alors que leurs concitoyens, plus déistes qu’agnostiques, aspirent à la liberté de conscience et à une pratique moins rigide de la religion. 

Depuis le 27 septembre 2024, au péril de leur vie, des opposants arrachent et déchirent les affiches à la gloire de Hassan Nasrallah, érigé en martyr par le Guide suprême. 

Et lorsque l’Iran a lancé le 1er octobre 200 missiles sur des civils israéliens, des opposants à la dictature se sont désolidarisés du régime criminel et corrompu des ayatollahs, en le criant très fort dans la rue, et auprès des reporters étrangers.

Aujourd’hui, le verrouillage de l’info est total. 

« À partir de maintenant, plus rien ne sera publié, à l’exception des éloges du régime » a déclaré Issa Zarepour, le Thierry Breton de Téhéran. 

Cette mesure s’applique à tous les médias internationaux qui ont des correspondants sur place. 

Rapporter ce qu’ils voient ou entendent sera considéré comme de l’espionnage en faveur d’Israël, et passible de la peine de mort. 

Comme si le Mossad avait besoin de ces sources journalistiques pour être informé des moindres faits et gestes de ses ennemis.

 

Malgré le poids de la désinformation et de la répression, une opposition organisée attend que le régime soit assez affaibli pour le renverser. 

Comme un fruit pourri tombe de l’arbre.

Depuis les frappes déclenchées par Israël le 13 juin, des dépêches diplomatiques cryptées auxquelles les mollahs ne peuvent s’opposer, sauf à rompre les relations avec toutes les missions consulaires, concordent pour décrire un chaos politique qui ne cesse de s’accroître.

Off the record, un partie du personnel diplomatique, y compris français encouragé par le dernier revirement de Macronescu, se félicite que Israël « fasse le sale boulot pour tout le monde ».

 À sa manière, Israël se positionne en défenseur du monde libre et ouvre la voie à la libération du peuple iranien, ainsi qu’à une perspective de paix dans la région lorsque les nuisibles auront été éliminés.

 

Après les proxys du Hamas, du Hezbollah et des Houthis du Yémen, c’est au tour du donneur d’ordres iranien de payer le prix fort pour le 7 octobre 2023.

 Et accessoirement, pour les entraves à la circulation maritime en mer Rouge et pour les attentats en Europe.

 

Le feu couvait sous la cendre depuis longtemps. 

De temps à autre, une braise rougeoyait lors de manifestations vite dispersées. 

Mais depuis deux ans, les choses ont changé. 

Les mouvements de protestation prennent une ampleur nationale.

Dans les rues de Téhéran, Chiraz, Yazd et Ispahan, grandes villes où circulent des étrangers, témoins involontaires, des milliers de femmes défient le régime. Malgré les violences constantes des gardiens de la révolution. 

Mais se rendre visibles est pour ces femmes une façon d’exister et de revendiquer leur liberté en tant qu’êtres humains.

Sortir dévoilées n’est pas un épiphénomène. 

N’en déplaise aux pseudo-experts de nos télés francarabiennes. 

C’est une façon de rappeler les tortures et l’assassinat de Mahsa Jîna Amini, le 16 septembre 2022 à Téhéran dans un local de la police religieuse. 

 Un événement qui, loin de terroriser ses sœurs, leur a donné le courage de s’exprimer à leur tour. 

La force du désespoir l’emporte sur la peur quand on n’a plus rien à perdre.

En 2023, le mouvement « Femmes, Vie, Liberté » kurde au départ, s’est développé en Iran en dépit des périls. 

Prison pour celles qui ont une famille assez riche pour soudoyer les nervis. 

Pour les autres, viols collectifs, coups très durs jusqu’à les défigurer et leur briser les os, féminicides qualifiés de « disparitions volontaires ».

Dans les familles, cela suscite des affrontements entre les anciens, lobotomisés par la religion et résignés par fatalisme oriental, et les plus jeunes qui aspirent à vivre comme en Occident. 

Mais le mouvement n’est pas « féministe » au sens qu’en donnent nos Marie-Chantal gauche caviar.

Des hommes aussi prennent parti contre le tchador et l’accoutrement médiéval que les religieux veulent continuer à imposer à leurs compagnes… 

À comparer avec l’attitude lâche et méprisable de nos zélites qui parlent de « foulard » et affirment : « On ne peut rien faire, c’est dans leur culture ».

 

Bien évidemment en Iran, ce n’est pas une affaire de mode. 

Attaquer les symboles de la coercition est une remise en question de toute la dictature islamique. 

Par des gens qui veulent vivre autrement.

Dans l’espace public, tandis que des femmes refusent le voile ou le portent a minima, des jeunes hommes tatoués se promènent vêtus de débardeurs et de shorts, ce qui est formellement interdit. 

Dans les appartements, on boit de l’alcool, on écoute de l’électro, du rap, du rock et du métal, alors que ces musiques sont passibles de la peine de mort.

 Seul le chant des muezzin est doux aux oreilles du chamelier pédophile de La Mecque.

Depuis août 2024, des grèves dures ont été menées par des infirmières qui ne veulent plus porter le voile, des policiers qui refusent de sanctionner les infractions vestimentaires et capillaires, et des ouvriers qui n’acceptent plus de bosser gratuitement pour des religieux qui violent leurs filles.

 Une convergence des luttes dans un contexte pré-insurrectionnel.

Reste à savoir si les Occidentaux oseront aller jusqu’au bout en soutenant Israël, puisque les dirigeants arabes ne sont guère motivés à aider les Perses, 1200 ans de bisbilles, ça laisse de traces… 

Comment les Iraniens pourront-ils se débarrasser des ayatollahs ? 

Dans une confusion généralisée qui peut durer jusqu’à l’effondrement ?

 Ou l’armée prendra-t-elle le parti du peuple pour chapeauter un État laïc ?

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 


 

ET AUSSI

 

Le coran n’est pas plus sacré que Mein Kampf

Les musulmans disent que le Coran n’est pas violent et qu’il faut replacer les versets qui appellent à la violence dans leur contexte historique, ce qui laisse clairement entendre qu’il n’est pas intemporel, immuable et valable en tout lieu et en tout temps.

En se prévalant du principe de la temporalité et de la contextualité circonstancielle des versets coraniques pour balayer les accusations de violence consubstantielle au Coran, soit ils sont de bonne foi et commettent ainsi sans s’en rendre compte un véritable sacrilège, un blasphème punissable de mort comme le réformiste soudanais Mohamed Mahmoud Taha, pendu en 1985, soit ils pratiquent la taqîya façon Tariq Ramadan, islamologue, un subterfuge pernicieux pour induire leurs interlocuteurs en erreur en brandissant à chaque fois que c’est nécessaire des versets qui traduiraient plutôt la stratégie de la non-violence simulée à adopter tant que les rapports de force ne sont pas à leur avantage.

C’est faire croire et laisser croire jusqu’au jour où ils pourraient mener l’offensive générale au moment où ils sentent que toutes les hostilités et défiances à leur égard se sont estompées.

C’est un faux-semblant pour endormir la vigilance de leurs détracteurs, voire les retourner pour en faire des alliés et des avocats inconditionnels à leur cause.

L’islam est contre les excès, il est respectueux de la vie humaine, il laisse toute la liberté aux hommes de vivre leur foi, quelle qu’elle soit, en toute sécurité, il autorise la liberté de conscience, c’est dans le Coran clament-ils, mais qui sont autant d’affirmations gratuites. 

Ils se gardent de préciser que leur prophète était aussi bien un guide « spirituel », un chef politique et un chef de guerre, un chef de bande qui n’hésitait pas de recourir à la force, au pillage, aux meurtres de ses opposants, au massacre des juifs, aux crimes de guerre, aux viols des femmes captives et qui pratiquait la traite des êtres humains, un incestueux, un pédophile, un sans foi ni loi, intolérant à la frustration, un mythomane, un ingrat.

Comment un homme qui serait soi-disant inspiré par un Dieu de paix pouvait-il se comporter de manière aussi criminelle que monstrueuse et proférer lui-même des paroles abjectes et immondes qui sont de surcroît une sorte d’explication de textes des sourates prétendument révélées ?

La logique d’un texte ne provient-elle pas justement de la cohérence de sa problématique ?

 Il ne peut y avoir deux problématiques qui s’opposent entre elles et qui se veulent chacune d’entre elles un code légal. 

L’une qui pose les jalons pour un monde pacifié et confraternel et dessine aux musulmans l’architecture d’une voie pour la paix et l’ouverture sur le monde dans le respect du droit à la différence, et une autre absolument antinomique passionnelle et irraisonnée qui exprime une volonté destructrice et sanguinaire.

Qui pourrait croire que le Coran est une ode de paix alors que l’épée est symbole de l’islam et pourquoi appelle-t-il aussi à l’anéantissement du non-musulman s’il refuse de se soumettre à l’islam, et sa mise à l’écart du groupe dominant en lui infligeant un statut de sous-homme moyennant une captation, un racket institutionnalisé.

Il n’y a pas lieu de se perdre dans les méandres obscurs doctrinaires musulmans et le débat théologique en remettant en cause l’intemporalité absolue de la parole d’Allah.

 Le Coran est la parole sacrée d’Allah, comme ils le disent, il ne peut être sujet au changement, réformable, interprétable, évolutif et adapté à l’époque actuelle. 

Seul son supposé auteur est en mesure de le faire et ne peut donc épouser les exigences de son temps.

 Il fige les hommes dans les temps anciens de sa pseudo-révélation.

Dans ce cas-là, ces versets ne sont plus de mise et devraient être déclarés obsolètes et nuls d’effets, mais sous prétexte qu’ils sont la parole d’Allah, seul leur prétendu auteur est en droit de les abroger. 

Un véritable fourre-tout, un ramassis d’emprunts aux textes religieux anciens. 

Un plagiat hors pair qui n’est pas plus divin que Mein Kampf.

 Un ramassis de mensonges et d’exacerbation de la haine de l’autre et de légitimation des turpitudes de Mahomet.

Il faut être atteint de cécité mentale pour ne pas se rendre compte du caractère schizophrénique, tautologique et contradictoire des textes coraniques qui lui donnent les allures d’un souk, où l’on pouvait acheter des êtres humains jusqu’à une époque récente.

 

Il aurait pu être l’œuvre de Satan tellement il porte en lui tous les germes de destruction de la vie humaine.

 Source et Publications:  https://ripostelaique.com




 

 

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