lundi 30 juin 2025

IL Y A QUE LA VÉRITÉ QUI BLESSE ! UN MÉTIER DE CHIEN !!!


 


 TRIBUNE LIBRE !

Un métier de chien



     

   

« Il était une fois un imbécile, qui avait un chien nommé Perdreau. 

Ce chien était comme tous les chiens, c’est-à-dire qu’il ne jugeait pas son maître et lui était raisonnablement attaché. 

 Il lui rendait les services que rend un chien. 

Il grognait quand il voyait un individu à l’allure inquiétante.

 Il aboyait quand quelqu’un sonnait à la porte. 

Un jour, deux types à moto descendirent de leur engin et s’avancèrent d’un air menaçant vers l’imbécile qui les regardait venir avec un sourire imbécile 

Il croyait qu’ils venaient lui demander du feu.

En fait, ils voulaient lui prendre son portefeuille. Le chien ne s’y trompa pas,

Il leur sauta dessus en hurlant et les mit en fuite. 

L’imbécile criait « Perdreau. viens ici ! 

Messieurs, pardonnez lui, il n’est pas méchant. Ah, la sale bête ! 

Tu vas voir la tournée que tu vas prendre Les deux voyous sautèrent sur leur moto et partirent très loin.

 

L’imbécile corrigea le chien qui n’y compris rien, mais n’en continua pas moins à aimer son maître, car les chiens sont fatalistes.  

Ils savent que les hommes ont des réactions illogiques.

Il y eut plusieurs incidents de ce genre. 

Chaque fois que le chien croyait faire son métier de chien, l’imbécile lui tapait dessus et se confondait en excuses auprès des chenapans, voleurs, assassins et bandits de tout poil que mordait le malheureux animal. 

 Il disait que celui-ci était idiot, sanguinaire, et qu’il n’arrêtait pas de commettre des bavures.

 Il est vrai, hélas, que le chien, quelques fois, mordait d’innocents passants qu’il prenait pour des malfaiteurs. 

 Le mot de bavure était bien trouvé, s’appliquant à un chien.  L’imbécile s’en gargarisait.

On a beau être un chien, et plein de bonne volonté, on finit par se lasser de recevoir des coups.

 

Le chien Perdreau se lassa. Cela se sut assez vite dans le quartier. 

 L’imbécile habitait un pavillon.  

Une nuit un cambrioleur escalada le mur.

 Le chien entrouvrit un oeil, dans sa niche, et le referma incontinent. 

Le cambrioleur cambriola en toute tranquillité.

 L’imbécile s’arracha les cheveux et corrigea le chien, lequel reçut philosophiquement sa correction, n’étant pas à une inconséquence près de son patron.

Une autre nuit, ce fut un autre cambrioleur qui vînt. 

Ce cambrioleur-là avait un surin, qu’il plantât dans la bedaine de l’imbécile, qui en mourût. 

 

En partant, l’assassin caressa le chien en disant: « Bon toutou! ».

 Le chien pensa « Voilà la première parole aimable que j’aie entendue depuis longtemps »

 

Cette petite histoire est celle des Français et de leur police, ils battent leur chien depuis trente ans, et ils s’étonnent, aujourd’hui, que le chien ait des états d’âme

Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager !

 Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE 

 

 


 

LA DROITE FRANÇAISE EST-ELLE LA PLUS BÊTE DU MONDE ? LA RÉPONSE EST DANS LA QUESTION

 

[CHRONIQUE]

 La droite française est-elle la plus bête du monde ?

De façon très volontaire, la droite conformiste s’est condamnée à la défaite...
Capture écran Assemblée nationale
Capture écran Assemblée nationale

Pour Guy Mollet, patron de la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière, ancêtre du Parti socialiste), cela ne faisait aucun doute, comme il l’avait affirmé avec force à Béthune, en 1957. 

Les choses ont-elles vraiment changé ?

 

Stupidité confondante

Il faut lire le livre d’Éric Ciotti Je ne regrette rien (Fayard, mai 2025).

 Généralement les livres commis par les hommes politiques sont inintéressants.

 Trop hagiographiques ou trop anecdotiques. Celui-ci fait exception. 

C’est un témoignage à la fois éclairant et désespérant sur l’ardeur avec laquelle la droite conformiste s’est enfermée dans le piège tendu par la gauche, et notamment François Mitterrand, avec le Front national et la ritournelle de l’antiracisme.

 L’habileté tactique et cynique de la gauche peut être dénoncée. 

Après tout, elle a joué son jeu politicien, au détriment de la France certes. 

En revanche, la stupidité de la droite demeure confondante. 

Et le pire est qu’elle ait duré jusqu’à nos jours, comme l’a démontré son attitude lors des dernières élections législatives, alors même que le Rassemblement national est bien éloigné de ce que put être le Front national dans certains excès de son président-fondateur.

 

De façon très volontaire, la droite conformiste s’est condamnée à la défaite, tout simplement parce qu’elle voulait se conformer à la doxa de la gauche, comme fascinée par une idéologie néo-marxiste qui a partout échoué, tant sur le plan humain qu’économique ou culturel. 

Il y a chez la droite embourgeoisée quelque chose qui tient d’une invraisemblable paresse intellectuelle qui la fait invariablement tomber dans le mirage aux alouettes d’une technostructure mondialisée, à la tête bien pleine à défaut d’être bien faite, et qui a conduit la France à l’état dans lequel elle se trouve sur le plan sociétal, financier, moral et culturel. 

Tout est à relever et tout n’est que ruine, incohérence et dérision. 

L’État le plus cher du monde est incapable d’assurer ses missions !

 Et ces braves électeurs qui votent Macron en songeant à leur portefeuille semblent avoir oublié dans quelle situation financière il a mis la France.

 

Sans colonne vertébrale

Jamais cette droite sans colonne vertébrale n’a osé revenir sur des mesures désastreuses sur le plan économique (comme les 35 heures), sur le plan stratégique (comme le délaissement de la filière nucléaire au profit de la coûteuse chimère des énergies intermittentes), sur le plan de la sécurité intérieure (comme l’abandon de la mesure accessoire d’expulsion des étrangers délinquants, obtenu de Sarkozy par le gaulliste catholique de gauche Étienne Pinte !)… 

La liste pourrait être longue.

Si, en 1998, lors des élections régionales, Jacques Chirac, au lieu de se plier aux injonctions de la gauche et du centre, avait laissé en paix ceux qui avaient été élus à la présidence des régions avec des voix d’élus FN, ce dernier serait devenu à terme l’aile droite d’un vaste rassemblement de droite.

 Il est intéressant de citer l’entretien de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le 27 mars 1998, avec Charles Millon : « Il n’y a que quinze jours, vous étiez, croyait-on, un chrétien social, un homme de conviction, de bons sentiments, sincère à la limite de la naïveté. 

Aujourd’hui, en acceptant les voix des élus du Front national, c'est-à-dire le tabou majeur, vous êtes vilipendé, blâmé, lâché par vos amis, cerné, coincé. Où est votre porte de sortie ? » 

À peu de chose près ce qu’Éric Ciotti a subi. 

Tout était dit du chantage et de l’hypocrisie du système qui défend sa peau.

 Notons qu’évidemment, personne ne trouvait rien à redire à ce que le PS s’allie avec les communistes, porteurs de l’idéologie responsable de la mort de plus de cent millions d’hommes, de femmes et d’enfants ! 

Tout comme Édouard Philippe partage sans états d’âme « les mêmes exigences démocratiques » qu’un candidat communiste. 

Qu’il aille raconter ça à l’est de l’Europe !

 

Lire le livre d'Éric Ciotti

Éric Ciotti fait la narration intéressante d’une déroute intellectuelle et politique. 

Au-delà de certaines formules heureuses comme « Chirac, combien de déceptions ? » (p. 104), il a aussi des phrases d’une acuité certaine telle « Maastricht, c’était la fin de l’Europe des nations au profit de l’Europe de l’administration » (p. 107) ou encore « à parler comme la gauche, on finit par penser un peu comme elle » (p. 112). 

Même beaucoup. Ses pages sur son enracinement niçois parleront au cœur de tous ceux qui sont attachés à un terroir, une culture et une histoire.

 Quand il en appelle à l’Espérance contre la résignation, c’est à une forme de transcendance qu’il en appelle.

 Et seule celle-ci donne sens à l’action politique.

Le singulier de Guy Mollet doit aujourd’hui être décliné au pluriel. 

Les droites françaises sont-elles les plus bêtes du monde ?

 Nous ne gagnerons pas de façon isolée. Le pouvoir n’arrive pas de façon mécanique ou inéluctable. Nous l’avons bien vu l’an passé. 

Plutôt que se disputer le même pré carré, allions-nous pour gagner.

 La soupe à l’union nie les différences, l’alliance les reconnaît pour en faire des complémentarités.

 Le temps de la bêtise et de la lâcheté doit faire place à celui de l’intelligence et du courage. 

Nous le devons à la France et aux Français.


Picture of Stéphane Buffetaut
Par Stéphane Buffetaut 
 
Chroniqueur à BV, élu de Vendée, ancien député européen 
 
Source :   https://www.bvoltaire.fr/
 

 ET AUSSI

Contre la censure : le Parti de la France ne se taira pas

25 Juin 2025, 17:45pm


Publié par Thomas Joly

Contre la censure : le Parti de la France ne se taira pas

Le Parti de la France prend acte, sans surprise mais avec une lassitude écœurée, de l’ouverture d’une enquête par le Procureur de la République visant notre camarade Alexandre Hinger, à la suite de la diffusion de sa vidéo satirique intitulée :   « L’Islam, sixième pilier de la CAF ».



Cette procédure est une atteinte manifeste à la liberté d’expression, et révèle, une fois de plus, le glissement inquiétant de notre régime vers une société où la critique de l’idéologie diversitaire - ou utopie du village global - devient un délit de droit commun.

Faut-il désormais un visa préfectoral pour oser parler de la CAF ?

Poursuivre pénalement un candidat dont le seul tort serait d’avoir raillé une administration publique — en l’espèce la CAF, bras armé du modèle social — revient à sacraliser cette institution, à lui donner un statut religieux, intouchable, au-dessus de la critique démocratique. C’est là un scandale juridique.

Plus grave encore, en reprochant à Monsieur Hinger ce rapprochement entre la CAF et l’islam, le parquet insinue lui-même qu’un tel rapprochement serait infamant.

Dès lors, qui stigmatise qui ?

N’est-ce pas là une forme de mépris implicite envers les allocataires concernés ?

Le Parti de la France apporte son soutien total à Alexandre Hinger, et ne pliera jamais face aux intimidations d’un appareil politico-judiciaire aux ordres d’un pouvoir déconnecté du peuple.

Nous appelons les Français à se mobiliser pour défendre la liberté de ton, la liberté de critique, la liberté de parole, face aux nouveaux censeurs.

La République n’a pas à choisir ce qui est autorisé ou blasphématoire.

La liberté d’expression, si elle ne protège que les discours consensuels, n’est plus qu’un simulacre.

Le Parti de la France n’a pas peur et ne se taira pas. 

Si dire tout haut ce que tout le monde pense est un délit, alors nous sommes coupables. 

 Tous. Et fiers de l’être.

Par Pierre-Nicolas Nups - 

Secrétaire général du Parti de la France

 


 

 
 

ISLAMISME : APRÈS LES BOUCHERIES , C' EST AU TOUR DES BOULANGERIES .......

 REVUE DE PRESSE !




«Les boulangeries de Blancs, c’est toujours comme ça» : un commerce harcelé en ligne pour une affaire de sandwich non halal

Une altercation banale entre une cliente et une boulangère de Saint-Just-en-Chaussée a viré à la vindicte sur les réseaux sociaux. 

Après avoir publié une vidéo virulente sur TikTok, une jeune femme a déclenché une pluie d’avis négatifs contre le commerce. 

En cause : une erreur supposée de la part de la vendeuse.

Audrey Senecal , Mis à jour le
La note du commerce a chuté pour atteindre 1,9 sur la page d'avis Google. (Photographie d'illustration)
 
La note du commerce a chuté pour atteindre 1,9 sur la page d'avis Google.
 (Photographie d'illustration) DPA/SIPA / © Rachel Bomeyer

Thon ou poulet ? C’est autour de cette question anodine qu’a démarré une véritable campagne de harcèlement contre une boulangerie de Saint-Just-en-Chaussée dans l’Oise.

 Samedi 28 juin, une jeune femme suivie par près de 17 000 personnes sur TikTok, publie une vidéo pour dénoncer ce qu’elle estime être un mauvais service client.

 Dans cette séquence d’un peu plus de cinq minutes, elle filme la gérante de l’établissement sans son consentement, lui reprochant de s’être trompée de commande

 

Elle explique avoir demandé un sandwich au thon et avoir reçu à la place un sandwich au poulet, viande qu’elle affirme ne pas consommer dans des commerces « qui ne sont pas halal ».

 Une erreur de la part de la vendeuse, à qui elle reproche de ne pas lui avoir proposé un autre en-cas gratuitement lorsqu’elle est revenue dans la boutique.`

 « En fait, je suis venue ici pour leur donner de l’argent », lance-t-elle face caméra, avant de désigner nommément la boutique et sa responsable. 

« Vous n’avez pas le droit. C’est lamentable ce que vous faites », lui rétorque la commerçante.


Raid numérique

« Les boulangeries de Blancs, c’est toujours comme ça que ça se passe », accuse-t-elle, une fois de retour dans son véhicule, estimant que si elle s’était adressée à un commerçant « reubeu », il lui « aurait dit "excuse-moi ma sœur" » et lui « aurait donné un autre sandwich ».  

« C’est toujours dans les villes de cassos que ça arrive, ces trucs-là », se plaint-elle, assurant qu’à « Creil ou en région parisienne », le dénouement aurait été tout autre.

 

La vidéo, largement diffusée sur les réseaux sociaux, a entraîné un véritable raid numérique contre la boulangerie de l’Oise. 

En quelques heures, des dizaines d’avis négatifs ont été postés sur la fiche Google de l’établissement, certains internautes reprenant mot pour mot les reproches de l’auteure de la vidéo.

En retour, des internautes se sont mobilisés pour défendre la boulangère et des dizaines de messages ont afflué sur la page Facebook du commerce : « Nous vous soutenons de tout cœur.

 Nous avons vu une vidéo clairement raciste envers les boulangeries dites de Blancs… Ne vous laissez pas intimider par ce genre de personne »,

 « C’est vraiment une plaie ces réseaux sociaux », « Pensez à porter plainte, vous ne méritez pas ça ! ». 

L’altercation se poursuit désormais à coups d’étoiles et de commentaires.


Source : https://www.lejdd.fr/Societe
 

 

IMMIGRATION ILLÉGALE : LA FRANCE TOUJOURS SUBMERGÉE, MALGRÉ LA HAUSSE DES EXPULSIONS ......


Immigration : Trump triomphe face à la Cour suprême, Bayrou… sécurise l’apéritif

Trump emporte une victoire décisive sur le dossier migratoire : mais que font Macron et Bayrou ?
Capture d'écran X
Capture d'écran X

La semaine qui s’ouvre marque une nouvelle étape dans le renforcement des pouvoirs du président américain Donald Trump. 

Et une étape supplémentaire dans l’impuissance du pouvoir en France, alors que la catastrophe migratoire et économique approche, toutes sirènes hurlantes.

 Le contraste parle de lui-même.

Sur son réseau Truth Social, Donald Trump a salué, vendredi, une séquence décisive dans la guerre qui l'oppose aux juges, notamment dans les dossiers qui concernent l’immigration.

 Un cri de joie sous forme de message triomphal sur son réseau Truth Social : « Gigantesque victoire à la Cour suprême américaine ! », lance Trump.

 Pour une fois, le président des États-Unis ne survend pas l’événement.

 Il franchit en effet un pas décisif dans la difficile reprise en main de l’immigration, exigée par ses électeurs mais bloquée par les juges fédéraux, la gauche et d'innombrables lobbies.

 Tout rapprochement avec la situation française…

 Explications : jusqu’ici, les juges fédéraux américains pouvaient tranquillement bloquer à l’échelle nationale les décisions de l’exécutif qu’ils considéraient comme illégales.

 Mais pour la Cour suprême, ce blocage des juges relève « probablement » d’un excès de pouvoir.

 Un véritable coup de tonnerre lancé par la plus haute juridiction américaine, qui a voté en ce sens par six voix (celles des conservateurs) contre trois (celles des progressistes). 

Et une victoire politique nette de Trump, désireux de limiter drastiquement l’immigration, dans le bras de fer qui l’oppose aux tribunaux.

 

Révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés.

« Grâce à cette décision, nous pouvons désormais nous pourvoir en Justice pour faire progresser ces nombreuses mesures qui ont été bloquées de manière erronée à l’échelle nationale », triomphe le président républicain, poursuivant : « Nous en avons tellement. » 

Trump souhaite surtout revenir sur le principe du droit du sol, consacré par le 14e amendement de la Constitution, disposant que tout enfant né aux États-Unis est automatiquement citoyen américain. 

L’enjeu dépasse largement les États-Unis : il s’agit de savoir si Trump peut décider de refuser l’octroi automatique de la nationalité américaine à des milliers d’immigrés. 

Et envoyer un coup fatal aux innombrables lobbies sans-frontiéristes qui sévissent des deux côtés de l’Atlantique.

 En mai dernier, la même Cour suprême avait autorisé provisoirement Trump à révoquer le statut légal de 530.000 immigrés cubains, haïtiens, nicaraguayens et vénézuéliens. 

L'instance va permettre de révoquer le statut légal qui protégeait ces immigrés. 

Dans cette résistance, Trump emporte une bataille décisive qui n’a pas fini de retentir aux États-Unis et au-delà.

Trump décisif en Iran. Trump toujours agressif sur les droits de douane. 

Trump à l’offensive contre les excès de pouvoir des juges. 

Trump implacable sur l’immigration… 

 

Comment le tandem au pouvoir en France regarde-t-il ce combat acharné, mené pied à pied pour respecter le vœu des électeurs et rendre à l'Amérique sa grandeur, comme le promet Trump ?

 Comment voit-il les efforts accomplis avec un certain succès pour tirer l’État le plus puissant du monde du mauvais pas migratoire où il est lui aussi engagé ? 

Le contraste avec la paralysie française est tragique.

 Le même dossier migratoire fait en France l’objet d’infinies palabres, alors même que les chiffres donnés récemment par le ministère de l’Intérieur confirment une situation dramatiquement hors de contrôle.

 Le combat mené par Trump n’est pas mené en France, faute de volonté pour Emmanuel Macron.

 Faute d’autorité et de volonté pour François Bayrou. 

Le gouvernement Bayrou est à peu près désormais assuré de passer l’été

 Rendez-vous, donc, au mois d’octobre pour la rentrée parlementaire. 

Il ne s'est rien passé cette année, il ne se passera rien avant l'automne. 

Tandis que Trump secoue le système sans ménagement, Bayrou glisse sur les chiffres du désastre économique (3.346 milliards d'euros de dette), évoque la proportionnelle (bienvenue au serpent de mer), ne touche en rien au pouvoir des juges et poursuit l'invasion migratoire. 

 

Macron, lui, fait le tour des monarchies. 

Surtout rester à la barre pour... ne rien faire, ne rien décider, ne rien changer. 

Le naufrage en douceur.

 Surtout, ne dérangez pas le capitaine Bayrou, il prend l'apéritif !


Picture of Marc Baudriller
Par Marc Baudriller
Directeur adjoint de la rédaction de BV, éditorialiste 
 
 


 

Immigration illégale : une hausse des expulsions en 2024, mais une France toujours submergée

Les chiffres officiels sont tombés : malgré une hausse notable des expulsions d’étrangers en situation irrégulière en 2024, la pression migratoire reste forte, les interpellations explosent, et les Maghrébins constituent toujours la majorité des éloignés. 

Analyse.

 

Les autorités françaises ont procédé à 27 791 sorties du territoire d’étrangers en situation irrégulière en 2024, selon le dernier rapport du ministère de l’Intérieur.

 Une progression de 22,4 % par rapport à 2023, soit près de 5 100 personnes en plus. 

Pourtant, ces chiffres masquent une réalité plus complexe, où les flux d’entrées semblent dépasser les capacités de contrôle effectif.

 

Une majorité de retours spontanés… faute de pouvoir contraindre

Parmi ces sorties, plus de 6 100 départs dits « spontanés » ont été recensés (+51,7 %), tandis que les éloignements forcés ne représentent qu’un peu plus de 12 800 cas.

 Le reste repose sur des aides au retour (OFII), dont l’efficacité reste marginale.

 Le rapport confirme que la majorité des étrangers en situation irrégulière ne font pas l’objet de mesures coercitives.

Fait marquant : les départs volontaires aidés chutent de 94,6 %, en raison d’un changement réglementaire restreignant leur accès.

 Une baisse compensée artificiellement par la hausse des « éloignements spontanés », souvent impossibles à vérifier.

 

Algériens, Marocains, Tunisiens : les nationalités les plus éloignées

Les ressortissants algériens arrivent en tête avec 2 999 éloignements (+17,1 %), devant les Marocains (1 658) et les Tunisiens (1 295) 

. Ensemble, les ressortissants du Maghreb représentent plus de la moitié des éloignements. 

En forte hausse également : les Turcs (+131 %) et les Brésiliens (+82,5 %), signe d’un élargissement des routes migratoires vers la France.

Fait inquiétant, le nombre d’éloignements d’Afghans chute de 22,5 %, alors même que ce pays figure parmi les plus représentés dans les filières migratoires clandestines.

 

147 000 interpellations, un record

Si les expulsions augmentent, les interpellations explosent, avec 147 156 personnes arrêtées en situation irrégulière, soit une hausse de 18,9 %. 

 Les Algériens (33 754), les Tunisiens (13 414) et les Marocains (12 956) restent les nationalités les plus souvent interpellées.

Plus inquiétant encore, le nombre d’interpellations de Soudanais a plus que doublé (+108 %), tout comme celui des Érythréens et des Maliens. 

Les réseaux africains continuent donc de prospérer sur le sol français.

 

Fin des non-admissions : le Conseil d’État désarme les frontières

Autre fait majeur : le nombre de non-admissions à la frontière chute de 79 % après une décision du Conseil d’État en février 2024, interdisant certaines formes de refus d’entrée immédiats. 

Résultat : les policiers doivent désormais entamer des procédures longues (retenue, vérification d’identité, réadmission négociée), ce qui sature les capacités des services et affaiblit la souveraineté nationale.

 

Le ministère note cependant une multiplication par 7 des réadmissions vers les pays frontaliers, notamment grâce aux accords bilatéraux de Schengen.

 Mais cette procédure reste lourde et aléatoire.

 

Une politique de façade ?

Malgré des chiffres en hausse sur le papier, la France reste incapable de reconduire efficacement une majorité des étrangers en situation irrégulière.  

Les éloignements sont minoritaires face aux arrivées, et les entraves juridiques comme la décision ADDE du Conseil d’État limitent l’action des forces de l’ordre.

À l’approche de la présidentielle, ces chiffres risquent d’alimenter les critiques d’une partie croissante de la population qui ne supporte plus l’impuissance de l’État face à une immigration illégale structurelle.

La réalité, en 2024, est que l’immigration irrégulière ne faiblit pas.

 Et que la France, malgré des rapports, des chiffres et des déclarations, semble toujours désarmée.

 
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

AU NOM D' UNE IDÉOLOGIE HORS SOL DES ÉCOLOGISTES ........

 


 

 LU, VU ET ENTENDU !




TWITTER

 
Alors que la France s’apprête à subir une vague de chaleur extrême, avec plus de 11 degrés au-dessus des normales saisonnières, le gouvernement ose déclarer, par la voix d’Agnès Pannier-Runacher : 
« Nous sommes prêts à affronter la canicule. »
 
 Prêts où ça ? - Les chambres d’hôpital ne sont pas climatisées. -
 
 Les EHPAD n’ont aucun dispositif massif de rafraîchissement. -
 
 Les écoles deviennent des étuves à ciel fermé, où les enfants et enseignants suffoquent sans qu’aucun plan structurel n’ait été mis en place.
 
 La vérité, c’est que rien n’est prêt.
 
 Et pourtant, la canicule tue. 
 
 Nous l’avons vu en 2003 : plus de 15.000 morts, majoritairement des personnes âgées et isolées. 
 
 Dans une déclaration consternante, Patrick Pelloux, médecin médiatique se réclamant de la gauche et ami de François Hollande, ose affirmer : « La climatisation aggrave le réchauffement climatique. »
 
 Faut-il donc laisser mourir les Français pour sauver un dogme climato-taré ? 
 
 Quand les États-Unis maintiennent tout en dessous de 20°C, la France s’interdit la climatisation au nom d’une idéologie écologiste hors-sol
 
. En l’espèce, les escrologistes veulent sauver la planète mais provoquer la mort de ses habitants.
 
 C’est un concept. 
 
 Cette logique « écologiste » n’a rien d’écologique : elle est climatophobe, inhumaine, anti-sociale et elle condamne à mort les plus vulnérables. -
 
 Elle sacrifie nos aînés. -
 Elle sacrifie nos malades. -
 Elle sacrifie nos enfants. 
 
Nous accusons l’État français de mettre en danger la vie de milliers de citoyens par obstination idéologique.
 
 Nous refusons ce choix politique de l’abandon. 
 
 Nous exigeons la généralisation immédiate de la climatisation dans tous les lieux publics sensibles : hôpitaux, EHPAD, crèches, écoles. Laisser mourir par idéologie n’est pas une politique : c’est un crime. 
 
 
Un crime d’État dont le gouvernement est responsable.
 
 
Par  Pierre-Nicolas Nups -
 Secrétaire général du Parti de la France
 
 
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