Où va l’argent ? Où passent les milliards d’euros siphonnés chaque année par un État obèse et dysfonctionnel ?
Taxes, impôts, charges sociales, prélèvements divers : les Français se
tuent à la tâche pour alimenter un monstre bureaucratique qui ne remplit
même plus ses missions essentielles.
Ce système, gangrené par la
médiocrité et la corruption, trahit ses citoyens chaque jour davantage.
Une machine fiscale vorace, mais inefficace
Les Français, champions du monde des
prélèvements obligatoires, sont étouffés par un matraquage fiscal
incessant.
Chaque euro gagné par un salarié, un entrepreneur ou un
artisan est amputé d’une part scandaleuse pour alimenter un État qui, en
retour, offre des services publics de plus en plus dégradés.
Hôpitaux en ruine, urgences saturées ou « régulées », maternités fermées
: c’est un paysage de tiers-mondisation que le gouvernement impose à un
pays autrefois leader en matière de santé et d’éducation.
Et
pendant ce temps, on assiste, impuissants, à l’effondrement de l’école, à
la montée en flèche de l’insécurité et à l’explosion des inégalités
territoriales.
Où est passé l’argent collecté sur le dos des travailleurs et des entrepreneurs ?
L’État dilapide ces fonds dans des politiques aussi inutiles que
dispendieuses, refusant d’assumer ses responsabilités dans la gestion
des deniers publics.
Les « responsables » politiques de ce fiasco ne
sont jamais inquiétés.
Pourquoi ceux qui ont contracté des dettes
abyssales depuis des décennies ne sont-ils pas en prison pour haute
trahison ?
Ces énarques de salon, protégés par leur immunité et leur
arrogance bureaucratique, continueront d’échapper à toute poursuite
pendant que la population paye leurs erreurs au prix fort.
Une République du « pire » : entre libéralisme sauvage et soviétisation bureaucratique
La République française offre désormais à
ses citoyens le pire des deux mondes : un libéralisme sauvage pour les
plus faibles et une bureaucratie soviétique pour tous les autres.
Les
travailleurs et les classes moyennes doivent composer avec des services
publics qui s’effondrent, tandis que l’élite politico-administrative
reste grassement rémunérée pour son incompétence.
Derrière chaque
fermeture de service hospitalier, chaque régulation des urgences, chaque
école qui se délite, se cache une armée de technocrates bien à l’abri
dans leurs bureaux, obsédés par leurs tableaux Excel et leurs réformes
sans vision.
Le plus révoltant ?
Personne n’est
jamais responsable. Jamais coupable.
Le système entier repose sur une
dilution de l’autorité et une déresponsabilisation systémique.
Comme en
Union Soviétique, on ne trouve jamais de visage derrière l’échec,
seulement des excuses bureaucratiques et des rapports interminables.
Les autorités françaises trahissent leur
mission première : protéger leur peuple.
Elles s’effacent devant des
priorités idéologiques absurdes, tout en abdiquant leurs devoirs
régaliens.
Où sont les investissements dans nos hôpitaux ?
Pourquoi les maternités ferment-elles alors que l’immigration continue
d’être financée sans limite ?
Pourquoi un système déjà au bord de
l’implosion se permet-il de verser des milliards pour accueillir des
populations supplémentaires, sans demander leur avis aux Français ?
La tiers-mondisation de la France
s’accélère sous nos yeux.
Nos enfants héritent d’un avenir sinistre :
une école au rabais, des conditions de vie de plus en plus précaires,
et, pour seule consolation, des antidépresseurs ou des stupéfiants pour
fuir une réalité insoutenable.
Le tout, dans une société où règnent
l’insécurité et l’éclatement communautaire.
Il n’est plus question de
solidarité nationale : c’est chacun pour soi dans un système qui divise
au lieu de fédérer.
Le réveil ou l’effondrement
Face à cette situation, deux voies
s’ouvrent à nous : l’acceptation de la décadence ou la révolte.
La
population ne tolérera pas éternellement d’être méprisée et pillée.
Si
l’État refuse de remplir ses obligations fondamentales – sécurité,
santé, éducation –, il est inévitable que les citoyens prennent leur
destin en main.
La fracture entre le peuple et ses élites devient un
gouffre.
La révolte gronde.
Pour éviter un effondrement total, il
faut agir immédiatement.
Nettoyer les écuries d’Augias. Réformer en
profondeur un système qui n’a plus de sens.
Réduire drastiquement les
postes parasites et les bureaucraties inutiles.
Mettre fin aux
subventions folles à l’immigration et aux politiques inefficaces.
Favoriser les entrepreneurs, les travailleurs, et cesser de récompenser
les comportements de rente.
Cela signifie une révolution économique,
sanitaire, sociale et sécuritaire. Maintenant.
Nous devons reconstruire un État
décentralisé, au service de ses citoyens, avec une gestion rigoureuse
des fonds publics et des priorités claires.
Il est temps de réinvestir
dans la santé, d’assurer une éducation de qualité et de rétablir la
sécurité sur tout le territoire.
Cela implique également de restaurer un
projet commun pour la nation, une vision claire et fédératrice, loin
des divisions communautaristes imposées par un multiculturalisme hors de
contrôle.
La Bretagne, la France méritent mieux
que ce spectacle lamentable. Mais elle ne s’en sortira que si elle
retrouve le courage de faire des choix.
Les Français doivent reprendre
le contrôle de leur destin.
Et cela commence par une remise à plat
totale de ce système à bout de souffle.
Plus qu’un appel à la réforme,
c’est un cri de survie.
Le changement radical, la rupture, ou l’abîme.
Choisissons vite.
Par Julien Dir
Précision : les points de
vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre
rédaction.
Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la
liberté d’expression.
Ce qui implique tout naturellement que des
opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
[cc] Breizh-info.com, 2024 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
Réponses à “Pillage organisé et tiers mondisation : où disparaît
l’argent que nous prend tous les jours la République française ?
Et pendant ce temps alors que le Français lambda compte sa petite
monnaie pour finir son mois , toujours plus d’ASPA , toujours plus d’AME
, toujours plus de logements d’urgence, toujours plus d’ONG souvent
subventionnées avec notre pognon et j’en oublie.
Tout ceci pour des gens
qui pour beaucoup n’ont absolument rien à faire sur notre territoire .
Stop , nous n’avons pas à être les valeurs d’ajustements économiques de
ces envahisseurs opportunistes.
Quand à la responsabilité de nos
politiques actuels, elle est immense et criminelle.
Des hauts fonctionnaires qui ne sont jamais sanctionnés pour leurs erreurs.
Augmentation des indemnités des sénateurs et députés.
Des millions investis dans des vaccins dangereux, pourquoi « secret
défense » sur ce sujet dans d’autres pays ces scandales sont dénoncés.
Pourquoi un pays qui, il y a quelques années était présenté comme le
plus corrompu dans la presse serait-il devenu exemplaire. Arrêtons de
donner des milliards pour alimenter une guerre car cela risque de mal
finir.
Les manifs des agriculteurs ne changeront rien tant que nous serons gouvernes par une Europe qui veut détruire les nations.
Nous avons l’énergie la moins chère mais nous payons tout de même le
prix fort et cela détruit nos petites entreprises et même les grandes
Ou est la démocratie et la vraie liberté.
Arrêtons de croire les médias subventionnés ou aux mains des plus riches
« »reconstruire un État décentralisé » » ….. Belle Promesse qui ne sera jamais tenue.
La France est en chute libre.
Vert dit Vrai quand il cite « Le coût faramineux de l’immigration », qui
n’est autre qu’une invasion du territoire national par des hordes
sauvages qui ne cherchent que notre destruction.
Parler de « libéralisme sauvage pour les plus faibles » est
paradoxal quand vous montrez surabondamment la dégradation des services
publics.
Les plus faibles sont au contraire condamnés à utiliser ces
services, ce sont eux qui souffrent le plus de la « bureaucratie
soviétique ».
Ce sont les gens plus à l’aise qui ont recours au
« libéralisme sauvage », quitte à payer une deuxième fois les services
qu’ils sont censés avoir payé une première fois par leurs impôts.
Par
exemple, 70% des ménages français seraient éligibles à un logement
social, 16% habitent un logement social !
Et quand on fait vraiment appel au « libéralisme sauvage », est-on
moins bien servi pour autant ? Si l’on interdisait les grandes surfaces
alimentaires en leur préférant la distribution de bons de nourriture
(car nul « service public » n’est plus indispensable que de nourrir les
gens !), croyez-vous que les gens seraient mieux servis ?
Bien sûr que
non ! Les Leclerc, Intermarché et autres ont sûrement bien des défauts,
mais ils nourrissent les gens efficacement.
Si l’école, l’hôpital, le
nettoyage et autres « services publics » fonctionnaient selon les mêmes
principes, la société y gagnerait.
Le privé exige plus de ses salariés ? Le fait est que ceux-ci sont
moins souvent en grève et moins souvent malades que les fonctionnaires.
Conclusion, comme on ne pourrait mettre en cause la bonne foi des
fonctionnaires, la fonction publique est un mauvais employeur qui rend
les gens malades. La décentralisation, que vous réclamez à juste titre,
est un premier pas utile : elle rapproche les décisions des gens à qui
elles s’imposent.
Le libéralisme, lui, met les décisions entre les mains
des gens eux-mêmes.
Je force un peu le trait, bien sûr, mais il me
semble que tout ce qui n’est pas d’ordre régalien (essentiellement
identité, défense, police et justice) devrait être libéralisé.
Pillage organisé et tiers mondisation : où disparaît l’argent que nous prend tous les jours la République française ?
[L’Agora]
La coupe est pleine.
L’annonce du déremboursement partiel des médicaments et l’augmentation du reste à charge en médecine sonne comme une gifle à un peuple déjà pressuré par un système fiscal hors de contrôle.
Où va l’argent ? Où passent les milliards d’euros siphonnés chaque année par un État obèse et dysfonctionnel ?
Taxes, impôts, charges sociales, prélèvements divers : les Français se tuent à la tâche pour alimenter un monstre bureaucratique qui ne remplit même plus ses missions essentielles.
Ce système, gangrené par la médiocrité et la corruption, trahit ses citoyens chaque jour davantage.
Une machine fiscale vorace, mais inefficace
Les Français, champions du monde des prélèvements obligatoires, sont étouffés par un matraquage fiscal incessant.
Chaque euro gagné par un salarié, un entrepreneur ou un artisan est amputé d’une part scandaleuse pour alimenter un État qui, en retour, offre des services publics de plus en plus dégradés.
Hôpitaux en ruine, urgences saturées ou « régulées », maternités fermées : c’est un paysage de tiers-mondisation que le gouvernement impose à un pays autrefois leader en matière de santé et d’éducation.
Et pendant ce temps, on assiste, impuissants, à l’effondrement de l’école, à la montée en flèche de l’insécurité et à l’explosion des inégalités territoriales.
Où est passé l’argent collecté sur le dos des travailleurs et des entrepreneurs ?
L’État dilapide ces fonds dans des politiques aussi inutiles que dispendieuses, refusant d’assumer ses responsabilités dans la gestion des deniers publics.
Les « responsables » politiques de ce fiasco ne sont jamais inquiétés.
Pourquoi ceux qui ont contracté des dettes abyssales depuis des décennies ne sont-ils pas en prison pour haute trahison ?
Ces énarques de salon, protégés par leur immunité et leur arrogance bureaucratique, continueront d’échapper à toute poursuite pendant que la population paye leurs erreurs au prix fort.
Une République du « pire » : entre libéralisme sauvage et soviétisation bureaucratique
La République française offre désormais à ses citoyens le pire des deux mondes : un libéralisme sauvage pour les plus faibles et une bureaucratie soviétique pour tous les autres.
Les travailleurs et les classes moyennes doivent composer avec des services publics qui s’effondrent, tandis que l’élite politico-administrative reste grassement rémunérée pour son incompétence.
Derrière chaque fermeture de service hospitalier, chaque régulation des urgences, chaque école qui se délite, se cache une armée de technocrates bien à l’abri dans leurs bureaux, obsédés par leurs tableaux Excel et leurs réformes sans vision.
Le plus révoltant ?
Personne n’est jamais responsable. Jamais coupable.
Le système entier repose sur une dilution de l’autorité et une déresponsabilisation systémique.
Comme en Union Soviétique, on ne trouve jamais de visage derrière l’échec, seulement des excuses bureaucratiques et des rapports interminables.
Les autorités françaises trahissent leur mission première : protéger leur peuple.
Elles s’effacent devant des priorités idéologiques absurdes, tout en abdiquant leurs devoirs régaliens.
Où sont les investissements dans nos hôpitaux ?
Pourquoi les maternités ferment-elles alors que l’immigration continue d’être financée sans limite ?
Pourquoi un système déjà au bord de l’implosion se permet-il de verser des milliards pour accueillir des populations supplémentaires, sans demander leur avis aux Français ?
La tiers-mondisation de la France s’accélère sous nos yeux.
Nos enfants héritent d’un avenir sinistre : une école au rabais, des conditions de vie de plus en plus précaires, et, pour seule consolation, des antidépresseurs ou des stupéfiants pour fuir une réalité insoutenable.
Le tout, dans une société où règnent l’insécurité et l’éclatement communautaire.
Il n’est plus question de solidarité nationale : c’est chacun pour soi dans un système qui divise au lieu de fédérer.
Le réveil ou l’effondrement
Face à cette situation, deux voies s’ouvrent à nous : l’acceptation de la décadence ou la révolte.
La population ne tolérera pas éternellement d’être méprisée et pillée.
Si l’État refuse de remplir ses obligations fondamentales – sécurité, santé, éducation –, il est inévitable que les citoyens prennent leur destin en main.
La fracture entre le peuple et ses élites devient un gouffre.
La révolte gronde.
Pour éviter un effondrement total, il faut agir immédiatement.
Nettoyer les écuries d’Augias. Réformer en profondeur un système qui n’a plus de sens.
Réduire drastiquement les postes parasites et les bureaucraties inutiles.
Mettre fin aux subventions folles à l’immigration et aux politiques inefficaces.
Favoriser les entrepreneurs, les travailleurs, et cesser de récompenser les comportements de rente.
Cela signifie une révolution économique, sanitaire, sociale et sécuritaire. Maintenant.
Nous devons reconstruire un État décentralisé, au service de ses citoyens, avec une gestion rigoureuse des fonds publics et des priorités claires.
Il est temps de réinvestir dans la santé, d’assurer une éducation de qualité et de rétablir la sécurité sur tout le territoire.
Cela implique également de restaurer un projet commun pour la nation, une vision claire et fédératrice, loin des divisions communautaristes imposées par un multiculturalisme hors de contrôle.
La Bretagne, la France méritent mieux que ce spectacle lamentable. Mais elle ne s’en sortira que si elle retrouve le courage de faire des choix.
Les Français doivent reprendre le contrôle de leur destin.
Et cela commence par une remise à plat totale de ce système à bout de souffle.
Plus qu’un appel à la réforme, c’est un cri de survie.
Le changement radical, la rupture, ou l’abîme.
Choisissons vite.
Par Julien Dir
Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction.
Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression.
Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
[cc] Breizh-info.com, 2024 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
Réponses à “Pillage organisé et tiers mondisation : où disparaît l’argent que nous prend tous les jours la République française ?
[L’Agora]”
Le coût faramineux de l’immigration est un sujet tabou
Beau résumé de notre conversation d’hier. Le ras le bol est vraiment palpable. (petit groupe de retraités).
Et pendant ce temps alors que le Français lambda compte sa petite monnaie pour finir son mois , toujours plus d’ASPA , toujours plus d’AME , toujours plus de logements d’urgence, toujours plus d’ONG souvent subventionnées avec notre pognon et j’en oublie.
Tout ceci pour des gens qui pour beaucoup n’ont absolument rien à faire sur notre territoire .
Stop , nous n’avons pas à être les valeurs d’ajustements économiques de ces envahisseurs opportunistes.
Quand à la responsabilité de nos politiques actuels, elle est immense et criminelle.
Des hauts fonctionnaires qui ne sont jamais sanctionnés pour leurs erreurs.
Augmentation des indemnités des sénateurs et députés.
Des millions investis dans des vaccins dangereux, pourquoi « secret défense » sur ce sujet dans d’autres pays ces scandales sont dénoncés.
Pourquoi un pays qui, il y a quelques années était présenté comme le plus corrompu dans la presse serait-il devenu exemplaire. Arrêtons de donner des milliards pour alimenter une guerre car cela risque de mal finir.
Les manifs des agriculteurs ne changeront rien tant que nous serons gouvernes par une Europe qui veut détruire les nations.
Nous avons l’énergie la moins chère mais nous payons tout de même le prix fort et cela détruit nos petites entreprises et même les grandes
Ou est la démocratie et la vraie liberté.
Arrêtons de croire les médias subventionnés ou aux mains des plus riches
« »reconstruire un État décentralisé » » ….. Belle Promesse qui ne sera jamais tenue.
La France est en chute libre.
Vert dit Vrai quand il cite « Le coût faramineux de l’immigration », qui n’est autre qu’une invasion du territoire national par des hordes sauvages qui ne cherchent que notre destruction.
Parler de « libéralisme sauvage pour les plus faibles » est paradoxal quand vous montrez surabondamment la dégradation des services publics.
Les plus faibles sont au contraire condamnés à utiliser ces services, ce sont eux qui souffrent le plus de la « bureaucratie soviétique ».
Ce sont les gens plus à l’aise qui ont recours au « libéralisme sauvage », quitte à payer une deuxième fois les services qu’ils sont censés avoir payé une première fois par leurs impôts.
Par exemple, 70% des ménages français seraient éligibles à un logement social, 16% habitent un logement social !
Et quand on fait vraiment appel au « libéralisme sauvage », est-on moins bien servi pour autant ? Si l’on interdisait les grandes surfaces alimentaires en leur préférant la distribution de bons de nourriture (car nul « service public » n’est plus indispensable que de nourrir les gens !), croyez-vous que les gens seraient mieux servis ?
Bien sûr que non ! Les Leclerc, Intermarché et autres ont sûrement bien des défauts, mais ils nourrissent les gens efficacement.
Si l’école, l’hôpital, le nettoyage et autres « services publics » fonctionnaient selon les mêmes principes, la société y gagnerait.
Le privé exige plus de ses salariés ? Le fait est que ceux-ci sont moins souvent en grève et moins souvent malades que les fonctionnaires.
Conclusion, comme on ne pourrait mettre en cause la bonne foi des fonctionnaires, la fonction publique est un mauvais employeur qui rend les gens malades. La décentralisation, que vous réclamez à juste titre, est un premier pas utile : elle rapproche les décisions des gens à qui elles s’imposent.
Le libéralisme, lui, met les décisions entre les mains des gens eux-mêmes.
Je force un peu le trait, bien sûr, mais il me semble que tout ce qui n’est pas d’ordre régalien (essentiellement identité, défense, police et justice) devrait être libéralisé.